Pandémie oblige, la saison sera blanche, sans dossard. Certaines courses annulées donnent rendez-vous au printemps 2021, d’autres organisations ont opté pour le report à l’automne 2020. Voici les dates de reports annoncées. Gardons le cap, la rentrée s’annonce rouge…
Solution alternative à la Spartan Race initialement prévue au Stade de France ce samedi 21 mars, un entraînement chaque jour à domicile avec les accessoires de son salon afin d’accomplir un défiouvert à tous, depuis son appartement, sa maison, son garage, son jardin…rendez-voussamedisur sesréseaux.
Spartan Remake Workout. C’est le titre des postes sur les réseaux sociaux pour annoncer le top départ des entrainements avant samedi 21 mars. Chaque jour, les équipes Spartan Race proposent de faire du sport avec ce que l’on trouve chez soi : bouteille d’eau, sac de riz, du mobilier, des livres… : tout est bon pour se muscler ! Basé sur les mouvements de Crossfit, l’entrainement débute avec 30 burpees que l’on enchaine avec un « AMRAP 30′ », traduit littéralement par « autant de répétitions que possible » en 30 secondes, avec 10 pompes, 10 Dumbbell Thruster puis 2 fois 10 Mountain Climber. On travaille ensuite les abdos avec 5 rounds composés de 5 hollow rocks, 20 Superman, 5 V Ups et 20 Superman.
Pour celles et ceux qui souhaitent relever le défi, la liste de petit matériel nécessaire à sa réalisation disponible sur les réseaux dès jeudi 19 mars. Ensuite, la règle est simple : rendez-vous devant son écran, prêt à se dépasser pour un challenge d’environ 1h, samedi 21 mars à 9h du matin : les meilleurs seront récompensés !
À suivre surFacebook et Instagram : @SpartanRaceFrance
Courir, c’est bon pour le système immunitaire ? Oui et non, répond le docteur Jean-Pierre De Mondenard, qui appose des conditions en cette période de confinement.
On le sait tous, l’activité physique régulière et bien conduite est favorable à notre système immunitaire. En cette période de confinement, nous avons tous intérêt à nous remuer. C’est le moment de se gainer, de bosser sa PPG à la maison, en utilisant vélo d’appartement, stepper, tapis de course, en profitant des nombreuses vidéos de fitness en ligne pour s’exercer.
En extérieur, il est permis de sortir trottiner un ou deux kilomètres mais pas dix comme l’a précisé la Ministre des Sports, à proximité de son domicile, seul, muni de l’attestation de déplacement requise. Il s’agit là d’entretien physique, sans quête de performance. Pas question de profiter du chômage partiel et de la souplesse du télétravail pour enfiler les kilomètres. D’abord – surtout et avant tout ! – parce qu’il convient de garder à l’esprit qu’il s’agit d’avoir le moins de contact possible afin de limiter la propagation du virus. Ensuite, parce que les longues sorties en endurance fragilisent nos défenses immunitaires.
« Ce n’est surtout pas le moment de sortir courir 20 bornes », prévient ainsi le docteur De Mondenard. « La longue sortie n’est d’une manière générale pas terrible pour le système immunitaire. A se pousser trop loin, à se rentrer dedans, on épuise son corps et ses défenses immunitaires. »
Concrètement, quelle bonne conduite alors pour les jours à venir ? « Il convient d’adapter la dose de sport en extérieur. Pas de sorties longues et intenses mais des sorties courtes, pourquoi pas avec quelques variations d’allures. D’une manière générale, on peut recommander de couper en deux la durée de l’entraînement habituel et de sortir courir deux fois plutôt qu’une, sans augmenter l’intensité de sa sortie et toujours à un rythme de liberté respiratoire. Il conviendra aussi de veiller à bien récupérer entre ses séances, avec un temps de retour au calme, une douche, un repos allongé d’une dizaine de minutes. » recommande le médecin, qui rappelle que la lutte contre le coronavirus est bien la priorité numéro un du moment.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/03/courir-de-bon-matin-c-est-bien.jpg12801920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-03-17 11:46:002020-03-23 10:58:35Coronarivus : sortir courir oui, mais à certaines conditions
Miha bodytec, entraînement par électrostimulation globale permet d’obtenir l’équivalent de 4 heures en salle de sport traditionnelle en termes de temps de travail en stimulant 8 zones en simultané, le tout en 20 minutes seulement. Décryptage.
Pour la petite histoire… Créée en 2007, MihabodytecGmbH est issue de MihaMaschinenGmbH, qui développe et fabrique depuis plus de 40 ans des produits innovants pour les secteurs du sport et de la médecine. Miha bodytec représente l’évolution la plus récente du principe d’électrostimulation musculaire, utilisée déjà depuis de nombreuses années par la médecine et les sportifs de haut-niveau. L’électrostimulation globale avec Miha bodytec se pratique dans les centres de remise en forme, salles de sport, spa, cabinets de kinésithérapie mais aussi à domicile accompagné d’un coach sportif. De nombreuses études scientifiques prouvent l’efficacité de cette méthode : les effets sont ressentis et visibles très rapidement.
comment se passe une séance ?
Sur place, dans le centre Miha bodytec, on se déshabille, de préférence intégralement avant d’enfiler un équipement dédié, que l’on achète et que l’on rapportera à chaque fois. Il s’agit d’un short et d’un t-shirt spécifique sur lequel le coach ajoutera un gilet muni d’électrodes pour travailler les pectoraux, les abdos et le dos mais aussi d’une ceinture pour stimuler les fessiers ainsi que de quatre bandeaux d’électrodes, cette fois pour les muscles des bras et des jambes. Une fois en tenue de combat, le coach monte progressivement l’intensité de la stimulation électrique qui doit s’adapter à son propre ressenti. On sent d’abord des picotements, puis des contractions musculaires qui ne doivent toutefois pas être désagréables. La séance démarre en compagnie du coach, souvent avec une autre personne. Ce coach sera présent tout au long de la séance pour monter les positions, corriger les postures et vérifier que l’on contracte bien volontairement ses muscles. Le but est là : combiner la stimulation électrique et la contraction volontaire de ses muscles en effectuant une série d’exercices.
20 minutes en 2 phases
Première phase de la séance, 15 minutes de renforcement musculaire, où l’on travaille ses muscles (8 groupes musculaires en simultané) en combinant exercices physiques et stimulation électrique. On enchaîne donc squats, fentes, abdos, fessiers et exos sollicitant les bras et les épaules sur un rythme de 4 secondes de stimulation musculaire puis 4 secondes de repos. Après cela, 5 minutes de cardio en continu où il est possible d’intégrer du fractionné type HIIT ou Tabata.
Quels bénéfices ?
On développe en premier lieu sa fibre musculaire, ce qui permet de gagner en puissanceet en endurance. On booste aussi son métabolisme de base ce qui permet d’accroître dans la durée, les calories que l’on brûle au repos. L’argument choc : une séance de 20 minutes équivaut à 4h en salle si l’on cherchait à reproduire toutes les séries nécessaires au travail des 8 groupes musculaires sollicités par la méthode.
Qui pratique le miha bodytec ?
La clientèle est vaste car cette technologie est adaptable en fonction des objectifs de chacun. Une personne peu sportive cherchant à se gainer en un minimum de temps y trouvera son compte comme un sportif de haut-niveau souhaitant par exemple développer sa puissance, en s’évitant le travail de force avec charge, qui peut être source de blessures.
Quel est l’intérêt pour le coureur à pied ?
Au-delà du gainage général que cette technique permet, l’intérêt, c’est aussi qu’avec le coach, on peut cibler des zones à travailler en particulier, en fonction de ses propres objectifs. Si l’on prépare un trail long par exemple, on pourra choisir de renforcer davantage ses quadris et ischios, muscles très sollicités en montées et en descentes. On pourra aussi choisir de focaliser le renforcement musculaire autour du genou ou de la cheville, ce qui est intéressant pour prévenir des risques de blessures liées aux impacts répétés générés par la course à pied. Dans le cadre des blessures courantes du coureur type syndrome de l’essui-glace, cette méthode est aussi être une piste à envisager, à condition d’avoir l’aval préalable de son médecin.
A quelle dose ?
Il faut compter une dizaine de séances, à raison d’une fois par semaine pour que le corps s’habitue à la charge de travail que cela représente. On recommande généralement de ne pas dépasser deux séances de Miha bodytec par semaine au maximum.
Où pratiquer ?
Il existe environ 150 centres en France (www.miha-bodytec.com/fr) qui proposent des séances. On achète son équipement (t-shirt + short) que l’on apportera à chaque séance et qui coûte environ 40 €. On paye ensuite chaque séance, environ 35 € la séance, pour un forfait de 10 séances. Il existe aussi des coachs qualifiés proposant des séances individuelles à domicile.
Les modèles proposés par Decathlon, désormais sous la bannière Evadict, n’ont plus rien à envier aux stars des sentiers, avec ce plus d’un prix beaucoup plus doux. La preuve avec cette Race Ultra.
Qui a testé ? Serge Moro, rédacteur en chef d’Esprit Trail, testeur pour Running Attitude. 58 ans, 1,74m, 60 kg, vainqueur de nombreuses courses de montagne, et désormais de trails dans sa catégorie, 2h16’52’’. Conditions du test200 km avec séances de seuil sur sentiers techniques, rando courses, fractionné en côtes.
Les concepteurs de cette chaussure proposent avec ce modèle un produit très abouti, présenté pour de l’ultra, mais dont la légèreté, l’accroche bluffante et l’amorti bien présent en talon, tout en restant tonique en transfert et en relance, permettent de l’utiliser sur tous les formats, même pour le kilomètre vertical. Son poids de moins de 300g en 42,5, place ce modèle dans la bonne moyenne des chaussures de ce type, et le drop de 8mm assure un bon compromis entre confort des mollets et capacité de dynamisme des pieds en transfert avant-arrière et en relance. C’est ce modèle que portait Thierry Breuil lors de sa dernière Diagonale des Fous, une référence en matière de technicité et de nécessité d’accroche et de résistance. Lors de ma phase de test, sur plus de 200 km (en 3 semaines !), j’ai particulièrement apprécié son confort immédiat dès les premiers kilomètres, noté le fait que les crampons espacés empêchent la boue de s’accumuler, et surtout ressenti que c’était une chaussure pour faire de la course à pied, c’est-à-dire qui procure de belles sensations de foulée !
Le verdict…Accroche : 18/20 Amorti : 15/20 Confort : 18/20 Souplesse : 17/20 soit une moyenne de 17/20
Quelle utilisation pour cette paire ? Trails et entrainements de toutes distances, tous terrains pour tous types de foulées.
Drop : 8 mm – Pointures du 40 au 47, uniquement en homme. Poids : 290 g en 42,5
Valence, c’est la destination running phare du moment. Son marathon fait un carton, son semi aussi. Mais cette région d’Espagne est aussi propice à la pratique du trail. Tour d’horizon.
Valence, la belle espagnole, a décidemment la côte. Son marathon fait un carton. La prochaine édition – 6 décembre 2020 – affiche déjà complet avec 30 000 dossards réservés. Normal, ce marathon a tout bon. Sa date idéale permet un début de préparation après les vacances d’été, sans passer par la case « hiver », en profitant de température idéale le jour J. Son parcours est agréable avec un finish spectaculaire entre les bassins de la cité des Arts et des Sciences. L’ambiance est « caliente » avec un soutien fervent du public et l’organisation frise la perfection (label d’or IAAF). Autre point fort, son profil super-roulant. Avec 34 mètres de dénivelé seulement, c’est une aubaine pour « taper un RP ». L’an dernier 9,28 % du peloton a bouclé en moins de 3h contre 4,7% sur le dernier marathon de Berlin en septembre. Valence organise aussi un semi – 25 octobre 2020 – qui lui fait partie du circuit des SuperHalfs. Même topo : il est aussi déjà « sold out ». Citons aussi le 10 km, qui se court lui mi-janvier. Parcours à perf super-rapide aussi : 26’23’’ pour Rhonex Kipruto cette année ! .
Penyogolosa, destination Evasion
pic by instagram.com/jsaragossa
Valence, « cuidad del running » comme le dit le slogan, c’est assurément un bon plan. Mais saviez-vous que la région se prête aussi à la pratique du trail ? Le Penyagolosa Trail, support des championnats du monde de trail 2018 fait aussi parler de lui. Prochaine édition les 18 et 19 avril en deux courses de 110 km (5 600 mD+) et 59 km (3 200 mD+). L’épreuve reine, c’est la longue, le Penyogolosa CSP qui relie en 110 km, Castelló, au bord de la méditerranée (1h de route de Valence) à Penyagolosa, au cœur du parc national du même nom. Cette course est inscrite au Challenge de l’Ultra Trail World Tour ainsi qu’au Spain Ultra Cup.
Les meilleurs français en lice
Et cette année, il y aura du beau monde. Mieux : les meilleurs français ! François d’Haene – vainqueur de trois UTMB, deux Ultra-Trail World Tour, quatre Diagonale des Fous… est annoncé, mais aussi Ludovic Pommeret (vainqueur de l’UTMB et avec trois podiums en CCC et TDS au Mont Blanc), Antoine Guillón, e vétéran coureur français cumule quatre podiums en UTMB TDS; Mathieu Blanchard, Grégoire Curmer… Côté féminin, Audrey Tanguy, victorieuse des deux derniers UTMB TDS, sera l’un des grandes favorites. Côté espagnol, Yeray Durán (2e en 2017), Sebas Sánchez (vainqueur en 2016), Ramón Recatalà (vainqueur en 2012 et 3e l’an dernier), Jesús Gil García ou Agustín Luján comme principaux candidats à la victoire dans la catégorie masculine et Azara García ou Silvia Trigueros dans la catégorie féminine. On attend donc un beau match France-Espagne sous le soleil méridional.
L’idée de cette Trail Elite Factory ? Permettre de dénicher les nouveaux talents trail de France. Les deux vainqueurs auront la possibilité d’intégrer le Team Asics Trail pendant un an et évoluer aux côtés de Xavier Thévénard et des athlètes du team.
Vous avez entre 18 à 25 ans ? Un gros potentiel en trail ? Cette nouvelle Trail Elite Factory d’Asics & I-Run devrait vous plaire. Deux heureux sélectionnés se verront offrir un contrat athlète d’un an pour intégrer le Team Asics Trail, et bénéficier d’un encadrement professionnel : dotations produits, stages, suivi médical Quartz Elite…
Trois journées de sélections
Pour dénicher les futurs talents, trois journées de sélections seront organisées, sur les traces des champions du Team Asics Trail : Sylvaine Cussot, Xavier Thévenard et Benoît Girondel. Les participants seront jugés sur un parcours trail de 10km, leur technique et leur motivation. A l’issue de chaque journée de sélection, 4 participants seront qualifiés pour la phase finale. Les 12 finalistes s’affronteront en juin dans les Alpes sur une ultime épreuve, à l’issue de laquelle les 2 lauréats seront désignés pour intégrer, fin août, le Team ASICS Trail à Chamonix.
Rendez-vous… le 21 mars à Saint-Rémy-Lès-Chevreuses (78), sur les traces de l’EcoTrail de Paris avec Sylvaine Cussot, le 28 mars à Crest (26) sur les traces de Benoît Girondel, 12 avril à Nantua (01)sur les traces de Xavier Thévenard. Du 19 au 21 juin à Samoëns (74), ce sera l’épreuve finale.
Comment participer ?
Comment participer Remplis le questionnaire ICI si tu penses répondre aux critères requis. Si ta candidature est validée par notre jury de sélection, tu recevras alors une convocation pour la journée de détection choisie. Le jury de sélection désignera 4 finalistes par journée (soit 12 finalistes). Les 12 finalistes auront la chance de prendre part à la phase finale dans les Alpes à l’issue de laquelle les 2 gagnants seront désignés pour être intégrer, fin Août, au Team ASICS Trail à Chamonix.
Grosse semaine sportive en perspective du 8 au 15 juin à Colmar à l’occasion du nouveau Bretzel Ultra Tri. Au choix, un formatDouble (7,6 km de natation / 360 km de vélo / 84 km de course) en solo ou en relais, un Triple ou encore Quintuple Ultra Triathlon (XXL) pour les plus gourmands. Côté 100% course à pied, un challenge « Marathon » sera proposé. Il s’agira d’enchaîner 35 tours sur un circuit fermé en cinq jours pour cumuler cinq marathons.
Elle a testé Stimcare pour vous : Sandrine Nail-Billaud, marathonienne & pharmacienne.
Le corps est censé être une mécanique bien rodée… Enfin en théorie, car lorsque l’on se blesse, une zone est affaiblie, le corps compense et il se déséquilibre pour inhiber la douleur apparue. Le mouvement naturel est désynchronisé pour s’adapter à l’inconfort et poursuivre malgré tout l’effort. Apparaissent alors, par un phénomène bien connu de compensation, douleurs et inconforts musculaires, articulaires voire des blessures plus importantes que tous coureurs et coureuses à pied redoutent.
C’est dans ce contexte de blessures (rupture partielle de l’aponévrose) que j’ai testé les patchs Stimcare. Ces patchs, avec une technologie innovante, entrent également dans la composition d’une gamme de vêtements développée par Salomon : la gamme NSO. Ces vêtements bénéficient de la technologie des patchs Stimcare, positionnés aux endroits stratégiques dans ces vêtements pour répondre aux problématiques des coureurs (maux de ventre lors de courses d’ultras, crampes mais aussi douleur aux trapèzes lors du port d’un sac de course…) et les soulager.
Mais c’est quoi ces patchs ?
Ce n’est pas un patch chauffant, ni un patch transdermique, il ne contient aucun médicament, ni principe actif, ce qui diminue grandement l’apparition d’effets secondaires tels que les démangeaisons ou les réactions cutanées. Il s’agit d’un patch breveté utilisant la technologie eNOsyntexTM basée sur le principe d’oxydo-réflection. Le patch renvoie comme un miroir les infrarouges lointains émis par l’organisme. Cette concentration d’infrarouges endogènes va activer la microcirculation sanguine sous le patch pour apaiser les tensions musculaires, articulaires et ligamentaires comme sur le schéma ci-dessous :
Le positionnement se fait sur la gêne ressentie, mais également sur des points clés spécifiques identifiés cliniquement ce qui augmente l’efficacité et la rapidité d’action des patchs.
L’AVIS DE LA TESTEUSE : « Je connais ce type de patchs depuis plusieurs années et là je dois dire que je suis bluffée par cette nouvelle technologie. Plus réfléchissante des infrarouges et basée sur la résonance de l’eau (dite inter faciale), les arguments avancés sont tout à fait recevables scientifiquement étant moi-même biologiste, professeur d’immunologie et spécialisée dans le processus immunologique de la réaction inflammatoire. En effet, quel que soit le dysfonctionnement dont j’ai eu a souffrir ces derniers temps : inconfort au niveau de la bandelette tibiale du genou (le fameux syndrome de l’essuie-glace), des douleurs lombaires ou dorsales et plus récemment une rupture partielle de l’aponévrose, la pose de Stimcare par mon kiné formé à la technique par le créateur, Arnaud Tortel, m’a permis de continuer à courir et à chaque fois dans un confort ultra optimal ! »
Comment ça marche ?
En cas de blessures, de coups, d’infections, de douleurs localisées, le corps va dans tous les cas réagir par des processus inflammatoires normaux pour tenter de rétablir l’équilibre. Ces processus inflammatoires dits physiologiques vont entrainer dans un premier temps un apport de sang (rougeur) puis une phase de stagnation va se produire pouvant donner de possibles œdèmes et qui va entrainer un ralentissement alors du flux circulatoire pour permettre aux cellules de venir traiter et évacuer les toxines ou des débris suite au traumatisme. Cette zone touchée va alors dégager de nombreux infrarouges (chaleur) produits sur place pour augmenter le processus d’élimination et favoriser la cicatrisation.
C’est là que le patch Stimcare intervient car en appliquant le patch sur les zones ciblées, il va réfléchir et concentrer les infrarouges endogènes, tout en dynamisant l’eau qui est présente. L’effet principal va être de fluidifier les liquides corporels et d’accélérer la dilatation des capillaires sanguins via la stimulation d’une enzyme (eNOsynthase) sensible aux infrarouges lointains.
Cette activation a pour effet d’augmenter le drainage de la zone inflammatoire et l’apport correct en nutriments, apportant un soulagement rapide de la zone douloureuse.
La technologie utilisée fait appel à une membrane qui recouvre l’ensemble du patch et qui contient plus de 20 oxydes métalliques et des terres rares broyées de taille micrométrique en concentrations très précises dont des oxydes de fer, magnésium, titanium, silicium, manganèse et zirconium pour ne citer que les principaux. Cela permet l’oxydo-réflexion (la réflexion des rayons infra rouges produits naturellement par le corps en cas d’inflammation) et la résonnance de l’eau.
ZOOM SUR LA RESONANCE DE L’EAU. Ses effets sur l’organisme : augmente légèrement la température de la peau (0.2°C) et provoquer une sensation de chaleur // augmente le flux sanguin en dilatant les vaisseaux // active le métabolisme et réduire la sensation de douleur. L’application de ses effets sont bénéfiques pour les sportifs grâce à : une amélioration du retour veineux // une amélioration de la souplesse musculaire // une réparation accélérée des cellules du corps // une réduction du stress et de la fatigue musculaire // une augmentation de l’endurance.
Dans quel cas les utiliser ?
Tout simplement pour soulager rapidement les inconforts articulaires et musculaires mais aussi les inconforts typiques de surmenage, des déséquilibres musculaires qui peuvent se créer en cas de grande fatigue. Ils permettent également de stimuler certains points en provoquant une circulation d’énergie autour d’un point précis. Ils pourraient être comparés à des aides physiques pour la course à pied un peu comme le ferait des bas de compression pour soulager des douleurs d’insuffisance de retour veineux. Les patchs Stimcare ne sont pas des médicaments, aucun produit ne pénètre dans le corps, il ne s’agit pas de patch transdermique et ils ne boostent en aucun cas vos performances ! Ils se déclinent en différents types de problèmes à soulager (4 gammes) : que ce soit en sport, mais aussi pour des douleurs articulaires, pour des douleurs de règles ou encore des soucis digestifs.
Comment les poser ?
Les patchs Stimcare agissent en stimulant des points énergétiques précis de l’organisme. En ostéopathie, kinésithérapie, kinésiologie et autres thérapeutiques manuelles, chaque muscle possède un point dit gâchette ou Trigger qui permet la diffusion d’information et d’énergie dans l’ensemble du muscle. Il en est de même pour chaque articulation dont la capsule articulaire est proche de la peau et des ligaments qui possèdent leurs propres points clés. Tous les tutoriels pour bien les poser sont en ligne sur le site www.stimcareoneline.com afin de soulager tout type de pathologies, ou inconforts.
Attention, un professionnel de santé formé à la technologie Stimcare est le plus apte à vous placer les patchs pour qu’ils soient efficaces. Renseignez-vous auprès de votre praticien.
EN PRATIQUE. Pour coller les patchs il faut éviter les plis cutanés, les déposer sur une peau propre et sèche et si possible épilée ! Avant d’enlever la languette protectrice, activer les patchs en les froissant légèrement entre les doigts. La durée de vie des patchs est longue puisqu’ils peuvent rester au moins 3 jours sur la peau et être actifs jusqu’à 10 jours ensuite, ils supportent les douches, les baignades et ne tirent pas sur la peau. En respectant ces conditions de pose, les patchs seront plus efficaces plus longtemps.
Où les trouver ? Sur le site www.stimecaroneline.com, avec un accompagnement vidéo pour savoir comment les poser, la livraison se fait en 48h. Dans la gamme « sport » (20,90 € les 6), on trouve des patchs pour les membres inférieurs, supérieurs, mais aussi le tronc et le dos. Il existe aussi une gamme « digest », « arthro » et « periods ».
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/02/Capture-d’écran-2020-02-28-à-12.08.27.png5371582Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-03-04 12:08:002021-09-22 18:05:27Stimcare : le patch qui soulage
Dimanche 1er mars 2019, le semi-marathon de Paris annulé en dernière minute pour cause de coronarivus s’est joué en « off », en ordre dispersé. Sur les trottoirs en suivant le tracé, dans le bois de Vincennes ou sur les quais de Seine, on a couru, un peu, beaucoup, juste pour le plaisir.
La déception avalée, la passion a reboosté. Via les réseaux sociaux, une partie des 44 000 inscrits se sont retrouvés pour courir 21 km – ou un peu moins… – dimanche matin dans Paris. On parle de 5 000 coureurs essaimés dans la capitale. Un chiffre invérifiable…
« On court quand même ! »
Sitôt informé de l’annulation, avant même d’avoir récupéré son dossard, Maxime Delavallée, jeune coureur parisien a lancé spontanément un groupe Facebook « Semi de Paris 2020 – On court quand même». Epidémie ou pas, impossible de renoncer à ce qui devait être son premier semi : « Dans ma start-up, je suis catalogué comme pas du tout sportif. Je m’étais donc lancé un challenge, celui de finir mon premier semi à Paris mais aussi, plus secrètement , celui de battre mon collègue le plus sportif, auteur d’un 1h36’ l’an dernier. Je visais 1h35. Je me suis entraîné pour cela sérieusement pendant trois mois » raconte l’entrepreneur de 24 ans.
Son appel à courir malgré tout a vite été entendu. Environ 750 personnes lui ont emboîté le pas pour courir le semi en « off ». « Nous avons suivi le tracé en évitant simplement le pont qui relie la Cité de la mode à Bercy, suite à l’incendie qui a eu lieu à proximité le vendredi. Nous avons échangé avec des Français, mais aussi des coureurs venus d’ailleurs, comme des Russes et Portugais, contents de pouvoir courir quand même. Nous avons jonglé sur les trottoirs, c’est sûr, mais tout s’est bien passé. Le but n’était plus le chrono, mais le partage. Je termine quand même en 1h47’, plutôt content ! », s’enthousiasme Maxime, qui prévoit déjà de prendre sa revanche en 1h35′ au prochain semi de Boulogne en novembre.
Avec ou sans dossard
Sous un petit crachin, Quai d’Austerlitz– lieu du départ- à 8h, il y avait donc du monde. Des petits groupes, des runners en solo venus échanger, comme Sandrine collaboratrice de Running Attitude. Dans le lot, certains portent le T-shirt rouge grenat distribué la veille, d’autres ont même épinglé leur dossard. On se met à papoter volontiers. Camille, de Lille, relativise en disant que bon, ce n’est pas si grave, on est de simples amateurs. L’essentiel est dans le partage qui se trame ici. Le running, c’est d’abord une grande communauté. Ne jamais l’oublier.
Des coureuses, des coureurs et même des supporters !
Le Chilien qui déploie fièrement le drapeau de son pays en a gros sur le cœur. Il est venu 5 jours à Paris pour courir ce semi capital. Un gros budget, des mois d’économie envolés à cause d’une épidémie…Il garde le sourire derrière ses lunettes de soleil et profitera quand même la « ville lumière », même sous le ciel gris. Deux autres « touristes » campent à deux pas.
Anaïs, de Belgique et Sandra, de Lorraine, deux copines arrivées depuis vendredi. Ce semi devait être un plongeon dans le grand bain, une toute première fois pour Anaïs qui s’est entraînée méthodiquement pendant des semaines. Elle philosophe pour se consoler : c’est l’occasion de reculer pour mieux sauter, une prochaine fois. En attendant, place maintenant à une belle sortie longue, allure semi.
« Pourquoi nous et pas le foot » ?
Pour un groupe venu du Mans, l’annulation reste difficile à encaisser. Les gars sont remontés. « Pourquoi nous et pas le foot ? ». La question se pose. Tout le monde se la pose ! Pourquoi le match Racing-La Rochelle, disputé dans l’enceinte fermée du stade Paris-La Défense-Arena a-t-il été maintenu malgré l’annonce du ministre, intervenue une demie heure avant le coup d’envoi ?
Idem pour tous les matchs de foot de Ligue 1, maintenus eux aussi. Une « question de fric », sans doute. « C’est deux poids deux mesures. Tout cela manque de cohérence. Il faut tout annuler ou ne rien annuler, et dans ce cas, carrément fermer toutes les lignes de métros qui brassent au quotidien des milliers de personnes ! ». C’est dit. Les discussions vont bon train à côté des micros de la chaîne BFM TV mobilisé pour relayer le « non-événement ». Les policiers sont sur le qui-vive, vigilants à empêcher tout regroupement de plus d’une centaine de personnes.
Marine Leleu croisée sur les quais.
On se disperse alors gentiment, en petites bandes. Sur les quais, voie Georges Pompidou, Sandrine multiplie rencontres et échanges. Tiens, une tête connue, Marine Leleu, venue accompagner une amie.
« J’ai fait 30 km en 1h50 ! »
Un peu plus loin, Baptiste, triathlète chevronné et ancien cycliste raconte sa déconvenue.
« J’ai appris la nouvelle à 16h, juste après une séance de Stendo chez Pôle recup’ en rallumant mon téléphone. Je suis passé de l’état détente à l’état colérique en une fraction de seconde ! Je n’avais pas encore récupéré mon dossard. Je faisais partie de la Team Harmonie Mutuelle. Par respect pour l’organisatrice de notre week-end, j’ai décidé d’aller au salon récupérer mon dossard et voir les copains. L’ambiance était glauque, avec un gros sentiment de frustration. Je respecte cette décision des politiques qui prennent en compte notre santé mais n’y avait-il pas plus de risques ce week-end au salon du semi que sur la course en elle-même ? Pourquoi autoriser un match de ligue 1 ? N’y a-t-il plus de risques à prendre les transports en commun ? » se questionne l’athlète. Il visait 1h10’ dimanche et n’a pas hésité une seconde à venir malgré tout cavaler dans Paris. « C’était important pour moi. Pour partager ce moment en cohésion avec les personnes dans la même situation. Il y avait du monde, de la bonne humeur, une météo clémente et de l’envie ! J’ai fait le parcours entier, même plus. Même s’il y avait de la circulation et que nous avons dû courir sur les trottoirs et nous adapter, j’ai couru 30 km en 1h50. J’ai eu d’excellentes sensations, c’est d’autant plus rageant… ». On le comprend.
Des boucles dans le bois de Vincennes
Run avec les Run & freedom.
Coté Bois de Vincennes, passage phare du circuit (du 9eau 19e km), ça grouillait aussi de runners. Frédéric, collaborateur du magazine, s’est greffé à une sortie spontanée des meneurs d’allure Run & Freedom de Dominique Chauvelier.
« Nous étions quasiment 50 coureurs rassemblés à 9h à l’entrée du parc floral au bois de Vincennes. On s’est élancé joyeusement pour 4,5 km d’échauffement en direction du lac des Minimes puis de l’Insep pour rejoindre le carrefour de la Pyramide. Ensuite, nous avons fait trois tours du triangle cycliste (3 100 mètres par tour) à allure semi voire plus rapide encore, avec trois minutes de récupération à la fin de chaque tour. Bien sûr, notre petit peloton s’est étiré en fonction du niveau de chacun. Nous avons croisé des paquets de coureurs, beaucoup plus qu’un dimanche ordinaire !« , raconte-t-il.
Du monde sur les quais !
Même constat à l’autre bout de Paris. Alice, autre membre de la team Running Attitude, est allée trottiner en bord de Seine depuis Boulogne-Billancourt. Ça défilait en ordre dispersé, plus ou moins groupé sur la rive gauche côté Javel, Tour Eiffel, Invalides, Musée d’Orsay… Quelques bornes pour le fun, sans médaille ni chrono. Qu’importe finalement, le plaisir de courir a primé. C’est ce que l’on retient de ce dimanche matin. Enfin, les plus motivés ont tout de même joué le challenge lancé à la volée parRunning Heroes.4 236 coureurs inscrits le samedi en fin de journée. 1 500 « finishers » in fine pour ce semi 2.0. La palme revient à Romain Eliasse, auteur d’un 1h14′ et à Carole Stephan en 1h32′.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/03/semi-de-paris-2019-annule-on-court-quand-meme.jpg8671658Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-03-02 13:00:152022-01-07 16:04:34Semi de Paris : on a quand même couru !
Démarche circulaire pour Circle Sportswear, nouvelle marque française qui invente le vêtement technique multi-vies en fibres recyclées et recyclables.
Via un abonnement, il sera possible d’échanger ses vêtements une fois usés contre ceux de la dernière collection. La collection running a été co-designée par 500 sportifs pour allier performance et exigence environnementale. Les fibres sont recyclées, recyclables, issues de déchets sourcés en Europe.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/09/circle-sportswear.jpg8921377Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-02-28 11:18:002020-09-16 11:31:17Un vêtement, plusieurs vies avec Circle Sportswear
Depuis quelques mois, dans la foulée du géant Nike, initiateur du mouvement, les équipementiers commercialisent des modèles très orientés compétition utilisant notamment une plaque de carbone dans la semelle, technologie censée améliorer les performances. Le 1er mars, le modèle Hyperion Elite de Brooks sera disponible en quantité limitée – 105 paires en France – chez quelques revendeurs spécialisés. Nous avons pu la tester en avant-première.
Test réalisé par Frédéric Poirier, 54 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013).
Premier constat en les sortant de leur boîte, elles sont légères : 200 grammes en pointure 44. Second constat, le mesh est très souple et constellé de minuscules encoches et le chaussant est assez étroit. En tenant la chaussure avec ses deux mains pour plier l’avant de la semelle, il faut fournir un effort important en raison de la lame de carbone qui court de l’avant à l’arrière de la semelle.
Dès les premières foulées on a irrésistiblement envie d’accélérer, d’abord en raison de leur légèreté et aussi du fait d’une légère bascule sur l’avant qui incite à courir de manière dynamique. Si le confort est préservé, le mesh très minimaliste n’isole pas très bien de l’humidité en cas de pluie. Sur une séance d’environ 50 minutes avec variations d’allure, sur bitume, il est difficile d’estimer le gain apporté par rapport à un modèle plus polyvalent, alors direction la piste du stade de la porte d’Auteuil, à Paris, pour un entraînement plus rythmé.
A l’aise sur la piste
Au programme, après 20 minutes d’échauffement et quelques gammes (foulées bondissantes, montées de genoux, etc.), place à des séries de 300 mètres en 58 secondes (3’15 » au km) avec le même temps de récupération en courant lentement. Les quatre premières séquences sont courues avec le modèle Hyperion Tempo, beaucoup plus polyvalent (test à venir dans Running Attitude n° 210 en kiosque fin mars). Les séries sont courues entre 58 et 59 secondes. Le vent se lève un peu et la pluie fait son apparition, je chausse les Hyperion Elite pour courir les six dernières séries. Bon point pour la bonne adhérence de la semelle sur la piste désormais bien humide. Verdict de cette première série avec les Elite : 56 secondes. C’est en autochronométrage certes, mais avec la même méthode que précédemment. Les 4 sections de 300 mètres suivantes seront toutes courues entre 55 et 56 secondes, bonus avec une ultime séquence sans contrôler l’allure, courue en 50 secondes.
Indéniablement il se passe quelque chose, le modèle Hyperion Tempo est à peine plus lourd (215 grammes) mais beaucoup moins réactif que les Elite.
Aux pieds, les Hyperion Elite. A côte, les Hyperion Tempo.
Quelques jours plus tard, au bois de Vincennes, sur un circuit plat mesuré à la roue de géomètre, séances de 800 mètres sur bitume. Objectif 6 x 800 mètres en 3 minutes (3’45 » au km soit pile 16 km/h) avec 2 minutes de récupération, les deux premières séries en Hyperion Tempo. Après les deux premières courues en » piochant » un peu en 3′ et 2’59 », les quatre suivantes en portant les Hyperion Elite sont courues à peine plus vite (entre 2’57 » et 2’58 ») mais avec bien plus d’aisance.
Ultime comparatif à nouveau sur la piste d’Auteuil et à nouveau sous la pluie pour 6 x 600 mètres en 2’10 » (3’35 » au km) avec 2 minutes de récupération. Trois séries avec les Tempo en 2’10 » / 2’11 », les trois suivantes en 2’09 » avec les Elite.
Deux autres entraînements un peu plus longs (1h30 chacun) montrent plusieurs aspects : leur coloris clair les rend salissantes lorsqu’il pleut fort et on a vite les pieds très mouillés. Le confort est assez bon pour un modèle orienté vers la performance, même après 1h15 avec des variations d’allure. Si les différences de chrono sur les séances effectuées ne sont pas significatives, leur aisance sur ce type d’entraînement est vraiment supérieur à leur modèle » inférieur », les Hyperion Tempo.
Sans parler de rebond, on se sent plus dynamique et avec une facilité de propulsion qui donne une irrésistible envie de continuer sur un rythme élevé.
A quels coureurs sont elles destinées ?
Leur nom et leur prix (250 €) ne laissent aucun doute quant à leur positionnement élite. Elles seront à utiliser en compétition et sur quelques entraînements pour s’habituer à courir avec. Elles sont évidemment utilisables sur courte distance, 5 ou 10 km. Pour des distances supérieures, ce sera au coureur d’apprécier la situation : elles sont assez confortables sur une durée de 1h30, donc largement utilisables sur un semi-marathon pour de nombreux coureurs, mais il faut néanmoins » avoir du pied » pour en tirer la quintessence, et notamment avoir une bonne fréquence de foulée (> 170 pas par minute). Pour une durée supérieur à 1h45, et envisager un marathon (sur des chronos allant de 2h20 à 2h50), il n’est pas certain qu’elles conviennent à tous les profils : leur amorti est très dynamique, ll faudrait effectuer des séances d’entraînement longues (2h à 2h10) avec ce modèle pour vérifier qu’elles seront bien adaptées au coureur.
Il n’est pas facile, avec un modèle destiné à la performance, de déterminer le réel gain sur les chronos qui serait apporté par les chaussures. En tout état de cause, que ce soit sur les séances effectuées sur piste ou les quelques entraînements à allure variées (pour un total d’environ 90 km), cela s’est fait avec plus d’aisance ce qui pourrait repousser le seuil de fatigue, participant ainsi à l’amélioration des performances.
Ce casque à conduction osseuse laisse l’oreille libre. Il est compatible avec la natation, affiche 8h d’autonomie et peut stocker 1200 chansons. De quoi rythmer ses longueurs de piscine !
Autant la musique pour les coureurs à pied représente un marché bien présent avec de nombreux produits disponibles, autant pour ceux qui mangent des carreaux de piscine, il y a peu de choix.
Rester vigilant à son environnement
Ecouter de la musique lors d’une activité sportive est très plaisant, un rien dopant. La musique peut permettre de battre votre record au 10km, certes. Mais écouter de la musique en courant est surtout très dangereux. On se coupe avec l’environnement, n’entend pas les bruits des véhicules alentours !
Cette musique met le coureur dans une bulle qui peut être source de nombreux risques. Mais ça c’était avant ! Avant quoi ? Avant la conduction osseuse bien sûr ! Technologie phare de la marque Aftershokz. En effet ce fabricant, leader dans les casques à conduction osseuse (comprenez : rien n’est envoyé en direct vers vos tympans) s’est enfin intéressé aux nageurs avec ce modèle étanche.
Ce casque est étanche jusqu’à 2 mètres et si tous les autres casques Aftershokz fonctionnent en Bluetooth, je vois déjà la question arriver : mais ou mettre son téléphone pour avoir de la musique dans l’eau ?!
Une mémoire interne
C’est là que le Xtrainerz fait la différence : il contient une mémoire interne pour le stockage des fichiers musicaux. Il est étanche mais peut donc aussi parfaitement convenir pour la course à pied. Il ne pourra cependant pas être couplé à votre smartphone ou à votre montre pour la musique car il n’est pas Bluetooth. Il ne pourra pas non plus vous servir pour répondre à vos appels (en même temps sous l’eau…) comme casque mains libre ce que fait parfaitement son grand frère l’Aeropex ou même le Trekz air.
Pour le reste, le casque fonctionne « à l’ancienne ». Il faut donc le connecter à l’ordinateur à l’aide du câble USB fourni. Il permet de lire tous les formats audio donc pas de prise de tête si vous achetez toute votre musique via la marque à la pomme…et comme le casque n’est pas Bluetooth, il va se contenter de lire ce que vous y mettez dedans, soit en vrac ce qui est mon cas, soit dans des fichiers organisés par auteurs, date etc….
Vous avez un abonnement à une plateforme de musique ? Oubliez ! Pas possible pour ce casque-là, il va vous falloir retrouver votre vieux disque dur ou vous aviez stocké toute votre musique achetée ou non …
8h d’autonomie
Dans sa définition : le casque Aftershokz Xtrainerz est étanche et donc il peut être utilisé en natation. De fait, Aftershokz ne l’a pas équipé d’un connecteur micro-USB, mais de connecteurs sur l’un des côtés. Pour la recharge, on utilise donc un clip USB fourni pour respecter l’étanchéité du produit. Il sert aussi pour le transfert de fichiers de musique.
La charge complète permet un usage annoncé à 8h. Cela en fait des longueurs de piscine ou des bornes en courant... Personnellement je n’ai pas, malgré ma lenteur au 100 m, atteint la limite de batterie faible avec pourtant une utilisation d’environ 3 séances de 1 à 2 heures chaque semaine. Le casque étant rechargé tous les WE.
Fonctionnement intuitif
Lire les notices n’est pas votre fort ? Cela tombe bien, il n’y a pas besoin de vous la farcir ! Sur le côté droit, se trouvent les boutons de commande. Les boutons + et – permettent d’ajuster le volume sonore. Une pression plus longue sur le + permet de passer à la piste de musique suivante et sur le – : pour revenir à la piste précédente. Entre ces 2 boutons, un bouton « 0 » permet d’allumer et d’éteindre le casque en effectuant une pression longue de 2 secondes. Une pression courte permettra de stopper la lecture de la musique et de la reprendre par une autre pression courte.
Enfin, un dernier bouton à l’arrière permet de choisir l’ordre de lecture des morceaux de musique. Soit dans l’ordre de votre playlist, soit en lecture aléatoire. Une pression longue sur ce même bouton permettra de basculer sur le mode de lecture de musique de mode normal (course à pied, vélo, marche etc…) ou en mode natation : écoute de la musique sous l’eau.
On se jette à l’eau…
Et comment cela tient avec mon bonnet de bain ? Super bien ! C’est un ajustement quasi parfait. Le bonnet vient appuyer un peu sur la branche du casque sans gêner. Le casque tient parfaitement en place grâce à l’anneau en titane et on ne le sent quasiment pas.
Attention : je ne l’ai pas testé sans bonnet de bain !
La musique dans l’eau ? C’est simple, on choisit le mode écoute dans l’eau comme expliqué plus haut. Propriété : les basses naturellement amplifiées sous l’eau, sont atténués. La qualité de musique ultra naturelle. Sous l’eau, la conduction osseuse est parfaitement efficace et même le son à faible volume est entendu quand on met la tête sous l’eau, ce qui est confortable si on veut discuter la tête hors de l’eau avec sa voisine de barbotage !
Il faut par contre avoir sans cesse la tête sous l’eau pour avoir un niveau d’écoute continu avec le même son (pas facile me direz-vous….) ou alors avec un masque et tuba… Il faut privilégier de la musique au rythme entrainant pour palier au fait que les notes et paroles peuvent être un peu diffuses et donc pour écouter des pods cast par exemple, ce n’est vraiment pas confortable !
Globalement c’est la meilleure solution d’écoute de musique que j’ai pu tester en natation aussi bien en termes de confort, de facilité d’utilisation et de qualité du son ! Adopté pour rythmer les longueurs, toujours trop longues. Avec la musique c’est plus motivant !
Les + : Le poids plume et la tenue sur la tête, même avec des cheveux longs, même avec un bonnet de bain. Les 2 modes d’écoutes permettant de l’utiliser aussi pour la course à pied avec un rendu de son excellent dans le mode terrestre. La facilité d’utilisation même pour télécharger de la musique « à l’ancienne ».
Le – : L’absence de connexion Bluetooth possible ce qui permettrait de passer en mode lecture de musique sur des listes d’abonnement ou de l’utiliser couplé à son téléphone pour la course à pied par exemple !
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/02/Capture-dcran-2020-02-20-16.40.28-495x400-1.png400495Sandrine Nail-Billaudhttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpSandrine Nail-Billaud2020-02-25 10:00:002023-01-30 14:52:18Dans le grand bain avec le casque Aftershokz XTrainerz
Par Dominique Cado, marathonien Breton d’un âge que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. www.lalignebleue.net
L’épine sur la tige de la rose est présente pour qu’elle puisse s’épanouir en la protégeant des prédateurs. Chez le runner la douleur des épines du corps sont là aussi pour le protéger, à condition qu’il obéisse aux picotements annonciateurs de la souffrance de la blessure en se désintéressant, en s’anesthésiant d’un cerveau toujours prêt à toutes les folies.
Le corps, la bonne âme, alertepar des signes douloureux quand on dépasse les bornes supportables. Pourtant, aux premières sensations la douleur est encore sous contrôle et on a le pouvoir de décider de l’instant où l’on souhaite qu’elle cesse, avant de découvrir le chemin de croix de la souffrance de la blessure.
Si Cicéron est votre philosophe préféré et que vous écoutez tout au long de l’année ce qu’il relatait : « Les douleurs sont supportées sans rechigner par les athlètes des jeux gymniques* malgré la dureté des épreuves », c’est que vous n’avez pas entendu vraiment son précepte : « Souffrir pendant l’épreuve ». Ça c’est normal, mais tout au long de l’année ce ne l’est plus.
Quand les sensations ne sont plus à la hauteur des runnings, que des douleurs récurrentes deviennent le quotidien et que vous persistez à pratiquer votre sport favori, la porte devient béante pour consacrer du temps aux souffrances de la blessure, physique et psychologique ; les deux étant épinglées comme un dossard inutilisable au corps éreinté, endommagé, cabossé, mutilé, contusionné (vous rayez les verbes inutiles) souvent pour de longues semaines ; tandis que la douleur précoce était là en amont comme le meilleur professeur pour apprendre la patience.
Il est dommage que le monde du running manque d’un soupçon d’hypocondrie pour que les douleurs du corps soient entendues. Alors, en ce début d’année prendre de bonnes résolutions de sagesse, la seule voie pour arriver enfin à mettre en évidence ce que vous rêvez d’être.
Déjà la 16e édition du Harmony Genève Marathon for Unicef ! Avec huit courses au programme, ce grand festival de running suisse en propose pour tous les goûts, tous les âges et tous les niveaux. Faites vos jeux !
Le dimanche 10 mai 2020, le Marathon, le Marathon Relais, le Semi-Marathon et le Semi Fauteuil emmèneront les coureurs sur un beau parcours entre campagne et ville, leur offrant une très belle vue sur le lac, le célèbre Jet d’Eau et les sommets alpins avant un sprint final sur l’un des symboles de Genève : le Pont du Mont-Blanc.
La veille, le samedi 9 mai, des formats plus accessibles seront proposés : un 10 km pour les coureurs et un 10 km Walking et Nordic Walking, La Genevoise #LikeAGirl by Always (6km pour les femmes dès 14 ans) et les Courses Juniors de 3 à 13 ans (nés entre 2007 et 2015).
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/02/dsc2853.jpg12771920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-02-20 15:38:382020-02-20 15:38:409-10 mai : le feu au lac de Genève !
Quatre options pour se faire la malle sur le Petit Ballon. L’original de 54 km (2 200 mD+) enchaîne les sommets des Vosges, peut-être de la neige sous les semelles… Les Grands Crus (28 km / 900 mD+) sera de nouveau manche Trail Tour National et du Trail Tour Alsace. Autres options : 16 km (600 mD+) ou 8 km.
40 000 coureurs attendus devant la Gare d’Austerlitz sur ce semi, le plus populaire de France. On courra entre rives gauche et droite de la Seine. Bastille, Rue Rivoli, Hôtel de Ville, quais de Seine, Bois de Vincennes et pont de Tolbiac au programme avant finish au pied de la Bibliothèque François Mitterrand.
3 000 coureurs attendus en marge de la Vente des vins des hospices de Nuits-Saint-Georges. Le parcours, prestigieux, traverse 60 appellations dont le domaine de la Romanée-Conti et le château du Clos de Vougeot, ponctué de ravitaillements en produits locaux. Également un 10 km.
Incontournable cetrail francilien grandit encore. En plus du 80 km, 44 km, 30 km et 18 km, un nouveau 10 km se courra au cœur du Domaine de Saint-Cloud. Une belle manière de découvrir les sentiers dérobés aux portes de Paris avec un final commun au pied – ou au premier étage ! – de la Tour Eiffel.
Trois trails ludiques et techniques de 11 km (500 mD+), 25 km (1 130 mD+) ou 52 km (2 500 mD+) à vivre en solo ou en relais. Belles sections hors piste avec montées « dré dans le pentu », bois, prairies, cascades, ruisseaux, château… Impossible de s’ennuyer ! Clou du spectacle : l’ascension du chaos basaltique du Pic de la Garde… Piquant !
Cinq épreuves pour (re)découvrir Lyon. Le 37 km cumule 1 400 mD+, 6 000 marches, 15 parcs, une petite dizaine de sites exceptionnels à travers trois communes, deux collines et deux fleuves… Belles cavales aussi pour le 24 km (1050 mD+) entre Fourvière et la Croix-Rousse ou bien les versions « express » de 14 et 8 km.
On prend plaisir à courir dans Montpellier élue première ville sportive de France en 2018. Au choix, semi, marathon solo ou relais à six sur un parcours varié entre centre historique, arènes de Pérols, Palavas-les-Flots et bord de mer.
Jambon persillé, œuf meurette, bœuf bourguignon, escargots, vins de Mercurey, Givry, Rully… On se déguste sur ce marathon bourguignon, première étape des Festiviales-Challenge de la convivialité. Le circuit est costaud, avec une côté à 4,8 % s’étalant sur 2,5 km au 35e km. Cette montée de Barizey se prêtera d’ailleurs à un nouveau « challenge du meilleur grimpeur » ! La bonne humeur sera aussi de rigueur sur le mara3, le semi, marat3, le 10 km, les courses enfants et la randonnée. A la bonne heure !
Premier départ à 18h30 pour ce 10 km à label international qui attend 5 000 concurrents. Le circuit, très rapide, compte 70 mètres de dénivelé négatif et s’achève par un tour de piste sur stade au son des percussions. Egalement des courses enfants.
Week-end chargé en Côtes d’Armor. Le samedi, une rando et 3 trails pour les plus jeunes. Le dimanche, un nouveau Trail des Marais de 5 km, et toujours, le Trail des Guettes (11 km /300 mD+), les Hauts du Pont Rolland (23 km / 600 m D+) et le Grand Tra Hillion (45 km / 1 400 mD+ solo et relais) sur les sentiers du littoral et de la vallée du Gouessant. Vivifiant !
Bonheur de courir le long du golfe clair, de Sainte-Maxime à Cavalaire, en passant par Saint-Trop’, la route des plages et le col de Collebasse, principale difficulté. Formule solo, relais, 2 x 21 km. Egalément un 18 km entre Sainte-Maxime et Saint-Tropez, et un nouveau 10 km au départ de la Croix-Valmer.
Départ de Grenoble, arrivée au domaine de Vizille pour ce semi bien relevé (280mD+) sur la route Napoléon. À courir comme un défi, en solo, en duo ou même en quatuor pour se partager la vue sur le massif de Belledonne.
Trois options pour se faire la malle au cœur de ce beau massif provençal, à proximité d’Aix. Les Crêtes (58 km) valant 3 points ITRA, Cézanne (39 km) ou bien le trail urbain Cengle (13 km). Des parcours de toute beauté et un accueil convivial signé Ail Rousset.
Nouvelle saison, plus printanière qu’à l’accoutumée pour ce rendez-vous marseillais. MUCEM, vieux port, Orange Vélodrome, parc Borély, place Castellane, mais aussi, bien sûr, corniche et bord de mer sont passés en revue. 10 km, 21 km ou 42 km : faites vos jeux.
2000 ans vous contempleront sur cette nouvelle Veni Vici. La course empruntera le tracé historique de l’aqueduc romain entre Nîmes, le pont du Gard et le château d’Uzès. Une belle occasion de redécouvrir cet ouvrage antique remarquable, entre garrigue odorante et charmants villages. 4 distances proposées (65 km solo ou relais à 2, 23 km, 12 km) en version course, marche ou balade gourmande. Faites vos jeux.
Finish sur le Stade de France pour la Course du Grand Paris
Grande nouveauté à l’affiche, un semi reliant le parc du Tremblay à Champigny-sur-Marne, à la piste du Stade de France à Saint-Denis en passant par le bois de Vincennes, Picpus, Voltaire, République, le canal Saint-Martin, le canal de La Villette, le canal Saint-Denis…. Un tracé mi-urbain, mi-nature pour traverser la capitale du sud-est au nord-est. Egalement, le traditionnel 10 km, entre République et le Stade de France et toujours un bel engagement éco-responsable de l’organisation.
Toujours un coup de cœur ce marathon haut-savoyard. On aime son décor, enchanteur, un aller-retour au bord du lac et au pied des montagnes. Mais aussi son profil très performant, avec seulement 40 mètres de dénivelé. La formule duo est complète. Il reste des dossards pour la version solo, ou pour le 10 km proposé de concert. A vos « RP ».
40e anniversaire à ne pas manquer avec quatre options pour se défouler au cœur du chef-lieu de Loire Atlantique. Sur le marathon, un nouveau circuit passant par les places Graslin et Royale, le parc de Procé, le jardin des Plantes, l’Erdre et l’Ile de Versailles. Egalement une formule relais, un semi urbain et rapide, un 10 km nocturne, les Foulées de l’Eléphant. 17 000 coureurs attendus.
« Plus c’est mou, plus c’est dur », tel est le slogan depuis 32 ans. Un peu l’asphalte, beaucoup de sable, de l’eau, et une belle couche de boue sur ce 17 km en boucle Saint-Valéry et Le Crotoy, puis retour au point de départ. Une course insolite façon « Dakar de la course à pied » est limitée à 6500 coureurs. Faites vos jeux !
Depuis 21 printemps, on apprécie ses accents champêtres et l’accueil chaleureux réservé par les musiciens et bénévoles dans les dix villes et villages traversés. Un vrai petit brin de bonheur chaque 1er mai, que l’on peut aussi s’offrir sur 10 km.
Une boucle à parcourir deux fois pour ce 15 km de renommée mondiale. Le circuit est hyper-roulant. Spectateurs enthousiastes, produits locaux à l’arrivée… cette « course du 1er mai » ne manque pas d’attraits.
L’ « Ardéchois Trail » revient avec un nouveau nom et une organisation emmenée désormais par le comité des fêtes de Desaignes. L’identité de ce trail mythique et historique sera conservée. Au choix côté courses : 10 et 20 km en nocturne le vendredi, 57 km (8h), 36 km (8h), 10 km (9h30) ainsi que deux randos de 10 et 20 km et des courses enfants. On retrouvera également avec plaisir la pasta-party, le bœuf à la broche, le buffet et le bal d’après course.
Déjà complète la 18e édition de ce trail breton un joyau qui se déroule entre Cap d’Erquy et Cap Fréhel, classé Grand Site de France. Falaises, landes sauvages, anses sableuses et mer turquoise composeront le décor. La course phare reste le 33 km entre Plévenon et le port d’Erquy, un 14 km en boucle s’ajoute à l’affiche ainsi qu’une féminine de 6 km. Egalement des randos à pied, en vélo ou en kayak.
L’objectif, c’est d’arriver avant l’Angélus, à 19 h, à la cathédrale de Cahors. Départ à 7 h de Rocamadour pour le 80 km (2 000 mD+), à 11 h de Cœur de Causse pour le 49 km (1 300 mD+) et à 15h de La Carderie pour le 19 km (400 mD+). Trois circuits qui font la part belle au patrimoine du Causse et du Quercy et s’achèvent en apothéose, par l’entrée Nord de la cathédrale. Singles, bâtisses lotoises, forêts de buis, de chênes pubescents au programme. Ambiance chaleureuse et dossards à prix ami (20, 15 ou 10 €).
Classique savoyarde du calendrier printanier avec son emblématique 51 km (2700 mD+) qui fait la liaison Croix du Nivolet-Mont Revard depuis la plaine de Voglans. A l’arrivée, une tartiflette géante. On peut aussi courir un 22 km (1 100 mD+) ou bien un 13 km (400 mD+) féminin.
4e mouture à Saumur, en bord de Loire. On pourra courir un marathon, en une boucle et sans dénivelé (58 mD+), sur un circuit qualificatif pour les Championnats. Pour profiter du fleuve royal, également un semi mais aussi un combiné canoë (12 km) + course à pied (17 km) à vivre en duo. Plus de 6 000 sportifs attendus.
Semi, 10 km, 5 km, marches et balade roller au choix pour ce week-end sportif strasbourgeois. Les départs s’effectueront sur l’avenue de l’Europe, sur des circuits agréables, tracés en centre-ville. Le village au parc de l’Orangerie cette année.
Pour les 12 000 coureurs inscrits, le passage du viaduc le plus haut du monde, à 270 m au-dessus de Millau et de la vallée du Tarn sera le point d’orgue de cette course de 23,7 km, avec un dénivelé positif de 390 m : une expérience sportive hors du commun dans un cadre exceptionnel !
La VVX, c’est cinq formats de courses pour explorer le pays des Volcans. Cinq ans seulement, mais déjà une référence du genre. Côté courses : 220 km (8110m D+) en duo ou solo, 110 km (3 500mD+) en solo, duo ou trio, 43 km (1 700 m D+), 25 km (1 000m D+) ou encore 15 km (450mD+). Faites vos jeux !
23-24 mai – Runinmontsaintmichel à Cancale (35)
Choix pluriel pour profiter de la Merveille, entre Normandie et Bretagne. En version trail sur 53 km, entre les agneaux de pré-salés, herbus et estuaires. Sur route cette fois, avec un semi et un 10 km, tracés en boucle autour de Pontorson. Et bien sûr, le traditionnel marathon, entre le port de la houle de Cancale et le barrage du Couesnon, au pied du Mont. A courir en solo ou en duo.
Gros week-end sportif en Poitou. D’abord, 5 ou 10 km gratuits le samedi puis, un semi (2 500 dossards) et un marathon (1 500 dossards) le lendemain, sur des circuits rapides et urbains. L’association organisatrice propose toujours une belle dotation : 2 entrées pour le parc Futuroscope, un coupe-vent et une médaille. Egalement pasta et spectacle nocturne avec le cirque du Soleil.
Plusieurs nouveautés annoncées pour cette 10e édition. A l’affiche, deux marathons différents, limités chacun à 1 000 coureurs. Un nouvel Marathon eXpérience (42 km et 2 500 mD+) se courra sans podium ni classement au départ de Doussard, évitant les sentiers les plus techniques. Plus exigeante, la Marathon Race (42 km et 3 400 mD+) au départ de Talloire sera réservée aux trailers affichant une côte ITRA minimum de 450 points. L’épreuve phare – entre 85 et 90 km – sera elle limitée à 1 700 coureurs, au lieu de 2 000. Les barrières horaires seront par ailleurs revues sur l’ensemble des courses.
Revigorant, ce semi au bord de l’océan, qui se court entre la promenade du centre-ville et le littoral, avec un finish de champion : un tour de piste sur stade de la Rudelière, devant les supporteurs. Cette année, Les Sables d’Olonne accueilleront les championnats de France de semi-marathon. Il y aura donc du beau monde et du niveau ! On peut aussi courir un 10 km.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/01/20190310smp2006.jpg12801920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-02-18 16:56:002023-01-16 15:25:4333 courses qui feront le printemps
Prévu le 1er mars, le Marathon de Tokyo, premier des World Marathon Majors de l’année ne sera pas ouvert aux amateurs par mesure de précaution liée au coronavirus.
« Maintenant que le cas de Coronarvirus a été confirmé à Tokyo, nous ne pouvons pas continuer à lancer l’événement à l’échelle que nous avions initialement prévue et nous regrettons de vous informer que le marathon de Tokyo 2020 aura lieu uniquement pour les élites du marathon et les élites en fauteuil roulant. », déclare l’organisation dans un communiqué adressé ce jour.
Seuls 200 athlètes professionnels s’aligneront donc au départ le 1er mars, sans les 38 000 coureurs « amateurs » ayant réservé leur dossard.
L’organisation indique que les 38 000 coureurs inscrits peuvent reporter leur inscription au Tokyo Marathon 2021. Aux conditions suivantes : les coureurs qui ont différé leur inscription au Marathon de Tokyo 2021 doivent payer les frais d’inscription pour l’épreuve 2021. Conformément au règlement d’inscription, les frais d’inscription et les dons reçus pour le Tokyo Marathon 2020 ne seront pas remboursés. Les Coureurs ayant acheté le T-shirt Signature Tokyo Marathon 2020, l’article sera expédié après l’événement.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/02/photo_1421.jpg12801920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-02-17 16:16:162020-02-21 14:14:01Le marathon de Tokyo annulé par mesure de précaution
Sans forcément le connaître, vous avez sans doute déjà entendu Steve Kondo au micro. Il met l’ambiance, (r)échauffe les corps, encourage sans relâche du départ à l’arrivée. Rencontre avec cet « ambianceur » des pelotons de Paris et d’ailleurs.
CV « Flash ». 20 ans d’animation et d’évènementiel sportif, bénévole actif depuis plus de 10 ans pour « Lisafor ever », musculation quotidienne pour arriver à suivre ces gens qui courent partout
Steve Kondo est tombé dans le micro quand il était tout gamin. Animer la fin de sa colonie de vacances à 8 ans avec un micro devant ses camarades a été pour lui une véritable révélation. Quand il a vu le pouvoir que donnait à sa voix ce micro, le pouvoir de faire rire et applaudir ses copains.
Au grand dam de sa maman… Qui lui a toujours dit que le micro ne l’emmènerait nulle part. Mais Steve y croit, baba devant Michel Drucker, Jean pierre Foucault soulevant des tonnes d’applaudissements. C’est alors l’époque des radios libres. Steve crée la sienne et sur sa propre radio, il passe de la musique et fait le show…
Steve Kondo, meilleur DJ du 95
Son matériel de fortune tombant souvent en panne, chez le dépanneur, il entend des extraits de musique mais aussi des voix donnant des consignes : « lever les bras », « taper dans vos mains »… De quoi éveiller une vocation plus marquée dans l’animation. Ce réparateur lui propose bientôt voir à quoi correspondent ces bandes sonores. Lui est DJ dans une boite de nuit de la région. Nouvelle révélation !
Steve enchaine alors les animations. Soirées, mariages, départs en retraite… jusqu’à gagner le concours de meilleur DJ du Val d’Oise. Il a alors 17 ans. C’est décidé, Steve laisse les études de côté pour devenir DJ. Un DJ très demandé dans le boites parisiennes ! Puis, bientôt, une rencontre… Un homme lui parle d’un concept prêt à débarquer en France : la Color Run.
Steve Kondo va ainsi monter pour la première fois sur la scène au Trocadéro, sur la première Color Run. 13 00 personnes « à ses pieds », un véritable baptême du feu. A partir de ce moment-là, Steve devient ambianceur sur de très nombreuses courses. Un comble pour lui qui ne court pas du tout ! Mais reste très admiratif des performances réalisées par chacun !
L’organisation du Marathon de Paris le contacte, il y a 5 ans, pour se positionner au 30ème kilomètre. Objectif : rebooster les coureurs. Steve se poste là, au niveau de ce mur, avec un mot gentil pour chacun, quelques pas de course échangés avec un autre, de quoi faire oublier quelques instants que les jambes coincent.
Depuis, Steve met le feu dans les sas d’attente des 20 k de Paris, du semi-marathon de Boulogne, de l’Ecotrail Paris, de la Parisienne ou encore du triathlon des roses à Paris et Toulouse.
Et c’est aussi le grand frère des participants au Raid des Alizées. Au réveil (souvent très matinal) son énergie débordante met d’emblée de bonne humeur.
Un check sur l’EcoTrail Paris.
Fournisseur officiel d’énergie
« Un ambianceur doit pouvoir donner de l’énergie à tous. Faire naitre un sourire dans le sas d’attente, encourager quand vous êtes dans le dur, féliciter, écouter aussi. Alors vous comprenez qu’au final après mes sessions d’animations, j’ai fait moi aussi mon propre marathon ! Je ne fais pas de course à pied mais j’ai trottiné comme Bambi dans la prairie à une époque… Je sais donc qu’un coureur peut ressentir. Et c’est important pour pouvoir l’aider et l’accompagner », explique Steve Kondo. Un vrai fournisseur officiel d’énergie !
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/02/Capture-2020-02-140.12.09.png243461Sandrine Nail-Billaudhttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpSandrine Nail-Billaud2020-02-14 10:14:002023-01-23 10:51:44Steve Kondo, de l’ambiance au micro
Nous utilisons des cookies sur notre site Web pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et vos visites répétées. En cliquant sur "Accepter tout", vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies. Toutefois, vous pouvez visiter "Options des cookies" pour fournir un consentement contrôlé.
Ce site web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site. Parmi ceux-ci, les cookies qui sont catégorisés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de refuser ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut affecter votre expérience de navigation.
Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités comme le partage du contenu du site web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités de tiers.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site web, ce qui permet d'offrir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site web. Ces cookies permettent de fournir des informations sur les mesures du nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies publicitaires sont utilisés pour fournir aux visiteurs des annonces et des campagnes de marketing pertinentes. Ces cookies suivent les visiteurs sur les sites web et collectent des informations pour fournir des annonces personnalisées.
Les cookies nécessaires sont absolument indispensables au bon fonctionnement du site web. Ces cookies assurent les fonctionnalités de base et les caractéristiques de sécurité du site web, de manière anonyme.
SOYEZ LES PREMIERS INFORMÉS DE NOS BONS PLANS, PROMOTIONS ET NOUVEAUTÉS. INSCRIVEZ-VOUS À LA NEWSLETTER RUNNING ATTITUDE !!