Kiprun, la marque running et trail de Decathlon lance sa première paire maximaliste. Avec son épaisse semelle, la KS900.2 priorise l’amorti et le confort pour avaler les kilomètres sans dommage.

Pour Kiprun, qui compte intégrer le top 5 mondial sur le segment de la chaussure performance à court terme, l’année 2024 s’annonce palpitante. La marque trail/running de Decathlon enchaînera les lancements de paires performance ces prochains mois.

Première de la série, la KS900.2, disponible depuis quelques jours. Pas de doute quant à la vocation « confort » de cette nouveauté. A l’œil, le volume de sa semelle la classe en catégorie maximaliste. Pour bien protéger des chocs : 33 mm de mousse à l’avant-pied et 39 mm à l’arrière. C’est un niveau d’amorti jamais vu chez Kiprun !

Semelle rehaussée amorti optimisé, raideur diminuée

Cette innovation de la gamme KS (pour Kiprun Stability) se destine à tous les runneurs. Quel que soit leur gabarit et leur fréquence d’entraînement, principalement pour des sorties longues ou de récupération.

Pour la concevoir, l’équipe lilloise s’est appuyée sur la KS900 plébiscitée depuis 2022. Le cahier des charges était de gagner en confort et en protection afin de permettre à chacun d’avaler les kilomètres sans dommage.

« Les avis clients étaient très bons sur le modèle originel KS900, avec une note 4,55/5. Mais nous avons écouté les commentaires des utilisateurs. Notamment le souhait d’avoir plus d’amorti tout particulièrement sur l’avant du pied avec une hauteur de semelle rehaussée. Grâce à une nouvelle géométrie de notre semelle, désormais un peu plus épaisse, nous avons aussi diminué la raideur de 50% à l’avant-pied par rapport à la première KS900. Cela qui signifie que l’on doit mettre moins de pression sur la mousse pour avoir le même amorti », détaille Matthias Valkeniers, chef de produit chaussures performance de Kiprun. 

Pour la première fois, Kiprun a développée avec la KS900.2 une paire spécifiquement adaptée à la morphologie du pied féminin.
Kiprun KS900.2, une première paire spécifique pour les femmes.

Une paire spécifiquement adaptée aux pieds des femmes. Avec cette première KS900.2 maximaliste, Kiprun s’est lancé un autre challenge en développant un taillant spécifiquement adapté aux besoins des runneuses. A pointure comparable, la version féminine comporte un talon plus fin que sur le modèle masculin et une zone métatarse plus serrée, calquée sur l’anatomie du pied féminin.

Amorti MFoam, la mousse « matelas » 

L’autre caractéristique qui interpelle, c’est justement la mousse à l’aspect alvéolé. Kiprun a utilisé la nouvelle technologie d’amorti MFoam en EVA light introduite sur sa KS900 light, paire vedette sortie l’an dernier.

M pour “Mattress” signifiant “matelas”, et “Foam” pour “mousse”. L’équipe connaît désormais bien cet amorti, bien plus moelleux et plus dynamique que l’ancienne mousse maison (Kalensole), avec une belle durabilité estimée autour de 1000 kilomètres.

Sur cette nouvelle KS900.2, l’aspect douillet qui s’exprime par le design est raccord avec les sensations. Le pied bénéficie ainsi d’une pose douce avec un effet ‘coussin moelleux’ agréable sur les séances longues en endurance.

Nouveau mesh façon chausson

Méline Rollin, nouvelle recordwoman de France sur marathon apprécie la Kiprun KS900.2 sur ses sorties longues et footing de récup.
Méline Rollin, nouvelle recordwoman de France sur marathon apprécie la Kiprun KS900.2 sur ses sorties longues et footing de récup.

Et cette texture inspirée du matelas a été travaillée de la semelle à la tige pour envelopper le pied comme un chausson. Notamment grâce à nouveau composant mesh très élastique, qui redéfinit la notion de confort pour la marque. « Tous nos testeurs ont souligné l’effet waouh de ce nouveau mesh. Pour optimiser encore le confort, nous avons ajouté un talon 3D heel counter, qui donne beaucoup de maintien au pied  », explique Matthias Valkeniers.

Coureur et testeur avisé, le chef de produit ne tarit pas d’éloge sur cette nouveauté, qu’apprécient aussi tout particulièrement les athlètes de la team. Comme par exemple Méline Rollin. La championne qui vient tout juste de de décrocher le nouveau record de France sur marathon la porte volontiers à l’entraînement en footing de récupération ou sur des sorties longues depuis de longs mois déjà.

Des testeurs enthousiasmés par cette Kiprun KS900.2

La Kiprun KS900.2 est la première paire maximaliste de la marque trail/running de Decathlon. Avec son épaisse semelle, la KS900.2 priorise l’amorti et le confort pour avaler les kilomètres sans dommage.

Kiprun a par ailleurs validé les promesses de sa paire « tout confort » auprés d’un panel de testeurs. « Cette KS900.2 a rencontré un vif succès lors de nos différents tests d’usage et de longues durées réalisés avec des coureurs externes à Decathlon. Elle a d’ailleurs obtenu le meilleur score de toute la gamme KS ! La note globale s’élève à 8.4/10 pour les hommes et 8.8/10 pour les femmes. 

Comme points positifs, 90% parlent de l’amorti maximal sur l’avant-pied et du confort d’accueil du nouveau mesh, avec 80% de recommandation d’achat. Sachant que les testeurs que nous sollicitons sont très exigeants, cela nous laisse espérer d’excellents avis clients ! » s’enthousiasme Matthias Valkeniers. Qui n’a pas peur de dire : « vu le niveau de confort et d’amorti, cette KS900.2 que nous vendons à 140 € chez Decathlon est d’une qualité comparable à des modèles tournant autour de 200 euros chez la concurrence. »

Pour sûr, si la marque française fait désormais course égale avec les grands équipementiers mondiaux côté technologies, elle garde une nette longueur d’avance sur le rapport qualité/prix. Sa nouvelle super shoes en carbone KD900X-LD (180 €) attendue début avril ne fera que le confirmer.



Morhad Amdouni et Méline Rollin ont frappé très fort sur le Marathon de Séville, explosant les deux records de France en 2h0347’ et 2h24’12’’. Les deux champions prennent la tête des qualifiés pour le marathon olympique des 10 et 11 août prochains.  

Quel dimanche de rêve pour l’athlétisme français ! Après le Marathon de Valence affichant neuf français sous les minima olympiques, le Marathon de Séville et son circuit rapide promettait d’être palpitant. Nos athlètes s’y sont pressés ce 18 février pour décrocher les derniers tickets olympiques. Et ce marathon andalous s’est achevé en apothéose. On ne pouvait espérer course plus parfaite, avec les deux records de France masculin et féminin actualisés.

Morhad Amdouni, patron du marathon français en 2h03’47’’

Morhad Amdouni a battu de record de france en 2h03'47'' sur le Marathon de Séville
Chrono stratosphérique en 2h03’47 » pour Morhad Amdouni, sur le Marathon de Séville. ©Juan José Úbeda / Zurich Maratón de Sevilla)

Morhad Amdouni d’abord, qui confirme. Le patron du marathon tricolore, c’est bien lui ! A Valence en décembre, le recordman de France (2h05’22’’, Paris 2022) avait cédé du terrain. Classé quatrième Français derrière Mehdi Frère (2h05’43’’), Nicolas Navarro (2h05’53’’) et Félix Bour (2h06’46’’), il ne faisait pas partie des trois athlètes prioritaires de la sélection olympique. Le Corse devait sortir un gros chrono à Séville pour assurer sa place sur les Jeux de Paris 2024.

Le contrat est plus que rempli. Car l’athlète de 35 ans a explosé son propre record de France de plus d’une minute et 35 secondes. En 2h03’47’’, il termine deuxième, à dix secondes de l’Ethiopien Deresa Geleta. Avec cette nouvelle marque, Morhad Amdouni frôle d’une poignée de secondes le record d’Europe, possession du Belge Bashir Abdi (2h03’36’’).

L’Ethiopien Deresa Geleta Sulfata remporte le Marathon de Séville en 2h03’27 » ©Juan José Úbeda / Zurich Maratón de Sevilla)

La victoire s’est envolée dans les 7 derniers kilomètres…

De retour d’un stage au Kenya, le fondeur du Val d’Europe Montévrain Athlétisme s’est fait métronome, calé à 2’55’’ par kilomètre. Passé au semi en 1h01’47’’ au sein d’un groupe de trois coureurs, il n’a vu la victoire s’envoler que dans les sept derniers kilomètres, lorsque l’Éthiopien Geleta a définitivement pris le lead. Dents serrées, regard porté droit devant, le grand Morhad n’a rien lâché. Il s’offre ainsi une magnifique deuxième place sur ce marathon espagnol affichant une densité folle, qui fut le théâtre de six autres records nationaux ce jour.

Le deuxième français, Abderrazak Charik avait aussi en tête le chrono 2h06’46’’ de Félix Bour qui faisait autorité jusqu’alors. Bien lancé, le jeune Dunkerquois a perdu du terrain après le 25e kilomètre. Il rend toutefois une belle copie, en 2h08’42’’, à peine cinq secondes au-dessus de son record établi à Amsterdam en octobre dernier.

De son côté, Yohan Durand (Dordogne Athlé) n’a pas rallié l’arrivée, après être passé au semi-marathon en 1h04’09’’. Le Grenoblois Duncan Perrillat, champion de France en titre sur la distance, termine troisième Français, en 2h13’05 ».

Méline Rollin détrône Christelle Daunay

Méline Rollin a battu le record de France de marathon à Séville.
Elle exulte, Méline Rollin, nouvelle recordwoman de France sur marathon ©Juan José Úbeda / Zurich Maratón de Sevilla)

Côté féminin, Méline Rollin confirme également l’étendue de son talent. En octobre dernier, elle était passée à 25 secondes des minima olympiques. Mais elle n’a pas fait une croix pour autant sur Paris 2024, ces Jeux représentant à ses yeux, « la cerise sur le gâteau » après son démarrage éclair sur marathon. La coureuse du Grac Athlé de 25 ans devait aussi sortir un gros chrono sur ce marathon de Séville.

Car à Valence, Mekdes Woldu (2h24’44’’), Mélody Julien (2h25’01’’) et Manon Trapp (2h25’48’’) avaient passé haut les minimas, prenant toutes trois la tête du bilan féminin au 30 janvier.

Imperturbable, la jeune championne Kiprun, a bien tapé du poing sur la table. Lancée sur des bases de 2h23’30’’, elle a passé le semi en 1h11’49’’, puis a maintenu la cadence à 3’26’’ lors des quinze derniers kilomètres.

Elle termine à la 8e place féminine. En 2h24’12’’, Méline Rollin efface pour dix secondes le record de Christelle Daunay, qui trônait tout en haut des tablettes nationales depuis 2009.

Quelques minutes plus tard, Anais Quemener coupait la ligne en 2h28’43’’, abaissant son record de dix-huit secondes malgré un contexte familial délicat. Margaux Sieracki, attendu pour son premier marathon, a quant à elle dû abandonner peu après le trentième kilomètre.

Résultats du Marathon de Séville

Femmes

  1. Azmera Gebru (ETH) 2:22:14
  2. Josephine Chepkoech (KEN) 2:22:40
  3. Magdalyne Masai (KEN) 2:22:51

Hommes

  1. Deresa Geleta Sulfata (ETH) 02:03:27
  2. Morhad Amdouini (FRA) 02:03:47
  3. Gashau Ayale (ISR) 02:04:53

Les résultats complets du Marathon de Séville



Pour réussir un semi-marathon, il faut être tonique et rapide, tout en ayant suffisamment d’endurance pour tenir 21 kilomètres. Voici l’éventail des séances qui vont vous aider à améliorer ces capacités.

La sortie longue en préparation d’un semi-marathon

C’est l’incontournable pour construire votre foncier. Elle va forger votre endurance et votre capacité à durer, car vous mettrez 1h30, 2h ou plus, pour boucler leur semi ! Ces longues sorties devront être effectuées au moins en partie sur bitume, car vous devrez habituer votre organisme à cette surface dure.

Au fil de votre préparation, elle s’allongera. De 1h25 au début, jusqu’à 1h45 à 2h à la fin en fonction de votre chrono objectif. Quel que soit votre niveau, vous aurez intérêt à y introduire des portions à allure spécifique en fin de préparation.

Une bonne alternative pour cette sortie longue : enchaîner course à pied et vélo ou vice et versa. Cela permettra d’allonger vos sorties sans traumatisme grâce à ce sport porté. Si vous n’avez pas de bonnes conditions pour rouler
à vélo, le home trainer fera très bien l’affaire.

L’idéal est de commencer par le vélo. Vous attaquerez ainsi votre longue sortie à pied avec une pré-fatigue. Cela accoutumant à celle que vous ressentirez à la fin de votre semi. Si votre emploi du temps est trop contraint, vous pouvez aussi séparer les deux activités (une le matin, une l’après-midi), voire opter pour une séance de biquotidien.

La séance « d’éducatifs course »

Sur semi-marathon, il faut tonique, rapide et endurant. Découvrez les séances clés pour réussir votre semi.
©Puma


Avant tout travail de fractionné, pour acquérir une foulée tonique et efficace, il faut entraîner vos pieds. Cela passe par des séances adaptées et spécifiques, pour atterrir en plante et rebondir vers l’avant. Après un bon échauffement, cela consiste à enchaîner des lignes droites avec divers exercices. Des foulées bondissantes, des montées de genoux, des talons fesses, et même des montées d’escaliers. Prenez alors les marches une à une, en fréquence et en montant les genoux. Ou bien deux à deux en poussant au maximum vers le haut… et alterner !

La séance de Vitesse Maximale Aérobie (VMA) spéciale semi-marathon

Sur semi-marathon, il faut tonique, rapide et endurant. Découvrez les séances clés pour réussir votre semi.
©Puma


Pour faire simple, votre VMA correspond à la vitesse maximale que vous êtes capable de tenir sur environ 6 minutes.
Elle détermine en quelque sorte votre cylindrée, et par suite votre aisance à maintenir des vitesses inférieures sur des durées
plus longues. Sur votre semi, vous allez courir à une allure correspondant à plus ou moins 85% de votre VMA. Donc plus elle sera élevée, plus vous irez vite, c’est mathématique.

On la développe en début de préparation. Comptez 2 séances par semaine si vous vous entraînez au moins 4 fois. Ensuite, vous la maintiendrez en conservant une séance hebdomadaire. Sur chaque séance, vous devez parcourir au total 2,5 à 5 km, à 100 % votre VMA.

Ce total sera découpé en fractions courtes, entre lesquelles vous récupérerez en trottinant durant un temps équivalent à celui de votre effort. Vous progresserez dans la préparation en allongeant les fractions. Faites par exemple 12 x 150 m pour commencer. Puis 10 x 200 m, 8 x 300 m, 10 x 300 m, 8 x 400 m, 10 x 400 m, et 12 x 400 m. Vous pouvez aussi mixer les distances en travaillant le fractionné en pyramide. Un exemple : 150 m + 200 m + 300 m + 400 m + 300 m + 200 m + 150 m.

La séance de côtes

Et pourquoi ne pas tester la séance de côte en continu en préparation marathon ?
©Garmin

Ce travail vous permettra une musculation dans le geste, un renforcement de vos membres inférieurs. Il faudra l’effectuer de préférence en début de préparation, en parallèle avec la VMA, Commencez par des côtes courtes que vous mettrez environ 40 secondes à gravir. Le pourcentage doit dépasser les 5 %. Cela afin que l’effet « montée » se fasse sentir, mais ne pas excéder les 15 % afin que vous puissiez toujours courir.

La récupération se fait en revenant à votre point de départ en trottinant. Commencez par 10 répétitions, puis augmentez progressivement jusqu’à 20, réparties sur 2 séries avec 2 min de récupération sur le plat entre les 2.

Si vous avez des montées plus longues près de chez vous, passez ensuite progressivement à des côtes d’1 min, 1 min 30 sec, voire même 2 min, en gardant une bonne tonicité de foulée.

La séance spécifique semi-marathon

Sur semi-marathon, il faut tonique, rapide et endurant. Découvrez les séances clés pour réussir votre semi.
©Puma

Celle-ci se court à la vitesse de votre prochain objectif. C’est la cerise sur le gâteau, qui vient parachever votre préparation. Son but est de vous apprendre à maîtriser votre allure de compétition. En sollicitant votre organisme à cette allure, vous lui permettez de s’adapter et de retarder l’apparition des processus physiologiques limitant votre performance.

Si vous avez un temps de référence récent sur semi, calculez la vitesse moyenne que vous avez tenue en mn/km, et basez-vous sur celle-ci en y soustrayant quelques secondes.

C’est votre premier semi ? Vous avez sans doute déjà couru un 10 km (nous vous conseillons de commencer par cette plus courte distance ! ). Basez-vous donc sur la vitesse moyenne sur 10 km en mn/km et rajoutez-y environ 15 secondes, pour savoir à quelle vitesse vous devez fractionner. Cela doit correspondre à 80 à 85 % de votre VMA. Vous commencerez par 5 à 8 x 1000 m, puis 3 à 4 x 2000m, puis 2 à 3 x 3 000m, entrecoupés de récupérations trottées de 2 à 3 min. Idéalement, ces fractions se feront sur une route bornées tous les kilomètres, ou sur un chemin stabilisé étalonné. QU



La 45e édition de Marseille-Cassis s’annonce pour le 27 octobre. Mais avant de s’aligner au départ dans 8 mois, le premier grand-rendez à ne pas louper, c’est l’ouverture des inscriptions le 20 février.

Marseille-Cassis, c’est donc reparti … et la SCO Sainte Marguerite ainsi que la Ville de Cassis, co- organisateurs de l’évènement, donnent à nouveau rendez-vous cette année à 20 000 runners. Comme l’an dernier, les inscriptions ouvriront le 20 février à 10h en ligne sur le site de la course.

En 2023, les trois quarts des 20 000 dossards étaient attribués en quatre jours seulement. Pour s’assurer sa place, mieux vaudra donc ne pas rater le coche !

3 sessions pour s’inscrire pour Marseille-Cassis entre le 20 février et le 22 février

Après l'ascension du col de la Gineste, le plateau de Carpiagne s'ouvre au 10ekm.
Après l’ascension du col de la Gineste, le plateau de Carpiagne s’ouvre au 10ekm de Marseille-Cassis. ©DR

La mécanique mise en place par Marseille-Cassis pour s’inscrire compte trois sessions distinctes :

Premier temps, pour les inscriptions pour les groupes. Elles sont réservées aux entreprises, associations et clubs sportifs. Avec réservation de 20 à 100 dossards maximum, au prix unitaire de 75 euros. Ouverture le mardi 20 février à 10h exclusivement en ligne sur www.marseille-cassis.com.

Deuxième session réservée aux licenciés FFA. Le dossard est affiché à 65 euros, à partir du mercredi 21 février à 9h au jeudi 22 février 2024 à 9h. Attention, cette session sera limitée à 1500 places.

Enfin, les inscriptions individuelles. Elles démarreront le jeudi 22 février à 10h en ligne sur le site de la course. Les Marseillais pourront également se rendre au siège de la SCO Sainte Marguerite  (1 boulevard de la Bugette) uniquement le jeudi 22 février à partir de 10h, au prix de 70 euros.

Après cette période d’inscription, l’organisation mettra en place un système d’achat, revente et transfert de dossards. Vu l’engouement que suscite cette classique provençale cette « bourse aux dossards » fera des heureux d’ici à l’automne prochain.

Lire notre repérage du parcours de Marseille-Cassis, en 5 points clés



Le Marathon de Séville, prévu ce dimanche 18 février, affiche une densité inédite. Parmi les 250 élites en lice, les Français Morhad Amdouni, Abderrazak Charik, Yohan Durand, Benjamin Choquert, Duncan Perrillat ou encore Méline Rollin courront en quête des derniers tickets pour les Jeux olympiques.

Le Marathon de Séville annonce la composition internationale la plus solide au monde, avec plus de 250 élites attendus ce dimanche 18 février.

En lice, une armada africaine qui se battra pour le record de l’épreuve, les meilleurs espagnols rassemblés pour le championnat national, mais aussi les meilleurs européens en quête du passeport olympique pour Paris 2024. Après Valence en décembre, Séville et son parcours ultra rapide est l’une des dernières occasions pour tenter les minima avant le 30 avril.

Marathon de Séville : dix athlètes sous les 2h06′

© Marathon de Séville – 2023 Juan Jose Ubeda & Team.

Dans la capitale andalouse, dix athlètes sous 2h06 et vingt sous les 2h08’ seront présents. L’Éthiopien Asrar Hiyrden, vainqueur en 2022 et actuel recordman du parcours en 2h04’43’’ affrontera Gadisa Birhanu Shumie, vainqueur 2023 en 2h04’59’. L’Érythréen Okubay Tsegay, crédité d’un 2h05’20’’ à Berlin en 2023 et l’Israélien Ayale (2h05’33 »), qui a réalisé le record national à Séville l’an dernier, figurent aussi parmi les favoris.

Coté Français, il y aura de la concurrence au plus haut niveau. Certes un peu moins que sur le dernier Marathon de Valence début décembre où cinq tricolores avaient réussi le chrono qualificatif masculin (2h08’10 »). Parmi eux, Mehdi Frère (2h05’43’’) et Nicolas Navarro (2h05’53’’) en tête du bilan français sont désormais assurés de participer au marathon olympique le 10 août prochain.

Reste donc une troisième et dernière place pour les Jeux, qui sera bataillée sur ce Marathon de Séville. Pour cela, les candidats devront courir sous le solide chrono de Félix Bour (2h06’46 » à Valence), actuellement détenteur du troisième quota.

Morhad Amdouni attendu autour 2h05′ sur le Marathon de Séville

Morhad Amdouni signe le record de France du Marathon à Paris en 2h05'22''.
Morhad Amdouni, recordman de France du marathon (2h05’22, Paris 2022′)

Morhad Amdouni est clairement le tricolore le plus costaud annoncé à Séville. Après son chrono un peu décevant en 2h06’55’’ à Valence, le recordman de France (2h05’22’’, Paris 2022), fraîchement rentré d’un stage au Kenya est en forme. Et compte bien briller haut sous le soleil espagnol. Sous les 2h05 ? Peut-être…

Comme lui, deux autres champions ont choisi d’enchaîner les deux marathons phares d’Espagne à deux mois d’intervalle, les JO en ligne de mire. Benjamin Choquert, crédité d’un 2h07’42’’ en décembre dans la « Cuidad del running » et Yohan Durand dont le record en 2h09’21’’ date de Paris, en 2021.

L’athlète Asics qui sort d’une longue période de blessure, avait abandonné son marathon « retour » à Valence en décembre dernier. Mais il s’est remobilisé autour de cet objectif andalous, affichant un récent chrono en 1h04’14’’ sur semi, réalisé à Séville justement, le 27 janvier.

Abderrazak Charik en embuscade

Le Dunkerquois Abderrazak Charik, 26 ans, tentera de décrocher les minima olympique sur le Marathon de Séville.
Abderrazak Charik a déjà couru le Séville, son 2eme marathon en 2h10’33 » en 2023. ©Asics-Albin Durand

Autre champion très attendu, le talentueux Abderrazak Charik. Le Dunkerquois de 26 ans pourrait bien créer la surprise sur ce circuit sévillan qu’il a découvert l’an dernier. Il avait d’impressionné à Amsterdam en octobre dernier en bouclant son troisième marathon en 2h08’37’’, dans le vent, sous la pluie et sur un circuit moins performant que celui de Séville.

Lui aussi sera dans les starting-blocks avec un « RP » tout frais sur semi. En effet, le coureur Asics a explosé son record sur 21km avec un excellent 1h01’43’’ signé à Séville, il y a trois semaines. Lui aussi pense fort à Paris 2024, une olympiade qui serait tout un symbole pour lui.

Parmi les engagés figurent aussi Valentin Witz, solide pour son premier marathon en 2h10’ et Duncan Perrillat, actuel champion de France (2h12’13’’).

Méline Rollin retentera aussi sa chance

Méline Rollin a couru son deuxième marathon à Amsterdam en 2h26’55’’. Cette nouvelle pépite du demi-fond français n'a pas fini de briller…
Méline Rollin a couru son deuxième marathon à Amsterdam en octobre 2023 en 2h26’55’’. ©Kiprun

Quant à la liste de départ féminine, la Namibienne Helalia Johannes, sera la plus capée, avec son record en 2h19’52’’.

Deux Françaises s’aligneront aussi en rêvant du ticket olympique. Comme chez les hommes, il ne reste à présent qu’un seul quota sur trois. Mekdes Woldu (2h24’44’’) et Mélody Julien (2h25’01’’) bénéficient du statut d’athlètes prioritaires. Manon Trapp, sous les 2h26’50’’ requis (2h25’48’ à Valence) est déjà très bien placée, et prévoit de recourir ce printemps.

En attendant, Méline Rollin retentera sa chance ce dimanche en Andalousie. En octobre à Amsterdam, la coureuse Kiprun était passée à 5 secondes du chrono qualificatif sur son deuxième marathon.

A ses côtés Margaux Sieracki, créditée d’un 1h11’01’’ sur semi-marathon courra son premier 42 km sur les bords du Guadalquivir.

Le coup d’envoi du Marathon de Séville sera donné ce dimanche 18 février à 8h30. Avant le départ, le peloton observera symboliquement 42 secondes de silence en hommage à Kelvin Kiptum, brutalement décédé il y a quelques jours dans un accident de la route au Kenya.

Vous pourrez suivre en direct la course sur la chaîne Eurosport 2 dès 8h15 ou sur la chaîne Youtube de l’évènement : https://www.youtube.com/@MaratonDeSevilla/featured.



Abderrazak Charik, 26 ans a explosé son record sur semi-marathon en 1h01’43’’ à Séville le 27 janvier. Le Dunkerquois sera au départ du Marathon de Séville ce dimanche 18 février, avec l’espoir de passer haut les minima olympiques. Le Dunkerquois, en forme pourrait bien créer la surprise…

CV sportif d’Abderrazak. 8 sélections en équipe de France, athlète ASICS, licencié au Racing Multi Action, 28’36’’ sur 10 km (Langueux, 2021), 1h01’43’’sur semi (Séville, 2024), champion d’Europe de cross par équipe en 2016 (junior), premier marathon en 2021 en 2h13 (Paris, 2021)

En octobre dernier, votre chrono en 2h08’35’’sur votre troisième marathon vous a fait entrer dans une nouvelle dimension…

« Oui, clairement, c’est ma plus belle performance, ma première course à niveau international. Ce chrono qui m’ouvre énormément de portes, j’en suis fier car j’ai eu tout ça à la sueur de mon front. Cela confirme mes choix et la trajectoire que j’ai prise. Et comme je suis jeune, c’est encourageant pour la suite ! »

Le Dunkerquois Abderrazak Charik, 26 ans, tentera de décrocher les minima olympique sur le Marathon de Séville.
©Asics-Albin Durand

Vous êtes passé à 25 secondes des minima pour les jeux de Paris 2024. Comment l’avez-vous vécu sur le coup ?

« C’est un peu frustrant, c’est sûr mais je ne suis pas du tout déçu de ma course car je n’avais aucune indication du temps que je pouvais réaliser à partir de 34e km, où le lièvre nous a lâché. Sur la fin, j’avais les jambes. Trois semaines après mon échec à Berlin, où j’étais parti trop confiant sur les bases de 2h06’, j’étais cette fois sur une allure que je me savais capable de tenir. J’avais écrit un chrono sur ma main juste en dessous des 2h09’. Je ne m’étais pas rendu compte que j’allais plus vite. Maintenant, je sais que je peux faire mieux. Les 25 secondes qui m’ont manquées, cela représente 130 mètres, c’est-à-dire presque rien. Il y avait de la pluie et du vent, le parcours n’était pas forcément le plus roulant à Amsterdam. Tous un tas de détails font que je n’ai pas pu m’exprimer à 100% pour l’instant sur marathon. »

La prochaine étape c’est donc ces minima sur le Marathon de Séville (18 février) en visant plus haut que le chrono de Félix Bour (2h06’46 ») actuellement troisième sur la liste…

« Oui. J’ai un coup à jouer mais il va falloir sortir un très gros chrono pour décrocher cette troisième place sachant que Morhad Amdouni, qui a un potentiel en 2h04-2h05, a l’air d’être en très grande forme. En tout cas, je pense qu’il y a vraiment moyen d’aller chercher mon record personnel à Séville. Si je termine entre 2h07’45’’ et 2h07’’, il n’y aura vraiment pas de quoi être déçu et je ne pourrais qu’être fier de moi. Après, si je fais un chrono sous les 2h07’, alors là, ce serait « waouh ». Mais je reste lucide, 2h06’, c’est une autre dimension. En tout cas, je ne me mets aucune pression, surtout que j’ai fait une préparation courte, sans cycle bien construit, sans stage en altitude. Mais j’ai confiance en mon travail. Je suis plutôt bien, après que vont donner mes jambes le jour J, je n’en ai aucune idée…

La préparation s’est bien passée ?

« En fait, j’ai fait une prépa en dernière minute. J’ai commencé mi-décembre pour courir mi-février, cela fait 8 semaines, c’est court. Au fil des semaines, je sentais que j’étais plutôt pas mal, que soit sur les sorties longues et les gros blocs le week-end, tout passait tranquillement. Du coup, j’ai décidé de m’inscrire en dernière minute sur le semi de Séville qui m’a bien rassuré sachant que je n’étais pas au top du top au niveau de la forme. »

Justement Abderrazak Charik, sur le semi de Séville, le 27 janvier, vous avez battu votre record de plus d’une minute en 1h01’43 ». C’est de bon augure en vue du marathon de Séville ce dimanche…

« Oui, ce chrono en 1h01′, c’était un peu la surprise. Quelques jours avant, je m’étais arrêté car j’avais une gêne au niveau du mollet donc j’avais une petite séance de rappel de vitesse le mercredi, et tout s’est bien passé. Cela me met bien en confiance pour le marathon de dimanche. Je partirais dans le groupe des 1h03’30 » au semi, en espérant courir à ce rythme jusqu’au 30ekm. J’ai déjà couru ce marathon l’an dernier (2h10’33 »), je viens de courir le semi de Séville, j’ai l’impression que c’est une ville qui me réussit bien.

Le Dunkerquois Abderrazak Charik, 26 ans, tentera de décrocher les minima olympique sur le Marathon de Séville.
©ASICS-Albin Durand.

Courir le marathon olympique à Paris le 10 août 2024 ce serait pour vous…

« Un rêve ! Les J.O, c’est le graal de tout athlète. Honnêtement, je n’y pensais pas lorsque j’ai commencé le marathon en 2021, mais c’est désormais mon objectif numéro 1 et ce serait une belle réussite pour moi. J’aimerai pouvoir me dire dans quelques années, tu peux être fier de toi, toi qui es parti de rien du tout. J’ai grandi en Algérie, je suis arrivé en France à 8 ans, j’ai dû m’adapter. Tout le chemin que j’ai fait, je l’ai construit tout seul. Ces Jeux à Paris, c’est aussi symbolique. Courir dans le pays qui m’a accueilli et le représenter serait une sorte de monnaie d’échange.»

Abderrazak Charik, revenons à votre démarrage sur marathon fracassant. Premier marathon à Paris en 2021 en 2h13’, deuxième à Séville en 2023 en 2h10’33’’, troisième en 2h08’35’’ à Amsterdam quelques mois plus tard. Qu’est-ce qui vous a fait passer des caps si vite ?

«  Je n’ai pas changé grand chose côté entraînement depuis 2021. Je tourne entre 160 km et 200 km par semaine en douze ou treize entraînements. J’ai maintenant plus de temps pour m’entraîner car des partenaires m’accompagnent d’un point de vue financier. Et cela change beaucoup car je ne pourrais pas courir à ce niveau en travaillant ne serait-ce qu’à mi-temps.

Je sais aussi qu’une carrière d’athlète passe vite, alors je mets toutes les chances de mon côté. Je suis bien plus strict qu’avant sur la nutrition, le sommeil, la récupération. Je prends les conseils des champions autour de moi, je vais m’entraîner en altitude à Font Romeu ou bien au Kenya. Tout cela me permet d’être plus posé dans ma tête et de croire en moi. »

Le Dunkerquois Abderrazak Charik, 26 ans, tentera de décrocher les minima olympique sur le Marathon de Séville.
©Asics-Albin Durand

Qu’est-ce qui vous a fait basculer sur marathon en 2021 ?

« Je fais de l’athlétisme depuis l’âge de 13 ans. Du 1500 m, du 3000 m, du 10 000 m, du 10 km. J’étais assez solide sur semi (NDLR : record en 1h02’45’’ à l’époque, avant l’arrivée des chaussures en carbone), alors je me suis dit que le marathon devrait bien me convenir. Et c’est le cas, j’aime cette distance !

Mais je ne vais pas vous mentir, j’espérais aussi bénéficier d’un contrat en tant qu’athlète de haut niveau en me faisant un nom. L’athlétisme fait partie de mon quotidien, c’est même mon métier, mais je ne cours pas pour rien alors j’ai pris mon courage à deux mains, je me suis entraîné dur et mes efforts ont fini par payer. »

Désormais vous êtes professionnel en contrat avec Asics, soutenu par un nouveau club, le Racing Multi Action. Avant cela, votre quotidien d’athlète était plus compliqué…

« Oui, pendant des années, j’ai mis des euros de côté pour partir faire des stages de 4 à 5 semaines avec les meilleurs athlètes dans l’espoir de sortir une performance qui pourrait me permettre de monter en grade. Du coup, j’ai enchaîné plusieurs petites boulots, dans un kebab, une boucherie, comme serveur dans un restaurant de midi à minuit, avec des entraînements entre 9h-11h. C’était intense mais je n’avais pas le choix. Je n’étais pas fait pour les études, je me suis rapidement concentré sur l’athlétisme. »



La Brooks Glycerin 21, modèle référent « tout confort, toutes distances » chez Brooks revient équipée des dernières technologies pour perfectionner l’amorti et offrir une douceur incomparable au quotidien.  

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Cette Brooks Glycerin 21 est sans aucun doute, après la mise sur le marché de la Ghost Max le symbole du thème fort chez Brooks le confort ou ‘cushioning’ en anglais.

Quelles évolutions pour cette paire star des pelotons cette saison ? La première se joue du côté de la semelle. Avec la nouvelle technologie de la mousse injectée d’azote, troisième version de l’amorti DNA loft, on est clairement monté en puissance dans le confort et l’amorti.

Le drop lui affiche 10 mm avec un arrière réhaussé par rapport au modèle précédent, soit une hauteur totale à l’arrière de 28 mm.

A l’essayage l’effet « waouh » est immédiat. Quel confort ! Le chaussant est assez large, en tout cas suffisamment pour mes pieds qui ont souvent besoin d’espace au niveau des orteils.

Le serrage se fait naturellement. Par ailleurs, on ne sent pas trop de rock vers l’avant, ce qui permet d’avoir une sensation très naturelle lors du déroulé du pied. Le mesh est en tricot technique semble d’adapter aux zones du pied. Tantôt un serrage moins présent, tantôt un maintien plus poussé.

Déroulé fluide et sensation de légèreté

Brooks Glycerin 21, encore plus de confort

Aux première foulées, elle s’avère plus légère qu’elle n’y parait, avec son look un rien « maousse ». En effet, la chaussure affiche 249 g en 38, un poids maintenu pour ce type de paire.

Pour autant la chaussure ne semble pas fragile. D’une manière générale chez Brooks la durabilité est une valeur sûre. A voir donc après 400 ou 500 km comment se comportera ce modèle. En tout cas, cette technologie de mousse injectée semble être particulièrement résistante à ma foulée pour le moment.

Le déroulé du pied est fluide. Le dynamisme qui est présent derrière l’extrême confort de la chaussure. Mais on reste avant tout sur un modèle qui peut faire des longues distances avec la garantie d’être bien amorti, et sans aucun souci de stabilité.

Je n’ai eu aucune irritation avec une centaine de kilomètres parcourus. C’est un très bon point car je suis sujette aux ampoules en général dans de nombreux modèles de chaussures.

Brooks Glycerin 21, nouvelle version de la paire "tout confort toutes distances".
Brooks Glycerin 21, nouvelle version de la paire « tout confort toutes distances », ici en coloris féminin.

A noter que cette Brooks Glycerin 21 existe en deux déclinaisons. Une pour les foulées neutres et une autre pour les foulées plutôt pronatrices. La chaussure est équipée alors de son système GTS qui est une sorte de guide permet de maintenir le pied bien dans l’axe lors de chaque foulée.

On valide donc ce modèle avec une excellente note sur tous les critères habituels de nos tests. Tout de même un petit bémol : la couleur ! Ce bleu c’est bien mais bon… Peut-être sera-t-elle proposé en d’autres coloris féminins ? En attendant, je me mets à rêver d’une Glycerin Max, une paire ultime pour encore plus de confort sur mes prochains marathons.

Les notes de la testeuse. Amorti : 20/20 Confort : 18/20 Souplesse : 18/20 Stabilité : 18/20 Note moyenne : 18,5/20

Le + : Le côté accessible d’une chaussure confortable destinée plutôt poids lourds mais qui s’adapte très bien au poids moyens. Le – : C’est la partie dynamisme qui est moins importante au détriment du confort.

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Kelvin Kiptum, 24 ans, premier homme à courir le marathon en moins de 2h01′, est mort dans un accident de la route au Kenya qui a aussi coûté la vie à son entraîneur.

La planète marathon a perdu son champion. Kelvin Kiptum, 24 ans, a perdu la vie à une quarantaine de kilomètres d’Eldoret, dans la vallée du Rift, haut lieu de la course de fond kényane.

Le recordman du monde du marathon est décédé dans un accident de la route qui a également coûté la vie à son coach, Gervais Hakizimana. L’information a été communiquée par le journal kenyan Nation, après que la tragédie se soit produite, le 11 février vers 23 heures (21 heures à Paris).

« C’est un accident où il n’y a pas d’autre voiture impliquée, et où Kelvin Kiptum conduisait sa voiture, accompagné de deux passagers. Kiptum et Hakizimana (son entraîneur) sont décédés sur le coup, et la troisième personne a été transférée à l’hôpital », a déclaré le chef de la police du comté d’Elgeyo Marakwet, Peter Mulinge.

Kelvin Kiptum, un démarrage ahurissant sur marathon

© Bob Martin for London Marathon Events

De quasi inconnu à recordman du monde de marathon, Kelvin Kiptum avait sidéré la planète marathon ces deux dernières années. En trois marathons, il avait réalisé trois des six meilleures performances mondiales. Premier marathon couru en 2h01’53’’ à Valence en décembre 2022, deuxième en 2h01’25’’ à Londres en avril 2023. Puis Chicago, marathon de son record du monde en 2h00’35’’ en octobre dernier, fraîchement ratifié par la World Athletics.

Le champion, nouvel ambassadeur des cardio-GPS Amazfit avait l’objectif de courir le marathon en moins de deux heures au mois d’avril à Rotterdam. Il était attendu ensuite sur le marathon olympique l’été prochain. Le duel s’annonçait palpitant avec son compatriote Eliud Kipchoge, ex-recordman du marathon.

Lire l’analyse du record du monde du marathon de Kelvin Kiptum.

« Il était notre avenir »

Amazfit et Kelvin Kiptum s’unissent pour repousser leurs limites. Le recordman du monde du marathon portera le nouvelle montre cardio-GPS Cheetah Pro sur le Marathon de Rotterdam en avril, ainsi que la nouvelle bague connectée de la marque chinoise.
Avec Amazfit, son nouveau partenaire électronique, Kelvin Kiptum avait déclaré vouloir courir le prochain Marathon de Rotterdam en moins de 2 heures.

De ce Kenyan propulsé si vite au sommet de l’athlétisme, on ne savait pas grand chose. A part que ce profil était atypique. Il n’avait pas ses classes sur la piste, ayant commencé à courir sur le tard, en 2016.

En 2019, Kelvin Kiptum avait réussi deux semi-marathons très rapides en deux semaines (60’48 » à Copenhague puis 59’53 » à Belfort, ses premières performances.

C’est à cette période qu’il a croisé Gervais Hakizimana, qui le coachera en vue de courir sur marathon trois ans plus tard. On le savait stakhanoviste de l’entraînement, capable d’enchainer des semaines à plus de 250 kilomètres.

Avec sa disparition, le Kenya perd un grand champion. « Il était notre avenir » affirme ainsi le chef de l’Etat kenyan dans un message posté sur le réseau social X, évoquant « sans doute l’un des meilleurs sportifs au monde qui a brisé les barrières pour établir un record du marathon ».



Au cœur de l’hiver, la course aux dossards pour les grands rendez-vous running de l’année bat son plein. 2024 sera une année marathon record. État des lieux de La Baule à Caen en passant par Nantes et bien sûr Paris.

L’année s’ouvre avec enthousiasme : jamais les coureurs n’avaient pris autant de dossards. La tendance est générale et redonne le sourire aux organisateurs, après des années difficiles marquées par le Covid. En effet, plusieurs grands rendez-vous running affichent déjà complets, ou sont en passe de l’être. Le dénominateur commun : une hausse sensible de la participation féminine.

Paris à la folie

Plus de 50 000 concurrents s'élanceront sur les Champs-Elysées le 7 avril à l'occasion du Marathon de Paris.
Plus de 50 000 concurrents s’élanceront sur les Champs-Elysées le 7 avril à l’occasion du Marathon de Paris. ©ASO-Morgan Bove

En tête du box office, les deux évènements parisiens du printemps, toujours plus courus. D’abord, l’Harmonie Mutuelle Semi de Paris (3 mars) et ses 47 000 concurrents rassemblés dans l’Est parisien. Ce quota record d’inscrits est en hausse (+15% depuis 2022) et fut atteint un mois plus tôt que l’an dernier.

Tout juste labellisé « Grande Cause Nationale 2024″ ce semi affiche une singularité : 44% des engagés y courront leur première compétition de 21.1 km. Ce score inédit ne cesse de progresser, porté notamment par la féminisation du peloton. Cette année 42% des participants seront des femmes (contre 37% l’an dernier).

Un mois plus tard, l’incontournable Schneider Electric Marathon de Paris rassemblera le monde entier sur les Champs-Élysées. L’évènement phare du calendrier était « sold out » mi-décembre cette année, avec plus de 50 000 dossards vendus (les chiffres ne sont à présent plus communiqués). Comme pour le semi, d’une édition à l’autre, les rangs se gonflent de « néo marathoniens » se lançant sur la distance marathon au cœur de la capitale. Ils seront 46% à vivre leur première expérience marathon le 7 avril. Près d’un concurrent sur deux !

La première édition de La Baule complète dix mois à l’avance

Le premier Marathon de la Côte d'Amour affiche complet dix mois à l'avance.
Le premier Marathon de la Côte d’Amour, complet dix mois à l’avance. ©Escape Feeling

En dehors de Paris, plusieurs marathons sont également victimes de leur succès. A commencer par le nouveau marathon de la Côte d’Amour. Son tracé « carte postale » sur la presqu’île guérandaise a suscité un bel engouement auprès de la communauté.

Pour assister à cette première autour de La Baule, les coureurs se sont rués sur leurs claviers plus de dix mois à l’avance. L’épreuve reine, complète depuis décembre, reste toutefois accessible sur liste d’attente. Les inscriptions sont toujours possibles sur les autres distances à l’affiche (semi-marathon, 10 km et le 5 km).

Sur le littoral Atlantique, le Marathon de Royan connaît aussi un engouement croissant. Il enregistre même une hausse d’inscription exceptionnelle avec plus de 50% d’inscrits à date par rapport à l’année 2023. « La manifestation souhaitant rester à taille humaine, pour des questions de gestion du parcours et de confort des coureurs, elle n’accueillera que 5500 coureurs au maximum. Si nous continuons sur ce rythme il est fort possible que nos épreuves soient complètes dès début avril. », commente l’organisation, qui se réjouit du succès annoncé de sa 8eme édition du 25 mai.

Le Marathon de la Loire de Saumur (5 mai) affiche déjà presque complet.
Marathon de la Loire de Saumur (5 mai 2024) ©Photorunning

Les candidats se bousculent également au portillon pour participer au Marathon de la Loire (5 mai). Les dossards alloués pour l’épreuve combinée (canoë + course) et le semi-marathon de Saumur ont trouvé preneurs deux mois plus tôt qu’en 2023. Et il ne reste que quelques dossards pour le marathon qui suivra les bords de Loire.

En remontant ce fleuve royal, on pense aussi évidemment à Nantes. La grand-messe bretonne entrevoit une 42ème édition record (20-21 avril). Le semi, sur liste d’attente, est déjà plein depuis belle lurette. Restent 300 dossards pour l’Abalone Marathon de Nantes et les Foulées de l’Eléphant, 10 km organisé le samedi soir.

A Caen, une fréquentation multipliée par 4

Marathon de la Liberté revient du 3 au 5 juin 2022
Le Marathon de la Liberté, qui se court en partie le long des plages du Débarquement ne cesse de gagner en notoriété. ©Yves Mainguy.

Même engouement pour le festival running de Caen. La 37ème édition du Marathon de la Liberté ou Normandy Running Festival coïncide cette année avec le 80eme anniversaire du débarquement de Normandie.

L’évènement (31 mai au 2 juin) compte déjà plus de 15 000 inscrits à quatre mois du jour J. Désormais, le semi-marathon Pegasus (5 000 coureurs) comme la course féminine La Rochambelle (7500 participantes) sont complets. Du jamais vu. « A l’heure actuelle, la fréquentation de certaines épreuves est multipliée par 4. L’émotion sera au rendez-vous ! », s’enthousiasme Dominique Le Dret, président de l’association organisatrice.

Avec le Marathon pour Tous (lui aussi presque complet) en point d’orgue le 10 août, 2024 promet d’être une année running exceptionnelle. Comme un symbole, ce marathon grand public historique des Jeux Olympiques de Paris sera paritaire. Autant de femmes que d’hommes en lice, sur le papier du moins. Une grande première sur la distance marathon.



Cette Hoka Cielo X1 se présente comme la paire la plus rapide de la marque. Une nouveauté destinée à la vitesse, à l’état pur, et à réserver aux plus compétiteurs.

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Hoka a déjà largement investi le champ des chaussures à plaque carbone mais en proposant des modèles à la fois entrainement et course. La nouvelle Cielo X1 se présente comme le modèle compétition ultime.

Tout y pensé pour la vitesse et l’efficacité. Le look est très marqué et agressif. Il rappelle celui d’autres modèles carbone compétition de la concurrence. Le dessin de la semelle avec son encoche et le profil très effilé ne laissent pas de doute quant à l’objectif de cette chaussure : aller vite.

Chaque gramme a compté…

La Hoka Cielo X1 se présente comme la paire la plus rapide de la marque. Une nouveauté destinée à la vitesse, à l’état pur, et à réserver aux plus compétiteurs.
La Hoka Cielo X1 pèse 210 g en 40 et affiche un drop de 7 mm.

Vous vous avons déjà présenté les caractéristiques de cette Hoka Cielo X1 lancée 1er février. Après plusieurs semaines de test, voici que ce nous en avons pensé.

Côté tige on trouve un mesh très léger, très fin qui interroge un peu sur sa durabilité. Enfiler la Hoka Cielo X1 n’est pas évident car le pied est vraiment verrouillé à l’intérieur. Les lacets vraiment très fins et un peu « plastiques » ne rendent pas le laçage des plus faciles. La languette élastique est là pour protéger mais sans plus car là aussi, la recherche de gain de poids est évidente.

Cette Cielo X1 n’offre pas le niveau de confort habituel chez Hoka qui fait la force de la marque même sur des modèles vitesse comme la Mach X. Pour autant, on ne se sent pas mal, bien au contraire.

La Hoka Cielo X1 se présente comme la paire la plus rapide de la marque. Une nouveauté destinée à la vitesse, à l’état pur, et à réserver aux plus compétiteurs.
Une conception innovante pour la Hoka Cielo X1 avec une semelle « creusée » associant deux mousses de densité différentes et une plaque en carbone.

Une fois en place, la sensation est étrange. C’est la première fois que je ressens à ce point la bascule. La semelle est clairement incurvée pour accentuer le mouvement du corps vers l’avant. On se sent également en hauteur, l’épaisseur de la semelle de 40mm y est pour beaucoup.

Il a fallu placer plusieurs couches de matière sous la chaussure. Une plaque en fibre de carbone, intercalée entre deux couches de mousse PEBA. La couche au contact du pied est plus souple, accès vers le confort. La couche inférieure est sans doute ce que j’ai rencontré de plus ferme chez Hoka pour maximiser le retour d’énergie.

Un effet de vitesse réel avec la Hoka Cielo X1

Hoka Cielo X1, la nouvelle paire en carbone Hoka, plus rapide que rapide.

En action cela se ressent tout de suite. On sent physiquement l’effet rebond. Plus on accélère et plus la chaussure devient stable et efficace. C’est ce sentiment que nous avions déjà rencontré avec la gamme Rocket.

L’effet vitesse est réel. Maintenant la question est de savoir combien de temps un coureur peut tenir avec cette chaussure avant de fatiguer. Hoka destine cette chaussure aux coureurs en quête de performance. Et c’est évident tant il faut « du pied » pour exploiter tout le potentiel de cette Cielo X1.

Les débutants et les poids lourds peuvent passer leur chemin et il y a des modèles vitesse efficaces et bien plus accessibles chez Hoka.

Pour les coureurs expérimentés, la Cielo X1 se place au niveau des concurrentes en carbone. Elle sera d’une aide précieuse sur 5, 10 km et semi. Concernant le marathon, à notre avis, seuls les coureurs les plus aguerris pourront l’utiliser efficacement.

Attention aux habitués de la marque car on est sur un niveau de rigidité que je ne connaissais pas chez Hoka.  

Prix : 275€

Les notes du testeur. Amorti : 15/20 Confort : 15/20 Dynamisme : 20/20 Stabilité : 13/20 à vitesse réduite 17/20 à vitesse rapide Souplesse 

Le + Un retour d’énergie jamais vu chez Hoka. Le – Le prix élevé et les lacets qui sont, pour nous, un raté.

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L’Harmonie Mutuelle Semi de Paris prévu le 3 mars rejoint le programme « Grande Cause nationale 2024 » destiné à inciter les Français à pratiquer du sport. Un symbole pour ce semi-marathon qui attend 47 000 concurrents, et tout particulièrement des coureurs débutants.

Le manque d’activité physique et l’excès de temps passé assis expose 95 % des Français à un risque majeur de détérioration de leur santé. Alors pour encourager une majorité de concitoyens à se « bouger », l’activité physique est propulsée « Grande Cause Nationale pour 2024 ».

Dans ce cadre, le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, Harmonie Mutuelle et l’Harmonie Mutuelle Semi de Paris ont choisi d’unir leurs forces pour lutter contre les effets de la sédentarité. Avec un chiffre qui interpelle : 30 minutes d’activité physique quotidienne réduit de 30 % les risques d’accident cardio-vasculaire et de cancer.

Semi de Paris : toujours plus de femmes et de débutants

30 000 coureurs sont attendus le 3 mars 2024 sur le Semi de Paris, le plus populaire de France.
©ASO

Le Semi de Paris du 3 mars sera ainsi labellisé « Grande Cause Nationale pour 2024 ». Cette année, ce premier semi-marathon de France connaît un engouement sans précédent. Les inscriptions étaient clôturées un mois plus tôt qu’en 2023, avec 47 000 dossards réservés. Ces milliers de coureurs venus de toute la France sont en pleine préparation à un mois de l’évènement.

Parmi eux, 44% s’élanceront pour la première fois sur la distance du semi-marathon. Ce pourcentage inédit est en constante progression ces dernières années sur l’évènement. Les femmes sont aussi toujours plus nombreuses au sein de ce peloton. Cette année, 42% des participants seront des femmes. Elles étaient 37% en 2023.

Des actions « Pour une France en forme »

Par ailleurs, dans le cadre de « Grande Cause Nationale 2024 », plusieurs temps forts sont esquissés. Le collectif « Pour une France en forme » regroupant des experts issus du monde du sport, de la santé et des médias affiche une ambition forte : fédérer 3 millions de pratiquants sportifs en plus d’ici 2024.

Pour promouvoir le sport-santé, des journées ‘Pour une France en Forme’ seront organisées à travers l’Hexagone du 10 avril au 23 mai. Le 26 septembre prochain sera une Journée nationale du sport en entreprise. D’autres initiatives suivront, avec un millier d’évènements prévus sur l’année.



Cette ASICS Gel-Nimbus 26 combinant une meilleure traction avec un maintien optimisé, une mousse plus généreuseset plus éco-responsable, un nouveau gel au talon… De belles évolutions repoussant encore plus loin la notion de confort.

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L’an dernier, le modèle ASICS Gel-Nimbus 25 nous avait enthousiasmé. Pour fêter son quart de siècle, cette valeur sûre, paire la plus confortable de la gamme de l’équipementier japonais, s’était réinventée.

Chaussant plus large, confort d’accueil global amélioré, enfilage facilité et nouvelles sensations à la clé… La 25e version proposée en 2023 n’avait plus grand chose à voir avec la 24e version, redéfinissant la notion de confort. Cette Nimbus nouvelle génération est un vrai « chausson ». Destinée aux footings ou sorties longues, elle donnera satisfaction aux coureurs de tous poids, à la recherche de confort et d’amorti, jusqu’au marathon et au-delà.

La 26e version garde ces marqueurs forts, poussant un peu plus loin les curseurs en matière de confort. Cette fois pas de franche « révolution » mais plutôt, une série d’évolutions qui ont du bon.

Asics Gel Nimbus 26, une meilleure adhérence sous la pluie

La nouveauté la plus significative se trouve du côté de la semelle extérieure. En effet, l’adhérence par temps de pluie était le gros point faible de la dernière version. ASICS a corrigé le tir, dotant sa Nimbus 26 d’une nouvelle technologie Hybrid ASICSGRIP avec un nouveau caoutchouc assurant une meilleure traction sur sol humide.

L’autre bon point, c’est une nouvelle version de la célèbre technologie Gel insérée à l’arrière du pied. La marque annonce que son nouveau composant PureGel est 65% plus absorbant que le gel utilisé précédemment. Du bonus donc pour se préserver des impacts, a fortiori en cas d’attaque talon !

Le talon lui aussi a d’ailleurs été retravaillé, avec une impression 3D englobant bien l’arrière du pied. Nouvelle version aussi pour la languette et le col, en maille douce et bien élastique. La tige en maille technique, bien souple, procure également une sensation ultra confortable en course.

20% d’amorti en plus

La nouvelle Asics Gel Nimbus 25 est proposée en 8 coloris.

Mais le gain principal en termes de confort, c’est que la couche de mousse FlyteForam Blast+ Eco a gagné 20% d’épaisseur supplémentaire. Cela se traduit par une augmentation du stack (42 mm au talon, 34 mm à l’avant-pied) associée à une légère prise de poids par rapport à la 25e version. Mais ces 20 grammes de plus passent inaperçus. La douceur prime sur les séances longues.

Soulignons d’ailleurs que cette mousse est composée de 20% de matériaux d’origine naturelle. Et que la tige intègre de son côté 75 % de matériaux recyclés. ASICS indique par ailleurs avoir utilisé moins d’eau et réduit ses émissions de CO2 pour fabriquer la semelle intérieure de ce modèle. C’est désormais le plus éco-responsable de cette gamme.

Priorisant le confort et l’amorti, cette Asics Nimbus 26 ne sera clairement pas la plus adaptée aux sorties beaucoup d’intensité (fractionné, fartlek). En revanche, elle sera idéale pour tous les coureurs au poids supérieur à 80 kilos qui souhaitent courir longtemps et/ou très souvent.

Notes attribuées. Amorti : 19/20 – Confort : 18/20 – Dynamisme : 14/20. Souplesse : 17/20

Les + Valeur sûre avec amorti supérieur, confort d’accueil. Les – Prix élévé.

Lire notre test de la ASICS Novablast 4, alliant confort et réactivité.

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Amazfit et Kelvin Kiptum s’unissent pour repousser leurs limites. Le recordman du monde du marathon portera le nouvelle montre cardio-GPS Cheetah Pro sur le Marathon de Rotterdam en avril, ainsi que la nouvelle bague connectée de la marque chinoise.

Amazfit frappe un grand coup en recrutant, Kelvin Kiptum, nouveau recordman du monde du marathon. Ce kenyan à l’ascension phénoménale, seul athlète à avoir couru un marathon officiel en moins de 2h01’ (2h00’35’’ à Chicago). devrait permettre à la marque chinoise de propulser haut ses dernières nouveautés connectées.

Avec Amazfit, Kelvin Kiptum s’alignera sur le marathon de Rotterdam

Le Kényan Kelvin Kiptum a battu le record du monde du marathon à Chicago, en 2h00’35’’, effaçant de 34 secondes le record son compatriote Eliud Kipchoge. 
Le Kényan Kelvin Kiptum détient depuis octobre dernier le record du monde de marathon en 2h00’35 ». Prochaine étape, le marathon en moins de 2h ce printemps.

Notamment sa nouvelle montre cardio-GPS Cheetah Pro. Kelvin Kiptum l’utilise pour son entraînement en vue de sa prochaine compétition. Le champion prépare le Marathon de Rotterdam, où il tentera de passer la barre symbolique des heures.

«  Alors que j’ai pour objectif de passer sous la barre des 2 heures à Rotterdam et de décrocher l’or à Paris, je suis convaincu qu’Amazfit sera mon meilleur allié pour repousser les limites du potentiel humain. Ensemble, nous sommes prêts à redéfinir le champ des possibles” commente ainsi le champion de 24 ans que l’on attend ensuite sur le marathon olympique parisien.

Avec ce partenariat, Amazfit titille gentiment Coros, dont Eliud Kipchoge, ex-recordman et double médaillé olympique est ambassadeur vedette.

Lire notre test de la nouvelle montre Coros Pace 3


Quels points forts pour l’Amazfit Cheetah Pro ?

Kelvin Kiptum devient ambassadeur d'Amazfit, et portera le nouvelle montre Cheetah Pro.
Des faux airs de Coros pour cette Amazfit Cheetah Pro à 299 €.

Avec son prix d’appel (299 €), la Cheetah Pro se positionne justement en concurrente directe de Coros et de sa nouvelle Pace 3. Sa sortie l’été dernier est passée un peu inaperçue, tant les nouveautés se sont bousculées chez les leaders Garmin, Suunto et Polar. Pourtant, cette nouvelle série de montres multisport Cheetah (deux versions Round et Pro) possède des atouts.

Premier de la liste vu le prix, la présence de la cartographie. Et cela dans un boîtier en titane de 43 grammes seulement (32 g pour la Cheetah Round, plus petite) doté d’un large écran tactile Amoled de 37 mm.

Côté capteurs, tout y est. Puce multiGNSS double fréquence pour la précision GPS, cardio optique et oxygénation sanguine, altimètre-barométrique et boussole. En bonus : capteur de lumière, lecteur de musique, micro et même haut-parleur. En parlant près de la montre (à condition d’avoir le smartphone à portée), on peut ainsi passer un appel. Un « coach virtuel » fonctionnant avec l’intelligence artificielle répond également aux questions liés à l’entraînement.

Le tout est relié à l’appli Zepp, avec un algorithme proposant plan d’entraînement personnalisé et suggestions, comme cela se fait chez Garmin par exemple.

Quid de l’autonomie ? Elle est gonflée ! 54h en mode GPS seul, 26h en mode double fréquence. Voilà l’essentiel sur ce produit « héros » que l’on verra donc au poignet de Kelvin Kiptum ce printemps.

Amazfit Helio Ring, la bague « connectée » au doigt de Kelvin Kiptum

Amazfit Helio Ring, une nouvelle bague connectée
Amazfit Helio Ring, une nouvelle bague connectée avec capteurs intégrés.

Mais le partenariat avec le champion ne s’arrête pas là. Amazfit lui aussi passé la bague au doigt avec son Helio Ring. Cette bague connectée de 4 grammes, récemment dévoilée par la marque au CES, salon annuel high tech de Las Vegas, l’aidera dans sa récupération.

Grâce à ses capteurs intégrés (mesure de la fréquence cardiaque et de variabilité de la fréquence cardiaque), elle analyse la qualité de son sommeil, mais aussi la préparation mentale et physique. Ce nouvel objet connecté devrait être commercialisé ce printemps.



La Glycerin, paire iconique chez Brooks revient dans une 21e déclinaison avec un amorti perfectionné et une douceur incomparable.

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Quelles évolutions pour la Brooks Glycerin 21, routière réputée ‘tout confort, toutes distances’ ? D’abord, une nouvelle mousse DNA Loft v3 avec nitro-injection offrant un amorti amélioré. Mais aussi, pour suivre la tendance, deux millimètres de mousse supplémentaires.

Nouvel amorti plus « moelleux »

Brooks Glycerin 21, encore plus de confort

Sa géométrie repensée associée à cette hauteur de semelle accrue ajoute encore plus de moelleux sous les pieds. Dans le même temps, sa plateforme, large, stabilise le pied et favorise des transitions fluides. Autre bonus : sa nouvelle tige en tricot technique qui offre un chaussant souple plus agréable. Enfin, sa semelle extérieure RoadTack, légère et résistante est fabriquée dans un nouveau mélange de caoutchouc et de sicile recyclée.

Pas de révolution donc, mais une série de belles évolutions pour cette Brooks Glycerin 21. Elle conserve bien l’ADN qui assure son succès, avec un soupçon de polyvalence en plus au quotidien. Un juste dosage entre amorti, réactivité et légèreté (278 g en 42) avec toujours, le confort en point fort.

Brooks Glycerin 21, un soutien stable et confortable

Cette routière se destine aux coureurs de tous niveaux qui recherchent une paire sécurisante pour avaler les kilomètres. Car la stabilité du soutien et le chaussant sûr sont également des caractéristiques clés de cette chaussure typée « longues distances ». Pour s’ajuster à chaque pied, la Glycerin 21 est d’ailleurs aussi proposée en version GTS (avec soutien), mais aussi, en version StealthFit, c’est-à-dire plus ajustée, avec un chaussant plus serré.

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Dernière née de la gamme performance HOKA, la Cielo X1 en carbone affiche une construction innovante. Une paire destinée à la vitesse, à l’état pur, qui promet de nouveaux records.

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Hoka dévoile ce jour sa première paire de la saison, la Cielo X1, en vente à 275 euros. Cette super shoes en carbone dernier cri a été co-conçue avec les athlètes du team. Son innovation ? Une découpe asymétrique de la plaque en carbone prise en « sandwich » entre deux couches de mousse PEBA résilientes (technologie ProFlyX).

Design novateur

Hoka Cielo X1, la nouvelle paire en carbone Hoka, plus rapide que rapide.

Grâce à un système d’encoches latérales asymétriques, ce matériau en carbone donne encore plus de vitesse. Côté amorti, la couche la plus souple est placée directement sous le pied. La couche inférieure, plus ferme, favorise un retour d’énergie élevé, avec une technologie Hoka MetaRocker propulsant vers l’avant.

La forme incurvée très marquée, ainsi qu’une asymétrie dans la technologie Active Foot Frame, sorte de « siège baquet » pour le pied, assure une foulée légère, ultra rapide et dynamique.

Hoka Cielo X1, la nouvelle paire en carbone Hoka, plus rapide que rapide.

Le stack est de 40 mm, le drop de 7 mm, et le poids de 210 g (en taille 40). Autres nouveautés : des empiècements en caoutchouc sur la semelle extérieure pour la durabilité, une nouvelle tige en maille respirante et légère, ainsi qu’une languette asymétrique à soufflet en maille assurant un chaussage rapide.

Retour d’énergie impressionnant

Hoka Cielo X1, la nouvelle paire en carbone Hoka, plus rapide que rapide.

Voilà pour les présentations. Après la Mach X « décarbonée » qui nous avait enthousiasmée l’été dernier, nous attendions avec impatience cette nouvelle paire en carbone Hoka. Nous la testons depuis quelques semaines déjà. Nos premières impressions ? Un retour d’énergie tout simplement impressionnant, qui nécessite d’avoir du pied pour en tirer le maximum.

En revanche, le déséquilibre lié à sa semelle très incurvée s’avère déroutant, même en statique. Et le chaussant est un peu plus étroit qu’habituellement chez Hoka, laisse moins de place aux pieds. Pas de doute, cette super-shoes est bien taillée pour battre des records en compétition, mais le confort n’est pas son fort.

Découvrez notre test complet de la Hoka Cielo X1

Premières performances records

Côté performances, cette Cielo X1 a déjà montré de beaux résultats outre-Atlantique. Wesley Kiptoo, du Team HOKA Northern Arizona Elite (NAZ), a franchi la ligne d’arrivée de son premier marathon à Chicago en 2:10:28. Sa camarade, Kellyn Taylor, qualifiée pour les JO sur marathon, a remporté le semi-marathon de San Jose  en 1:11:40. Rachel Smith, athlète olympique, s’est classée 2e  aux championnats de 5 km sur route de l’USATF en 15:27.

La série ne fait que commencer.. Cette nouveauté sera en vedette sur le 5 km du Monaco Run (10-11 février) dont l’équipementier est devenu partenaire titre tout récemment. Une première en Europe ! Plusieurs athlètes Hoka seront en lice sur ce 5 km très disputé autour du Rocher, théâtre l’an dernier du record européen de Jimmy Gressier. A suivre…

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Le Marathon pour Tous compte déjà 35 000 dossards décernés sur les 40 048 disponibles. L’évènement du 10 août prochain dévoile ses contours ce 31 janvier. A la soirée historique façon « son et lumière » dans Paris, s’ajoute une course connectée inédite à travers le monde.

Le premier tirage au sort pour le Marathon pour Tous a livré son verdict. Près de 400 000 coureurs ont tenté de décrocher un dossard gratuit pour cette épreuve inédite de 42.195 km ouverte au grand public, ou pour le 10 km proposé de concert dans Paris, le 10 août prochain.

Un engouement inédit autour de cette grande première dans l’histoire des Jeux Olympiques ! 40 048 dossards sont prévus pour l’évènement, 20 024 pour le marathon, autant sur le 10 km, en clin d’œil à l’année 2024. Restent donc 5000 places disponibles, soit une petite chance d’y participer…

Quelles sont les dernières chances pour décrocher un dossard pour le Marathon pour Tous ?

En juin dernier, l’Orange Night Run avait permis de décrocher 1000 dossards pour le Marathon pour Tous. ©DR

Mais désormais, seul Orange, parrain officiel de ce Marathon pour Tous tient la « billetterie ». Depuis la semaine dernière, une mécanique de loterie a pris place dans les boutiques Orange. 500 dossards (125 pour le marathon, 375 pour le 10 km) sont mis en jeu jusqu’au 10 mars et réservés aux clients Orange.

Vous n’êtes pas client de l’opérateur ? Vous pourrez tenter votre chance aussi. 400 autres dossards (dont 100 pour le marathon) sont disponibles via ce jeu concours, à condition d’effectuer un achat en boutique au préalable. Le fonctionnement est détaillé ICI.

Précision d’importance : pour participer au marathon, vous devez pouvoir justifier d’avoir terminé, au cours des 2 dernières années (soit entre janvier 2022 et la fin de cette activation), un semi-marathon en moins de 2H30 ou un marathon. Cette information sera vérifiée sur le site de la Fédération Française d’Athlétisme (FFA) https://www.athle.fr/performance/ et ce avant l’annonce des résultats de l’ultime tirage au sort, du 18 mars prochain.

Plus de 400 000 candidats !

Eliud Kipchoge - 5 km dans Paris pour le Marathon pour tous
En 2021, une course-poursuite de 5 km avec Eliud Kipchoge avait permis de distribuer les premiers dossards pour ce Marathon pour tous. ©DR

Revenons aux 35 000 chanceux qui ont déjà leur dossard. Pour l’obtenir, la grande majorité ont transpiré pendant plus de deux ans en relevant les 100 challenges proposés par le Club Paris 2024 ou via l’application Marathon Pour Tous. Par ce biais, plus de 400 000 coureurs ont cumulé plus de 100 000 points jusqu’au 31 décembre 2023.

D’autres ont décroché leur sésame en participant aux 170 courses organisées sur les territoires « Terre de Jeux » à travers la France. En parallèle, quelques évènements Orange Running ces dernières années, comme l’Orange Night Run de juin dernier à Paris, ont fait des milliers d’heureux.

Un peloton rassemblant les générations, de 16 à 85 ans

On connaît donc désormais les visages qui composeront ce double peloton. Celui-ci sera d’abord paritaire. Sur le papier, moitié d’hommes, moitié de femmes, soit une grande première sur la distance marathon. L’âge moyen s’élève à 38 ans. Le plus jeune concurrent sur 10 km aura 16 ans alors que la doyenne engagée sur le marathon, l’exceptionnelle Barbara Humbert, affiche 85 printemps.

Ces concurrents viendont de toute la France mais aussi de l’étranger. Le peloton comptera ainsi 18% d’étrangers issus de 110 pays, en premier lieu des États-Unis et de Belgique.

Une grande fête avec « son et lumière »

Suite à un récent appel à candidature, pris d’assaut par un millier de volontaires, les meneurs d’allure ont été sélectionnés par Orange.

Dans chaque SAS de départ, les amateurs seront mêlés à des têtes connues. En effet, de nombreuses personnalités sont annoncées comme Mike Horn, Denis Brogniart, Marine Lhorphelin ainsi que des champions comme Camille Lacourt, Martin Fourcade, Amélie Mauresmo ou encore Muriel Hurtis.

Le parcours du Marathon pour tous des JO 2024 sera un aller-retour entre le coeur de Paris et Versailles.

Quant au parcours de ce Marathon pour Tous, aller-retour musclé (400 mD+) jusqu’au Château de Versailles avec finish sur l’Esplanade des Invalides, il se vivra comme un « son et lumière ».

Plusieurs dispositifs seront mis en place au fil de la soirée. Tunnel lumineux au départ, monuments illuminés, zones d’encouragements ainsi que nombreuses animations sont annoncés par l’organisation, qui sera épaulée par ASO. L’objectif : faire cette expérience historique, un souvenir unique.

Une course connectée à travers le monde

La grande fête du Marathon Pour Tous sera aussi une course connectée à l’ampleur inédite. Avec cette course « miroir » à effectuer via l’application Marathon pour Tous, l’organisation espère rassembler 150 000 participants à travers le monde, afin de célébrer en grand, les Jeux et le sport.

En France, la course pourra se faire en solo ou en groupe, avec de nombreux départs collectifs programmés dans les 4000 villes labellisées ‘Terre de Jeux’. Une option « immersive » sera possible sur tapis de course, en partenariat avec Kinomap.

Cette épreuve connectée débutera le samedi 10 août à 8h, alors qu’au même moment le marathon olympique masculin s’élancera depuis le parvis de l’Hôtel de Ville. Pour que la participation soit prise en compte, il faudra courir au moins 30 minutes que vous soyez.



Kiprun, la marque trail/running de Decathlon inaugure un centre au Kenya pour entraîner et soutenir les élites de la course à pied. Cette 42 HOUSE parrainée par le double médaillé olympique Paul Chelimo accueillera 22 athlètes, avec un accompagnement sportif et humain ainsi qu’un soutien financier.

Kiprun, qui ambitionne d’intégrer le top 5 mondial des marques de running d’ici cinq ans, vient d’ouvrir un centre d’entraînement d’un nouveau genre à Iten, au Kenya. Projet fort en symbole pour la marque qui s’implante ainsi sur les hauts plateaux du Rift, berceau du running mondial. « Chez Decathlon, nous nous dirigeons vers une nouvelle frontière et la 42 House contribuera à montrer au monde la force de notre engagement pour faire émerger les meilleurs talents et à prendre la ligne de départ des plus grandes courses mondiales », détaille Barbara Martin Coppola, directrice générale de Decathlon.

Un accompagnement sportif et humain

Kiprun, la marque trail/running de Decathlon inaugure un centre au Kenya pour entraîner et soutenir les élites de la course à pied. Cette 42 HOUSE parrainée par le double médaillé olympique Paul Chelimo accueillera 22 athlètes, avec un accompagnement sportif et humain ainsi qu'un soutien financier.

Son nom, « 42 HOUSE », résume l’idée phare : faire de ce lieu plus qu’un centre d’entraînement. L’endroit inauguré ce jour se veut être avant tout maison, un lieu où proximité et partage sont les clés de la réussite et de l’épanouissement des athlètes. Le concept, novateur, intègre ainsi un accompagnement en matière d’éducation, de gestion de carrière et d’autonomie financière.

Et cette nouvelle maison de champions s’est trouvé un beau parrain, l’Américain, Paul Chelimo. L’athlète Kiprun, double médaillé olympique d’origine kenyane y vivra une partie de l’année, agissant ainsi comme un mentor auprès les résidents.

La capacité maximale d’accueil est de 22 athlètes, femmes et hommes. Ceux-ci bénéficient de l’encadrement d’un staff sportif composé d’un directeur, de deux entraîneurs et d’un directeur opérationnel.

Visionnez le replay de l’inauguration de la 42 HOUSE.


Zéro commission sur les revenus des athlètes

Kiprun, la marque trail/running de Decathlon inaugure un centre au Kenya pour entraîner et soutenir les élites de la course à pied. Cette 42 HOUSE parrainée par le double médaillé olympique Paul Chelimo accueillera 22 athlètes, avec un accompagnement sportif et humain ainsi qu'un soutien financier.

A l’égard de ces athlètes, et des futurs talents dénichés, l’approche de Kiprun  se veut qualitative. La marque ne prendra par exemple aucune commission sur leurs revenus. Nourris et logés dans les 11 chambres du bâtiment tout confort, les résidents se verront verser chaque mois une bourse de 125 euros, soit un peu plus que le salaire moyen au Kenya. De quoi leur permettre de subvenir aux besoins de leur famille.

Ils seront aussi accompagnés d’un point de vue médical et nutritionnel, avec la présence d’un cuisinier sur place, ainsi que pour leurs prises de parole publique, deux d’entre eux figurant déjà dans le top 20 mondial sur 10km.

Accompagner 200 écoliers kenyans, potentiels futurs champions

Kiprun, la marque trail/running de Decathlon inaugure un centre au Kenya pour entraîner et soutenir les élites de la course à pied. Cette 42 HOUSE parrainée par le double médaillé olympique Paul Chelimo accueillera 22 athlètes, avec un accompagnement sportif et humain ainsi qu'un soutien financier.

42 HOUSE « d’utilité éducative et sociétale », au service de ses résidents donc, mais pas que. Pour préparer l’avenir, Kiprun accompagnera également plus de 200 élèves par an, de 13 à 18 ans  grâce à un partenariat avec deux écoles, à Iten et Cherangani.

Ce « sas pré-professionnel » donnera l’opportunité à des jeunes talentueux, à la suite de leur parcours académique, de suivre un programme transitionnel durant deux années au sein de l’établissement.

L’objectif est d’offrir la transition fluide vers le monde professionnel, en apprenant à ces jeunes l’exigence du sport de haut niveau et en les éduquant à la vie de sportif de haut niveau. Ensuite, certains rejoindront la 42 HOUSE, d’autres suivront d’autres voies.

Nouvelles recrues pour Kiprun

Kiprun, la marque trail/running de Decathlon inaugure un centre au Kenya pour entraîner et soutenir les élites de la course à pied. Cette 42 HOUSE parrainée par le double médaillé olympique Paul Chelimo accueillera 22 athlètes, avec un accompagnement sportif et humain ainsi qu'un soutien financier.

Parmi les athlètes déjà recrutés, la marque présente quatre femmes. Nelvin Jepkemboi (30’41’’ sur 10 km), qu’on avait vu terminer première au scratch sur le 10 km de Paris Centre en octobre dernier, Christine Njoki (30’41’’ sur 10 km), Viola Chepngeno (31’05’’ sur 10 km) et Alice Chemtai, championne de cross-country.

Le team Kiprun s’étoffe donc à vitesse grand V. L’année avait démarré fort, avec le recrutement de six traileurs français annoncés tout début janvier. Thomas Cardin, récent vainqueur de la SaintéLyon, Loïc Robert, vice-champion de France de trail court mais aussi Fleury Rou, Loïc Rolland, Gwendal Moysan et Pierre-Arnaud Bourguenolle ont rejoint l’équipe « keep on running ». Et 2024 ne fait que commencer !

Découvrez en avant-première la nouvelle super shoes en carbone Kiprun KD000X-LD



La nouvelle Saucony Ride 17 combine confort, amorti et stabilité. Une paire « à tout faire » parfaite pour débuter, comme pour s’entraîner du 10 km au marathon.

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Chez Saucony la gamme Ride n’est pas la plus connue mais elle s’est forgée une solide réputation de « chaussure à tout faire » parfaite pour celles et ceux qui n’ont pas l’envie ou les moyens d’investir dans plusieurs modèles.

Du confort toujours et un amorti plus ferme

La nouvelle Saucony Ride 17 combine confort, amorti et stabilité. Une paire "à tout faire" parfaite pour débuter, comme pour s'entraîner du 10 km au marathon.

 D’un point de vue esthétique la Ride n’a pas beaucoup évolué au fil des ans. On reste sur une chaussure assez classique, voire ancienne école. C’est sans doute le principal défaut de cette Ride 17: elle n’attire pas vraiment les regards et fait plutôt dans la très grande sobriété. Le mesh est confortable, assez ajusté, peut être pas assez respirant. Le laçage est facile et efficace. La languette et le talon protègent parfaitement sans gêner.

Côte confort il n’y a absolument rien à redire. On sent immédiatement en enfilant la Ride qu’on pourra courir des heures sans problème. C’est surtout du côté de la semelle qu’il faut chercher des évolutions. Elle est plus épaisse que sur la V16 (avec un drop de 8mm) et la mousse PWRRUN a été remplacée par la mousse PWRRUN+. Le résultat : un amorti un peu plus ferme et un renvoi d’énergie un peu plus prononcé mais un confort et une stabilité de très haut niveau.

Saucony Ride 17, plus dynamique que la Triumph

La Ride 17 n’a pas à rougir de ses performances à allure élevée. Elle est plus dynamique que la Triumph par exemple. La semelle extérieure respire la solidité et accroche parfaitement , même sur sol humide.

La Saucony Ride 17 est une chaussure sans effet waouh mais très rassurante, polyvalente et solide. Après 200km de test il n’y a aucune trace d’usure. C’est la chaussure parfaite pour débuter la course à pied et effectuer des séances variées pour préparer des courses du 10km au marathon.

Les notes du testeur. Confort : 18/20 Amorti : 18/20 Stabilité : 16/20 Souplesse : 14/20 Dynamisme : 15/20

Les + Confort, amorti, stabilité.

Les – Une prise de poids de quelques grammes et un look pas très moderne.

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