Pour les entraînements de vitesse, avec semelle intermédiaire Boost et amorti Lightstrike dynamique au talon et très léger à l’avant-pied, tige en mesh stretch, semelle Continental pour l’accroche. Poids : 239 g en 42 2/3 Drop : 9,5 mm.Pour qui, pour quoi ? Courtes et moyennes sur route et chemins stabilisés pour coureur à foulée universelle de poids léger. 139 €.
ALTRA Torin 4.5 Plush
Un modèle plébiscité par les novices en zéro drop pour effectuer une transition en douceur. Cette nouvelle version est plus légère (30g) avec une nouvelle tige tricotée, une coque talon pour le confort et le maintien. Poids : 258 g en 43/ 210 g en 39 Drop : 0 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur de poids léger (-80 kg) pour travailler et perfectionner la foulée avant-pied. 150 €.
ASICS Gel-Kayano 27
Une référence en terme de confort et de stabilité. Cette 27e version est plus souple, toujours avec un soin apporté au soutien. Avec nouvelle empeigne respirante. Poids : 310 g en 42 / 245 g en 38. Drop : 10 mm / 13 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur à foulée universelle ou pronatrice de tous poids. 180 €.
BROOKS Glycerin 18
Une valeur sûre tout confort avec un amorti augmenté DNA Loft, une nouvelle tige en mesh et un chaussant ajusté (technologie 3D Fit Print). Poids : 300 g en 42.5 – 268 g en 39. Drop : 10 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route et chemins stabilisés pour coureur à foulée universelle de tous poids. 170 €.
HOKA Clifton Edge
Polyvalente, cette édition spéciale tirée de la Clifton qui convient à tous les profils. Son talon très allongé offre le confort et l’accompagnement nécessaire pour les néo-runners et les profils lourds sur longue distance. Poids : 253 g en 42. Drop : 5 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids. 160 €.
MIZUNO Wave Sky Neo
Sur ce nouveau modèle, une double couche d’une nouvelle mousse Enerzy pour un amorti moelleux et rebondi. Avec empeigne tricotée d’une pièce, languette intégrée au chausson. Poids : 335 g en 42 / 275 g en 38. Drop : 10 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids. 200 €.
NEW BALANCE FuelCell Propel V2
Technologie FuelCell pour un amorti dynamique, caoutchouc renforcé en carbone pour l’adhérence et la durabilité, chaussant d’une seule pièce, empeigne en mesh sans couture, ajusté pour le maintien. Poids : 270 g en 43 / 226 g en 37.5 Drop : 6 mm. Pour qui, pour quoi ? Courtes et moyennes distances sur route et chemins pour coureur à foulée universelle de tous poids.110 €.
NIKE Air Zoom Pegasus 37
Nouvel unité d’amorti à l’avant-pied pour un maximum de réactivité sur cette paire iconique. Légère et résistante, pour tous types de séances. Poids : 285 g en 44. Drop : 10 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids. 120 €.
SAUCONY Endorphin Shift
Nouveau modèle stable avec un support à l’arrière du pied. Confortable, avec un amorti Pwrrun généreux et une nouvelle technologie Speedroll qui propulse vers l’avant. Poids : 286 g en 42 / 269 g en 38. Drop : 4 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids. 140 €.
ON RUNNING Cloudflyer
Son point fort ? La stabilité grâce à une zone d’impact élargie pour un support accru et une mousse Helion apportant plus de durabilité. Le modèle reste agile et dynamique. Poids : 285 g en 42 / 210 g en 38. Drop : 7 mm. Pour qui, pour quoi ? Toutes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids. 170 €.
UNDER ARMOUR Phantom 2
Nouvelle coupe façon « chaussette », soutien au médio-pied, flexibilité et amorti Hovr améliorés pour cette paire polyvalente et confortable. Son plus : elle est équipée d’une puce GPS reliée à l’application MapMyRun. Poids : 327 g en 42 / 262 g en 38. Drop : 9 mm. Pour qui, pour quoi ? Courtes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids. 150 €.
Depuis le 31 août, l’insuable Luca Papi poursuivait son défi : parcourir 4 Transgrancanaria 360 à la suite. Après treize jours à courir nuit et jour en autosuffisance, victime d’une douloureuse lésion au quadri et de températures caniculaires, il arrête sa #transgrancanaria1000. Bilan de sa folle épopée : 850 km et 41 242m de dénivelé positif.
Luca Papi, roi de l’inédit. Un extraterrestre comme beaucoup le définissent, une machine à avaler les kilomètres qui aujourd’hui vient encore d’écrire une page de l’ultra-fond. Le coureur italien s’était donné comme objectif d’enchaîner les quatre éditions de la Transgrancanaria 360, en parcourant plus de 1100 km avec un dénivelé positif et négatif de plus de 100 000 m en un temps de 15 jours. Mais après treize jours après le début de l’aventure, le coureur a décidé d’arrêter le chrono le 13 septembre, à 850km et 41 242 m D+.
L’athlète italien, qui réside en Ile-de-France est parti lundi 31 août à 23h du Porto de las nieves d’Agaete. Il a d’abord faire un échauffement de 46 km jusqu’au Roque Nublo, d’où le 1er septembre, il a pris le départ de la première Transgrancanaria 360 de son défi sur le parcours de la dernière édition qui s’est tenue en mars cette année.
Il a commencé son aventure en complétant en environ 72h l’édition 2020 de la Transgrancanaria 360, sur un circuit engagé de 262 km depuis le centre de Gran Canaria jusqu’au Phare de Maspalomas. Ensuite, il a rempilé sur le tracé correspondant à l’édition 2018 (269 km et 12 000 mD+), en passant par l’un des endroits le plus emblématiques de l’île : la plage de “las canteras” mais aussi “calle Triana”. Ensuite il a (re)parcouru la version 2019 (264 km et 13 265 m D+). La chaleur et une lésion au quadriceps droit l’ont obligés à marcher sur une grande partie du parcours, en terminant avec un temps de 102h et 10 minutes. D’une manière générale, la météo a compliqué son épopée avec un thermomètre dépassant 40°C la journée et 32°C la nuit, avec de longs passages sans points d’eau et très peu de sommeil. Malgré cela, le champion n’a jamais perdu son sourire et sa bonne humeur, appréciant l’accueil des habitants de Gran Canaria venus l’encourager, le ravitailler, le masser. Sa#transgrancanaria1000 restera une grande aventure.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/09/josefir-3.jpg13332000Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-09-15 11:39:032020-09-15 15:32:07850 km sur Gran Canaria : le dernier défi de Luca Papi
Salomon annonce la commercialisation au printemps prochain d’une running conçue pour être recyclée. En fin de vie, l’Index. 01, dont la tige est en polyester recyclé et la semelle en polyuréthane thermoplastique (TPU) pourra être utilisée pour fabriquer d’autres produits Salomon. La paire, destinée aux entraînements quotidiens (285 g, 9 mm de drop) sera affichée à 200 €.
La micronutrition a le vent en poupe. Pourquoi et à quoi ça sert ? Sur quels minéraux, vitamines ou oligo-éléments miser pour être en pleine forme ? Le point avec Véronique Liesse, nutritionniste.
Qui est Véronique Liesse ? Diététicienne, nutritionniste et micro-nutritionniste. Elle enseigne à l’université de Grenoble, consulte, coach et forme dans les entreprises qu’elle accompagne pour optimiser santé, bien-être, qualité de vie et performance des collaborateurs via la société Nutrinergie. Véronique Liesse a publié Les erreurs qui nous empêchent de maigrir (Alpen), Le grand livre de l’alimentation « spéciale énergie » (Leducs) et Hormones, arrêtez de vous gâcher la vie (Leducs) . Elle vient aussi de lancer une chaîne Youtube, L’healthentiel pour maigrir durablement, garder la forme et une pleine vitalité.
La micronutrition est une approche de la nutrition qui sort de la diététique classique dans le sens où elle ne prend pas en considération la valeur calorique des aliments mais bien leur valeur micronutritionnelle. Elle s’intéresse donc à la façon dont certains nutriments, comme les vitamines, les minéraux, les oligo-éléments, certains acides gras ou les antioxydants peuvent agir dans le corps pour permettre son fonctionnement optimal et éviter les maladies.
Tous nos métabolismes, notre production d’énergie par les cellules, la fabrication et la gestion de nos neurotransmetteurs… toutes ces réactions chimiques qui se passent dans notre corps nécessitent la présence suffisante et adéquate de micronutriments.
Aujourd’hui, même si nous vivons plus vieux (ce qui a tendance à s’inverser), nous vieillissons plus vite car nous tombons plus malades. En gros, nous vieillissons plus jeunes, nous vivons plus longtemps, mais moins bien. La médecine nous maintient en vie, mais c’est la micronutrition qui nous permet de vivre vieux et en bonne santé !
LES RAISONS SONT ÉVIDENTES ET LOGIQUES MAIS NOUS AVONS TENDANCE À PARFOIS LES OUBLIER ! VOYONS-EN QUELQUES-UNES !
Le commun dénominateur de très nombreuses maladies chroniques (presque toutes), c’est l’inflammation ! Il est aujourd’hui limpide que notre alimentation peut avoir un caractère pro ou anti-inflammatoire. Or, l’âge, le stress, l’environnement, les déséquilibres du microbiote, notre alimentation, les additifs et d’autres choses encore ont tendance à favoriser de l’inflammation, ce qui augmente le risque de maladie chronique.
Pour bien fonctionner, nos cellules doivent pouvoir fabriquer de l’énergie. Pour ce faire, elles ont besoin de nombreux nutriments, notamment le coenzyme Q10, le magnésium et les vitamines du groupee B.
Pour se protéger des agressions extérieures ou intérieures, nous devons booster notre système immunitaire. Celui-ci nécessite une bonne barrière et santé intestinales qui vont notamment avoir besoin de zinc, de vitamine D ou de glutamine.
Le fait de respirer de l’oxygène et de l’utiliser pour extraire l’énergie des aliments que nous mangeons génère la formation d’espèces réactives de l’oxygène (anciennement appelés radicaux libres) . Pour ne pas les rendre trop dommageables pour nos cellules, nous devons apporter des « antioxydants ». C’est pourquoi la vitamine E de l’avocat ou des bonnes huiles non raffinées, la vitamine C ou encore les polyphénols des fruits et des légumes nous protègent d’une oxydation excessive et ralentissent le vieillissement de nos cellules.
Avec l’âge et une mauvaise alimentation, nous nous caramélisons ! L’excès de sucre et d’aliments hyperglycémiants peuvent à la longue épuiser notre pancréas. Nous allons peu à peu rendre nos cellules moins sensibles à l’insuline, ce qui va nous faire prendre du poids, certes, mais aussi élever notre glycémie. Lorsque le glucose circule dans le sang en quantité trop importante, il se colle véritablement aux protéines circulantes qui subissent une forme de « caramélisation », provoquant la formation de molécules toxiques. Zinc, vitamine D, magnésium, oméga-3 et vitamine B1 sont des nutriments capables de maintenir une bonne sensibilité de l’insuline. Certains phytonutriments présents dans les épices, notamment dans le cumin et la cannelle sont aussi d’excellents alliés d’une bonne glycémie.
Le magnésium est considéré à juste titre comme l’anti-stress numéro 1, les études semblent montrer que 80% de la population ne couvre pas les recommandations.
CONCRÈTEMENT, SELON VOTRE MODE DE VIE ET VOS HABITUDES ALIMENTAIRES, IL PEUT DONC PARFOIS S’AVÉRER INTÉRESSANT DE SE SUPPLÉMENTER EN :
• OMÉGA-3 qui jouent un rôle anti-inflammatoire incontournable. Ces acides gras devraient occuper une place de premier choix dans nos assiettes par la consommation de 300 à 400 g de poisson gras par semaine, surtout des poissons de petite taille comme la sardine, le hareng, le maquereau… Les oméga-3 sont aussi indispensables à une bonne cognition, un poids stable, une bonne glycémie ou une belle peau, tant de choses qui se dérèglent avec le temps. Vous n’aimez pas le poisson gras ? Alors la prise de compléments alimentaires sous forme d’huile de poisson devrait vous rendre de fiers services !
• ZINC, essentiel à l’immunité, à la peau, mais aussi à une bonne fabrication d’insuline ! L’absorption du zinc est nettement diminuée à partir de 50 ans, le zinc devient alors souvent indispensable sous forme de complément. En effet, le zinc que l’on retrouve dans les aliments d’origine animale est nettement mieux absorbé que celui des aliments d’origine végétale. Mais la consommation de viande devant être modérée, il est souvent plus facile de prendre 10 à 15 mg de zinc sous forme de biglycinate ou de pidolate de zinc par jour.
• VITAMINE D, connue pour son rôle dans la santé osseuse, elle l’est moins pour ses effets anti-inflammatoires et anti-dépresseurs. Nous devrions presque tous nous supplémenter tant les déficits sont quasi généraux. Il est préférable de la prendre au quotidien plutôt qu’en une seule prise mensuelle. Selon votre taux sanguin, il peut être utile de prendre entre 1000 et 3000 UI par jour.
• MAGNÉSIUM, un minéral qui intervient comme cofacteur de plus de 200 réactions dans notre corps, il permet notamment aux cellules de fabriquer de l’énergie. Considéré à juste titre comme l’anti-stress numéro 1, les études semblent montrer que 80% de la population ne couvre pas les recommandations. Plus nous fabriquons de l’adrénaline, plus nous éliminons du magnésium. Et plus nous devenons sensible au stress, plus nous fabriquons d’adrénaline… C’est un infernal cercle vicieux. Notre mode de vie actuel, où le stress règne en maître, nous fait donc éliminer beaucoup de magnésium. Cette élimination est accentuée par une consommation excessive de protéines et de sel. De plus la qualité des aliments ayant globalement diminué, les aliments étant de plus en plus raffinés et transformés, nos apports en magnésium ne sont donc plus suffisants pour couvrir nos besoins. La solution ? Boire des eaux minérales riches en magnésium (Contrex, Hépar, Quezac…), mettre au menu des aliments qui en contiennent des quantités intéressantes comme les légumes verts, les oléagineux, les légumineuses, le poisson. Enfin, un complément alimentaire de magnésium, sous une forme bien absorbable comme le bisglycinate, le glycérophosphate ou le citrate de magnésium, permet sans danger de retrouver de l’énergie !
• VITAMINES B : elles sont toutes indispensables à nos métabolismes énergétiques. Or, nombre d’entre elles sont éliminées par les traitements et transformations subis par les aliments aujourd’hui. C’est en partie ce qui explique une plus grande fatigue (un manque de fer peut aussi expliquer une fatigue excessive) dans la population mais aussi un risque augmenté de maladie cardiovasculaire ou de dépression. Sauf dans certains cas concrets, comme les végétariens qui ont besoin de vitamine B12 de façon isolée sous forme de complément alimentaire, les vitamines B se prennent ensemble car elles ont des effets synergiques entre elles.
Même si les compléments alimentaires peuvent s’avérer très utiles, notons que rien ne remplacera l’assiette. C’est ce qu’on appelle l’effet matrice des aliments. La synergie des nutriments présents dans l’aliment permet une meilleure absorption et une meilleure utilisation par les cellules. Mais une supplémentation temporaire a par contre parfois toute sa place, lorsque les habitudes de vie, les goûts alimentaires, l’état de santé, les capacités d’absorption ne sont plus adaptés.
Il est toujours plus prudent et plus efficace de faire appel à un professionnel de la santé qui vous conseillera les quantités et les formes les plus adaptées à vos besoins.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2019/11/pour-optimiser-votre-recuperation-preferez-les-aliments-aux-ph-basique-comme-les-legumes-et-les-fruits-frais-ainsi-que-les-fruits-secs.jpg9391920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-09-02 15:39:002020-09-15 15:27:265 bonnes raisons de se mettre à la micronutrition
Mal du dos, mal du siècle. Les douleurs dorsales concernent 75% des Français. Le fameux « j’en ai plein le dos » résulte souvent d’une surcharge liée à de multiples causes professionnelles ou personnelle mais aussi d’un surentrainement sportif… Pour se soulager, on adopte le Buoball de Blackroll, excellent outil de massage au niveau cervical, dorsal et lombaire.
Conçue pour traiter les tensions musculaires, notamment dans la nuque et le dos, la balle de massage Duoball Blackroll® se compose de deux boules accolées. Elle mesure 8 ou 12 cm, selon le modèle, et coûte entre 18 et 25 €. Le petit modèle est sans aucun doute plus facile à utiliser dans les différentes zones du dos jusqu’aux lombaires.
L’accessoire s’utilise en étant allongé sur un tapis de gymnastique. Il suffit de faire rouler doucement la balle sur les zones qui présentent des tensions ou qui sont un peu douloureuses. En prévention au quotidien, cela permet aussi de soulager les tensions après une journée de travail ou après une séance de sport en récupération. Le principe est toujours le même : il s’agit d’aller chercher les points douloureux. Attention, pas question de chercher à se faire mal à tout prix mais il faut, en jouant sur les directions de massage, la surface de contact et aussi la pression, cibler les nœuds douloureux pour agir dessus.
Aussi, il ne faut pas d’attendre à quelque chose d’agréable sur le moment mais les bienfaits a posteriori sont réellement présents. On l’atteste !
L’intérêt de cet outil en 2 parties, c’est que l’on n’appuie pas directement sur les vertèbres mais sur la musculature autour, ce qui est beaucoup moins traumatisant pour la colonne vertébrale dont les disques peuvent être fragiles ou sensibles.
La texture est particulièrement intéressante. Dure mais pas trop, à haute densité mais particulièrement légère. Son aspect un peu poreux assure une très accroche quel que soit le type de vêtement porté. Car oui, il convient de s’automasser habillé car sur peau nue… ça fait trop mal !
Jouer sur les fascias
Ce principe clé, c’est de jouer sur les fascias. Ces composants de notre organisme connectent les différents tissus, entourent les muscles, les os, les organes, les nerfs, jusqu’aux vaisseaux et cellules. De la tête au pied, c’est une toile ininterrompue en 3D. Le but de l’automassage, c’est de relâcher tout ce maillage interne. Cela augmente le flux sanguin et lymphatique dans les muscles, ce qui favorise la récupération. L’automassage favorise également l’élimination des déchets en ayant une action drainante. Enfin certaines études montrent que cette pratique améliore la souplesse et l’amplitude articulaire tout en relâchant les tensions par une action sur les points « déclic » : les trigger points.
Les + C’est pratique et ludique pour se soulager. L’outil est léger, se nettoie sans difficulté et dure bien dans le temps. A noter : il existe de nombreux modèles de formes et dimensions différentes.
Les – L’application sur smartphone n’est disponible qu’en anglais. Dommage, on aurait aimé plus d’explications accessibles en français.
Julbo lance une monture d’un nouveau genre, l’Evad-1, intégrant l’affichage directement sur le verre des infos clés de sa séance en cours.
Pour proposer cette innovation, le fabricant Jurassien Julbo s’est associé avec l’entreprise Microoled basée à Grenoble. Premier bon point : cette Evad-1 innovante ne pèse que 35 g (l’AeroZebra light pèse pour exemple 25 g). La batterie située sur la partie gauche du nez ne gêne pas, de même que le système de projection, situé à droite. Après avoir appairé les lunettes avec l’application Activelook, on peut sélectionner les infos qui s’afficheront sur la partie supérieure du verre droit : temps d’effort, distance, allure, fréquence cardiaque. Un simple appui sur la partie gauche de la monture permet de faire défiler les écrans, avec la possibilité de ne rien afficher pour préserver l’autonomie annoncée à 12 heures (recharge par un port micro USB). Dès sa commercialisation, cette optique inédite devrait être compatible (connexion Bluetooth) avec les montres Garmin afin d’éviter l’emport de son téléphone et d’améliorer la précision des informations de vitesse. On vous rassure : après quelques minutes, on arrive facilement à intégrer dans son champ de vision les infos fournies, sans que cela ne perturbe la vision lointaine. On apprécie les verres photochromiques lorsque la météo est changeante. La monture remonte assez haut sur le visage. A terme, il devrait être possible de visualiser les informations de direction lors du suivi d’un parcours préalablement téléchargé, avec des icônes indiquant la distance à l’approche d’une bifurcation. Le bilan de ce test est positif : avec cette Evad-1, la marque a réussi à intégrer parfaitement dans son verre un système d’affichage en temps réel, tout en proposant une vraie monture sportive compatible course à pied comme vélo (route ou VTT).
Prix : 499 €
Les + Poids contenu, parfaite intégration des composants, affichage lisible et non intrusif.
Les – Tarif élevé, design particulier avec des verres assez hauts, quelques fluctuations des informations de vitesse avec l’application ActiveLook.
Et si on se faisait « La Nièvre en courant » ? Trois jours plus tard et 400 km de relais plus loin, 9 irréductibles nivernais ils l’ont fait, la grande traversée de leur département. Avec l’envie, on fait de grandes choses !
La fine équipe nivernaise est arrivée le 26 juillet, vers 18h sur l’esplanade du palais ducal de Nevers. 400 km en relais en trois étapes pour traverser la Nièvre. Un projet monté à la va-vite autour d’Antoine De Wilde, organisateur de La Bottine de Nevers et du Nevers marathon (entre autres). L’idée a fait « tilt » le lundi, ils ls sont partis le vendredi même. Juste le temps de monter un roadbook et d’organiser la logistique…
Un petit bout de la France en courant
Dans l’équipe, certains sont rodés, bons coureurs ayant déjà participé à la célèbre France en courant, annulée cette année. Cette Nièvre en courant s’en fait l’écho, en hommage à cette aventure en relais qui sillonne la France et laisse depuis plus de trente ans des souvenirs impérissables à ses participants. Mais dans le lot de cette team ’58’, l’effort cumulé sur plusieurs jours fût une grande première, un vrai challenge sportif. Au final, tous ont bouclé la boucle, ravis par cette échappée belle à domicile et l’accueil spontané reçu dans les villages traversés. Ebahis aussi par la variété des paysages de leur département. Leur tracé : une grande boucle autour de Nevers. Pour la première étape , Marzy, Fourchambault, La Charité-sur-Loire, Pouilly-sur-Loire, Cosne-sur-Loire, soit 74 km avalés en une matinée en partie au fil du fleuve royal.
Entre lacs, forêts et villages et bocages
Rebelote le lendemain avec un départ à la fraîche, à 4h du matin depuis Cosne. Direction Donzy, Prémery, Corbigny, ses bocages et pâturages puis cap sur le Morvan et ses beaux lacs, Settons et Pannecière, avec finish de l’étape à Château-Chinon. Bilan la journée de course, achevée vers 18h, 157 km et 2 229m de dénivelé. Une bonne nuit de sommeil, puis ce sera la « der ». Cap sur Nevers. 124 bornes rythmés par deux ascensions : le Haut Folin et le Mont Beauvray. Pour le final, un accueil triomphal autour du palais ducal de Nièvre. Et une conclusion à l’ unisson : cette Nièvre en courant presque improvisée, en forme de coup d’essai, en appelle d’autres !
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/08/img_4142.jpg14401920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-08-17 19:23:072020-09-01 10:08:40Nièvre en courant : une belle traversée du 58 !
Le Nevers Marathon prépare sa deuxième édition les 24 et 25 octobre avec départ sur le circuit de Magny-Cours. Déjà plus de 800 inscrits, dont moitié sur le marathon qui avait compté 366 finishers l’an dernier. Le point avec l’athlète nivernais Antoine de Wilde, organisateur de l’évènement.
Dans les starting-blocks sur Magny-Cours, pour l’ekiden du samedi soir.
Circuit de Magny-Cours, bords de Loire, dites-nous en plus sur le parcours…
« Au lever du jour, le départ fera de l’effet sur le légendaire circuit de Formule 1 Nevers Magny-Cours. Après un tour complet du circuit (4,411 km) pour se chauffer, les coureurs rejoignent le village de Magny-Cours, foulent la campagne nivernaise en passant par le Château du Sallay et le Domaine du Grand Bois à mi-parcours. Ensuite, place à 12 km très agréables le long du canal latéral de La Loire pour rallier Nevers. Avec les couleurs d’automne, cela vaut le coup d’œil ! On entrera dans la cité ducale par le Pont de Loire, face aux monuments emblématiques pour le bouquet final. Un parcours splendide, varié et pour couronner le tout : un dénivelé négatif ! »
Quelles seront les nouveautés à l’affiche ?
« Pour cette deuxième édition, les épreuves Ekiden et marathon solo seront à label FFA. ? travaillons d’arrache-pied pour garantir un bel accueil et un maximum de confort aux coureurs avec un service de navettes, des nouvelles animations, des soins après course, de la restauration, des offres avec l’hôtellerie. Nos coureurs seront gâtés avec une belle dotation à chacun, parmi les plus qualitatives de France ! »
Belle médaille collector !
Donnez-nous envie de venir courir ce Nevers Marathon le 25 octobre…
« Nous sommes amoureux de notre territoire et nous parions que vous tomberez sous le charme aussi. La Nièvre ne laisse pas indifférent. Mettre les pieds sur le circuit mythique de Nevers Magny-Cours encore moins. Parcourir les loges, traverser les châteaux, la campagne et ses bocages, boire du bon vin (c’est ici le terroir du Pouilly fumé), se sentir héros lorsque l’on passe la ligne d’arrivée, repartir avec des spécialités nivernaises et une médaille collector en forme de volant de Formule 1… Vous n’oublierez pas le week-end passé avec nous ! »
Trois nouvelles paires Endorphin cette saison. Même ADN, même look mais tempéraments différents : la Pro pour performer en compétition, la Speed pour les séances de vitesse et la Shift pour les entraînements quotidiens.
Endorphin Pro, avec plaque en fibre de carbone. Conçue avec les athlètes élites, c’est la chaussure la plus rapide de la marque. Avec un amorti Pwrrun léger et souple ainsi qu’une plaque en fibre de carbone en forme de S. Sa technologie Speedroll propulse vers l’avant, créant une sensation d’élan. La technologie FormFit enveloppe le pied et la tige en mesh le maintient bien. Poids : 213 g en 42. Drop : 8 mm. Prix : 220 €.
Endorphin Speed, pour les séances de fractionné. On retrouve l’amorti Pwrrun associé cette fois-ci à une plaque en TUP en forme de S ultra-léger et ultra-ferme pour une course qui propulse vers l’avant. Egalement technologie Formit. Poids : 221 g en 42. Drop : 8 mm. Prix : 160 €.
Endorphine Shift, pour le quotidien. Même technologie Speedroll couplée à l’amorti Pwrrun pour procurer une sensation d’élan permanente. Avec renfort TPU au talon, revêtement caoutchouc médial pour le soutien. Poids : 286 g en 42. Drop : 4 mm. Prix : 140 €.
Les courses virtuelles UTMB for the planet rassemblent déjà 8500 coureurs de 98 pays qui ont collecté 10 000 euros pour WWF France.
Jusqu’au 30 août, il est possible de participer aux 4 courses virtuelles UTMB for the planet, et ainsi se mesurer à l’une des quatre épreuves mythiques de l’événement que sont l’OCC, la CCC®, l’UTMB® et la PTL®.
Cette initiative digitale et solidaire lancée le 20 juillet permet de participer à un UTMB® virtuel en enregistrant ses activités depuis chez soi où que l’on se trouve sur la planète.
La plateforme digitale intègre un classement en temps réel qui file jusqu’à la date de clôture d le 30 août.
Il reste donc un mois pour se tester et se mesurer à ses amis et aux meilleurs athlètes de la discipline !
On peut réaliser sa course virtuelle en plusieurs étapes et en kilomètres-effort. La participation à l’une des courses virtuelles UTMB® for the Planet est gratuite mais il est donné la possibilité aux coureurs de faire un don à WWF France. En 10 jours, 10 000 euros ont été collectés. Lorsqu’une course virtuelle est terminée, les participants débloqueront un badge exclusif de Finisher.
Quant aux coureurs qui choisissent de supporter WWF France, ils obtiendront un dossard virtuel exclusif.
A noter que 3 dossards pour l’UTMB® Mont-Blanc sont à gagner pour les Finishers de l’UTMB® Virtual 50, UTMB® Virtual 100 et UTMB® Virtual 170. L’organisation s’engage elle aussi à soutenir WWF France.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/07/unnamed.png300640Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-07-30 16:00:412020-07-30 16:16:11UTMB for the planet jusqu’au 30 août
Pour la prochaine saison, la marque japonaise mise sur sa nouvelle technologie Enerzy, présentée comme révolutionnaire. Elle équipera plusieurs modèles, dont la référente Wave Rider.
La « concept shoes » Mizuno Enerzy.
Pas de modèle avec plaque en fibre de carbone pour l’heure chez Mizuno. Mais la marque japonaise revient dans la course et mise cette saison sur sa technologie Enerzy. « Les meilleurs bénéfices de retour d’énergie et de souplesse dans l’industrie du sport », décrit le communiqué de presse. Ce nouveau matériau a été développé et testé depuis plus de deux ans au sein du département recherche et développement de l’équipementier. « Il a été prouvé que cette technologie est 293% plus souple que les semelles conventionnelles et que la restitution d’énergie est de 56% plus élevée ». Voila qui promet.
« Nous menons constamment des études et des recherches afin d’améliorer la performance des sportifs, et MIZUNO Enerzy est une technologie qui a été développée dans ce but. Complète, elle améliore les qualités de souplesse et de rebond, avec très peu de déperdition d’énergie. Les premiers tests nous ont confirmés très rapidement que nous avions atteint un autre niveau avec cette matière. », déclare à ce sujet Akira Morita, développeur de la dite technologie.
Pour présenter son Enerzy, la marque a mis au point une « concept shoes » au look détonnant, avec une épaisse semelle constituée de bulles très apparentes, symbolisant le rebond maximal. On précise qu’elle n’est pas destinée aux coureurs. En revanche, la technologie sera présente sur la 24e version de l’emblématique Wave Rider, mais aussi sur la nouvelle Wave Sky 4, ainsi que sur des plusieurs modèles destinés à d’autres sports.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/07/Capture-dran-2020-07-29-11.58.17-495x325-1.png325495Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-07-29 11:29:002023-01-30 11:13:33Nouvelle technologie Enerzy pour Mizuno
Nous avons testé au long cours la 10e version du modèle référent 1080 de New Balance. Toujours une valeur sûre, qui mise avant tout sur le confort.
La semelle extérieure très épaisse sur la moitié arrière donne une fausse impression de lourdeur : avec 285 grammes en 44, le poids de ces New Balance 1080 Fresh foam V10 (ouuuf) est dans la moyenne habituelle de ce type de modèle. V10, car c’est la 10e version déjà de ce modèle bien né, qui s’est légèrement allégé sans sacrifier au confort qui se montre très bon même sur des séances de plus de 90 minutes.
L’épaisse semelle n’entrave pas la souplesse, ce qui permet un bon déroulé du pied, et le parti pris du confort ne se fait pas au détriment du dynamisme. C’est ainsi que les séances rythmées sur piste sont tout à fait réalisables avec ce modèle. Certes ce ne sera pas leur type d’entraînement favori car le ressenti pied-sol est gommé par l’épaisseur de la semelle, mais l’ensemble reste utilisable en courant de manière assez dynamique. En revanche on pourra les porter souvent et longtemps, sur route ou chemin bien revêtu, en variant les allures, leur stabilité et leur confort sont vraiment très bons. Et la semelle offre une bonne adhérence sur le bitume humide. Un modèle un peu allégé, assez polyvalent, faisant la part belle au confort, voici les caractéristiques de ces New Balance 1080 V10 Fresh foam. Pour les coureurs privilégiant l’amorti et le confort, pour qui les séances sur piste ne seront pas essentielles, ce modèle est vraiment très adapté, et disponible en plusieurs largeurs pour accueillir différents types de pieds.
Prix : 170 €
Les + compromis confort / stabilité / dynamisme / polyvalence, disponible en plusieurs largeurs.
Utilisation : toutes distances sur route et chemin pour coureur à foulée universelle de tous poids.
Test réalisé par Frédéric Poirier, 54 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013). Pieds légèrement pronateurs, sans correction. Chausse habituellement des Adidas.
Le couple franco-américain vient de relier Cervinia à Chamonix en 4 jours et demi. 188 km et 13 500mD+ ponctués par deux ascensions, le Breithorn (4 164m) et le Mont-Blanc (4 809m).
Katie Schide et Germain Grangier ont bouclé le 23 juillet une aventure unique. Le couple franco-américain, ambassadeurs de l’équipementier suisse On, ont rallié Cervinia à Chamonix en 4 jours et demi. À l’aube du dimanche 19 juillet, au départ de Cervinia en Italie, Katie et Germain ont débuté leur aventure par l’ascension du Breithorn (4 164m). Après une nuit au refuge de Schonbiel, ils se sont alors lancés sur la Haute-Route, un itinéraire de 120 kilomètres ralliant Zermatt en Suisse à Chamonix en France. Aux Houches, ils ont temporisé une journée pour qu’une fenêtre météo s’ouvre et sont partis gravir le Mont-Blanc pour finalement boucler leur aventure ce jeudi 23 juillet.
Après plus de 41 heures d’effort en 4,5 jours, Katie et Germain auront parcouru 188 kilomètres, cumulé plus de 13 500 mètres de dénivelé positif et gravi deux sommets à plus de 4 000 mètres d’altitude, ensemble.
« Ces derniers jours avec Germain définiront vraiment mon été 2020. Nous sommes partis sans aucun stress pour atteindre des objectifs de temps précis ou battre tout type de record, juste pour passer de longues journées en haute montagne, voir où nos corps pourraient nous mener. Avec la plupart des événements annulés cette année, ce projet était une bonne occasion de revenir aux racines de ce que nous aimons le plus: passer de longues journées à se déplacer à travers les montagnes. » dit Katie Schide.
Ce projet de longue date a nécessité plusieurs mois d’organisation logistique et de préparation physique. Reconnus en tant qu’athlètes élites sur le circuit mondial de trail running (tous les deux dans le top 10 de leur catégorie sur l’UTMB 2019), Katie et Germain avaient à coeur de lier alpinisme et ultra trail sur une aventure unique en son genre.
« Quelques jours à passer du temps à l’extérieur, à écouter la montagne, à tester nos limites, à mesurer les risques et à s’adapter constamment au moment présent. Nous partageons des aventures en haute montagne pour explorer de nouveaux sommets, crêtes, vallées et glaciers comme un simple défi d’endurance. C’est ce pour quoi nous vivons. » précise Germain Grangier.
Résumé de leur épopée Stage 1 – de Cervinia à Schönbielhütte – 35 km, 2 700D+ en 6 heures // Stage 2 – traversée de la Haute-Route de Zermatt à Chamonix – 115km, 7 000D+ en 24 heures // Stage 3 – Les Houches, ascension du Mont-Blanc – 33km, 3 800D+ en 11 heures et 30 minutes
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/07/katie-schide-and-germain-grangier_mont-blanc.jpeg10241024Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-07-24 18:41:442020-09-15 11:57:06Cervinia-Chamonix + le Mont-Blanc pour Katie Schide et Germain Grangier
Dernier grand marathon du calendrier français, La Rochelle fête cette année son 30e anniversaire. Le 29 novembre, on retrouvera avec plaisir son parcours très rapide doublé d’une bonne dose de convivialité. Nicolas Mauny, responsable de l’organisation, nous en dit plus.
La Rochelle, c’est un des plus anciens marathons français. On l’apprécie pour le décor, l’ambiance, autant que la qualité de son organisation, qui depuis 30 ans est une association…
Nicolas Mauny : « Oui, nous avons un statut associatif depuis 1991. C’est notre ADN qui va avec la volonté des 60 adhérents de l’association de conserver la même philosophie, en misant sur le partage et la convivialité. Comme association loi 1901, nous ne sommes pas la recherche de profit. Notre droit d’inscription, nous le maintenons le plus bas possible en fonction de l’organisation que l’on souhaite mettre en place. Cette année, le dossard était affiché à 56 euros pour le premier tarif et maintenant à 64 euros pour le deuxième tarif, ce qui reste plus que raisonnable par rapport à l’ampleur de l’événement et les dotations que l’on offre à l’arrivée. Depuis toujours, nous offrons l’inscription aux demandeurs d’emplois. Aider des personnes qui sont momentanément sans emploi en leur permettant de participer gratuitement, c’est une valeur qui nous est chère. »
Que prévoyez-vous de particulier pour cette 30e édition ?
« L’objectif c’est de fêter cet anniversaire comme il se doit. On l’a appelé 30e rugissante. Nous avons choisi le thème de la mer avec des animations au départ comme sur le parcours, et une retransmission en direct sur France 3 Nouvelle Aquitaine. Il y aura des animations dans la ville tout le week-end mais aussi sur le village avec une rétrospective des 29 précédentes éditions, des surprises et cadeaux pour les coureurs et les bénévoles. »
Pour cette édition anniversaire, La Rochelle, 3e marathon le plus couru de France* passera un nouveau cap avec 8000 marathoniens attendus.
« Oui, cette année, nous avons voulu mettre en valeur le marathon, notre épreuve phare avec 8000 dossards disponibles contre 6300 l’an dernier. Afin d’accueillir au mieux les marathoniens, nous avons décidé de mettre le duo entre parenthèse, mais il est reviendra l’année prochaine. »
Sur le 10 km, vous gonflez aussi le nombre de dossards ?
« Oui, ce sera la 10e édition de ce 10 km. Nous avons prévu 3000 dossards. Cette distance est accessible et pourra accueillir les accompagnateurs ou des coureurs qui n’ont pas l’entraînement pour le marathon. D’ailleurs le circuit de ce 10 km sera encore plus rapide, avec un dernier kilomètre identique au marathon. Pour le final : une descente de la rue du Palais, un passage sous la grosse horloge, sur le vieux port et une arrivée au pied des deux tours de La Rochelle ! »
L’un des atouts du marathon, c’est son parcours performant qui le classe 2e marathon le plus rapide de France derrière Paris.
« Oui, c’est un parcours « à record », idéal pour ceux qui souhaitent performer. Nous l’avons modifié il y a 3 ans, il ne changera pas cette année car son côté performant plaît beaucoup. L’an dernier, nous avons eu la 2e performance française sur marathon avec le premier en 2h08’22’’ et la première féminine en 2h29’51’’. Côté statistiques, nous avons de très bons scores avec 4,8% de coureurs en moins de 3h et 53% des coureurs en moins de 4h. »
Décrivez-nous dans les grandes lignes ce parcours…
« Nous avons d’abord un départ atypique qui se fait à proximité du vieux port avec deux départs en sens opposé, de chaque côté du Canal Molbec. Les deux pelotons se retrouvent après 600 mètres. Cela permet de fluidifier les premières foulées. Ensuite, le circuit est tracé en hyper-centre, avec un peu de bord de mer. C’est tout simplement une visite touristique de la ville en deux boucles. Nous avons énormément de public. Le spectateur peut voir 5 fois son coureur sans trop se déplacer ! »
A l’arrivée, au pied des deux tours, une belle récompense avec des huitres à déguster…
« Oui, la bourriche d’huîtres à chaque arrivant, c’est notre spécialité. Il y aura aussi le traditionnel coupe-vent, qui sera modifié cette année, une belle médaille, et un cadeau surprise pour la 30eédition. »
Jusqu’à quand peut-on s’inscrire ?
Il faut penser à réserver son dossard d’ici début septembre car les places sont limitées. Nous avons une forte demande d’inscriptions, au-delà de la courbe pour atteindre les 8000 coureurs sur le marathon, avec un bel engouement pour la 30e édition. Le tarif pour le marathon est désormais à 64 euros et pour le 10 km à 15 euros. »
Si l’événement devait être annulé à cause du contexte sanitaire, vous avez déjà annoncé des mesures. Expliquez-nous.
« Notre volonté par rapport aux différentes demandes des coureurs et au contexte actuel, c’était de nous positionner sans plus attendre pour donner des garanties aux coureurs. Nous avons donc déjà communiqué qu’en cas d’annulation, nous proposerions soit le report du dossard sur 2021, soit le remboursement intégral du dossard sans pénalités (au plus tard 31 janvier 2021), soit la possibilité de faire un don à l’association du marathon. On ne voulait pas que les coureurs soient pénalisés, ils l’ont déjà bien été depuis ce printemps. Nous sommes une structure associative solide et nous avons le soutien de partenaires institutionnels et privés, ce qui nous permet de proposer le remboursement intégral sans pénalité. C’est un choix « politique » fort, c’est sûr. On sait qu’on a le soutien des coureurs. La moindre des choses, c’est de se mettre à leur place, d’aller dans leur sens, de leur donner des garanties. »
Concernant les mesures sanitaires, qu’envisagez-vous ?
« Il est prématuré de prendre des décisions aujourd’hui pour un événement qui aura lieu dans 4 mois et demi. Pour l’instant, il y a des réflexions, des pistes de travail. Les décisions seront prises en septembre, octobre et nous nous y plierons. On s’adaptera à la situation en temps voulu. »
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/07/marathon-de-la-rochelle-serge-vigot-2019.jpg12801920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-07-14 08:03:002020-09-01 10:09:52Le Marathon de La Rochelle prépare sa 30e édition rugissante
Après le confinement, la liberté retrouvée a donné des idées à Grégory Herlez alias Greg runner. Il s’est lancé un défi qui lui tenait à coeur depuis longtemps : faire le tour du bassin d’Arcachon à la nage et en courant.
Courir quel que soit le terrain, c’est le slogan de ce blogueur qui pour son dernier défi n’a pas hésité à se jeter à l’eau. Ce trailer Parisien a passé le confinement en famille à Cap-Ferret, en Aquitaine. Faute de pouvoir accrocher un dossard cette saison – il devait notamment participer à l’UTMB Val d’Aran annulé – Grégory Herlezs’est créé un défi « sur-mesure », sur son terrain d’entraînement favori :un grand tour du Bassin d’Arcachon. L’idée lui trottait en tête depuis quelques temps, le confinement l’a fait éclore. « Je ne me voyais pas faire le défi en réalisant les 74km du Tour du Bassin et utilisant un bateau pour me rendre au départ. C’est comme ça que l’idée m’ait venue de faire la traversée des 3,5km qui séparent Arcachon du Cap Ferret pour pouvoir faire le tour du Bassin complet », explique-il. Après plusieurs séances de natation, sport qu’il maitrise le moins, il ose, s’organise, en parle autour de lui. Ce sera le 1er juillet. Il pourra compter sur une équipe pour accompagner son épopée en toute sécurité.
Une première à la nage !
La date est choisie en fonction des coefficients de marée, car le passage emprunté pour la partie natation est exposé à de forts courants. Un bateau l’accompagne avec à son bord famille et amis pour les encouragements, mais surtout Nadia Mallaquin, sauveteur en mer. Une présence sécurisante.
A 7h30 ce premier dimanche de juillet, Grégory s’est donc jeté dans l’eau arcachonnaise. Chance : la météo est idéale pour cette traversée inédite. 1h25 de nage pour accoster de l’autre côté, sur la la jetée du Moulleau d’Arcachon. « J’ai profité d’un bassin clément avec très peu de vent et une heure idéale par rapport à la marée pour jouer au mieux avec les courants. J’ai eu de très bonnes sensations et j’ai fait une bonne nage. J’ai su être constant et fluide, et j’ai pris un véritable plaisir de traverser cette partie du bassin, » raconte-t-il. Courte transition pour enfiler des runnings et c’est parti pour le tour du bassin à pied. 74 bornes à avaler. Le voilà en terrain plus familier.
6h23′ de course à bonne allure
Les sensations sont bonnes. Semi passé en 1h39′. Marathon en 3h33 ». 50 km en 4h12 ». Des temps rapides malgré la chaleur pesante. Il tient toutefois bonne allure : 11,42 km/h en moyenne.
« J’ai énormément transpiré, comme jamais. J’ai dû m’hydrater plus que prévu pour compenser la perte hydrique, sinon, c’était la défaillance assurée avant la fin du parcours ». Heureusement, il a pu compter sur une voiture suiveuse, composée de son oncle et de sa tante pour assurer le ravitaillement en solide et liquide. Le Bordelais Sébastien Cantéro, rencontré l’année précédente à l’occasion du Marathon des Sables (Course de 250km à étapes dans le désert marocain) le suit en vélo. Au fil de la matinée, le ciel se charge, faisant redouter l’orage. C’est finalement le vent qu’il a fallu dompter, soufflant plein nez. « Face au vent, c’était assez difficile mais j’ai pu m’abriter derrière Sébastien pour ne pas perdre trop de vitesse et d’énergie ». A 15km du finish, coup dur : ça coince. L’ultra-traiteur se fait rattraper par les crampes.
Dopé par les encouragements de supporters, il garde le cap. De la jetée du Moulleau à la jetée de Bélisaire, des personnes qui avaient entendu parler de son défi sont venus le soutenir. Une surprise, un vrai coup de boost pour le sportif : « C’était vraiment sympa de voir des personnes que je ne connaissais pas m’encourager. Ça m’a vraiment boosté ! Et avec toute la famille et les amis qui venaient sur des points stratégiques du parcours, ça donnait vraiment de l’énergie ! Et quand mon Sponsor Thibaut Taberne de Les Promoteurs d’Aujourd’hui m’a accompagné pour les 10 derniers kilomètres, je n’avais plus qu’à le suivre et à finir le tour ! »
Au final, 7h52’50 » pour boucler la boucle jusqu’à cap Ferret. Défi réussi. En moins de 8h. Comme quoi, même sans dossard, un compétiteur trouve toujours de belle manière de se challenger.
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/07/img-0268.jpg14401920Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-07-13 08:11:002021-10-26 18:48:40 » Mon Grand Tour du Bassin d’Arcachon »
22e version pour le modèle phare d’Asics, plébiscité pour son confort et sa polyvalence. L’avis de notre testeur Frédéric sur cette dernière mouture.
Quels changements entre la Nimbus 22 et la version précédente ? Rien du côté du poids, toujours à 325 g en pointure 44. En revanche leur chausson s’avère plus large et le mesh en maille aérée sera appréciable lorsque l’on court par forte chaleur.
On retrouve l’excellent confort des modèles précédents, avec toujours un léger manque de dynamisme pour les séances rythmées notamment sur piste. Ce point est toutefois à relativiser car les coureurs de plus de 80 kg devraient se sentir à l’aise dans ce genre d’exercice avec cette paire de chaussures aux pieds. Les sorties longues en endurance ou avec quelques variations d’allure confirment l’excellent confort, tout comme la version précédente ces Nimbus 22 ont vraiment » l’âme de fond ». En résumé, les coureurs de plus de 80 kg les trouveront vraiment polyvalentes en endurance et sur des entraînements dynamiques, et les coureurs plus légers pour qui les confort est la priorité pourront tout à fait les utiliser.
Poids : 325 g en 44
Les + Très bon confort, chausson plus large, polyvalence. Les – Prix élevé (180 €).
Il a testé pour vous… Frédéric Poirier, 54 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013). Pieds légèrement pronateurs, sans correction. Chausse habituellement des Adidas. Conditions du test : 150 km sur route (70 %), chemins stabilisés (20 %) et piste (10 %), tous types de séances.
Ce 5 Km Athlé Open de France Virtuel se déroulera du 11 au 14 juillet. Cette course connectée gratuite, ouverte à tous ceux qui veulent se challenger donnera le coup d’envoi d’un nouvel indice de comparaison entre les runners mis en place par la Fédération.
Cette première échéance athlétique post-coronavirus, organisée par la Fédération Française d’Athlétisme du 11 au 14 juillet, permettra à tous les coureurs de se mesurer les uns aux autres, à distance mais sans pour autant être privés d’émulation : tous les participants se retrouveront intégrés au même challenge et soumis au même verdict : celui du tout nouvel Index National Running qu’inaugure la fédération.
L’Index National Running, nouvel indice de comparaison entre runners. A partir de ce challenge 5 KM Athlé et pour toutes les courses sur route qui suivront, tous les runners pourront retrouver sur JaimeCourir.fr, la plateforme running de la Fédération, cet indice d’évaluation et de comparaison sous la forme d’un classement de tous les participants aux plus de 5000 courses sur route – de 3 à 100 km – recensées par la FFA. Chaque coureur retrouvera sur la plateforme son Index National Running, qui pourra évoluer selon ses différents chronos enregistrés, quelle que soit la distance, lui permettant ainsi de se situer dans un classement national, de suivre l’évolution de son niveau ou encore d’identifier les types de courses sur lesquels il pourra réaliser ses meilleurs résultats.
Cette course de 5 km est gratuite. Le principe : courir seul ou avec ses amis – en respectant évidemment les gestes barrières et la distanciation sanitaire – sur 5 km, sur le tracé de leur choix. 5 km, une distance accessible à tous, des débutants aux champions, , licencié(e)s ou non dans un club d’athlétisme. Les plus ambitieux pourront tenter de se rapprocher des recordman/woman de France de la distance : respectivement Jimmy Gressier en 13’18’’ (record d’Europe), et Liv Westphal en 15’31’
Classement sur Strava et lots à gagner
L’ensemble des résultats sera collecté et centralisé sur Strava, partenaire technique de l’évènement. Les performances de chacun seront consultables en direct, rendant le challenge encore plus réaliste. Et comme sur toute échéance de haut niveau, il y aura bien sûr de nombreux lots à gagner : des équipements Asics, des dossards pour le MAIF Ekiden de Paris, des billets pour les prochains événements athlétiques, des réductions de 30€ sur la licence FFA.
Pour s’inscrire gratuitement et télécharger son dossard, cliquer ici
https://running-attitude.com/wp-content/uploads/2020/07/5km.jpg16721181Alice Millevillehttps://running-attitude.com/wp-content/uploads/2023/09/running-attitute-magazine-300x89.webpAlice Milleville2020-07-09 15:41:392020-07-09 18:14:31LA FFA lance un 5 km virtuel Open de France
Sortie en juin 2019, cette Cascadia 14 a déjà fait la preuve de sa longévité. Revue technique et avis sur cette paire que Sandrine teste depuis quelques mois déjà en prévision du Marathon des Sables reporté en septembre…
Historique de la paire..
Parfois, pour constater le succès d’une chaussure, il faut regarder du côté du nombre de versions qu’elle a traversées. A ce petit jeu la Brooks Cascadia peut se positionner comme certainement l’une des doyennes dans la rubrique des chaussures de trail running mais aussi des ultras.Ce fut le modèle phare de la marque américaine Brooks depuis plus de 20 ans et elle a su évoluer, parfois au prix de quelques critiques et notamment sur la solidité du mesh. Cette chaussure a donc su se renouveler à chaque version et nous présente pour ce 14ème modèle une version plus légère, un mesh ultra résistant et un drop plus faible !
La fiche technique
En effet, tout a été revu : nouvelle semelle avec une nouvelle gomme Trailtack (comme dur le modèle Caldera 3), nouveau drop 8 mm au lieu de 10 , une semelle plus amortie, un avant du pied élargi, un poids diminué et surtout un nouveau mesh en Cordura car il faut bien le dire, la grande faiblesse des Cascadia était la fragilité du mesh et le manque d’accroche sur certains terrains très glissants et humides..
La réception des chaussures
Oui, oui dans les modèles pour femmes (mais aussi pour hommes..) la couleur de la chaussure a quand même son importance et là, surprise, après des coloris très sobres dans les tons gris noirs vus en boutique, c’est une version colorée bleu turquoise et framboise qui m’est livrée. Il existe cela dit 6 coloris : https://www.brooksrunning.com/fr_fr/womens-running-shoes-cascadia-14/120304.html
Premier essayage
Aucune surprise ce sont des véritables chaussons comme très souvent chez Brooks. La languette du dessus se place parfaitement sur le pied, ne bouge pas et donne même la sensation d’une seconde peau parfaitement adaptée au pied. Les lacets sont plats, facile à ajuster, ils ne glissent pas et toujours cette petite pochette sur le dessus de la languette pour y glisser les boucles des lacets quand ils sont faits. Par contre, pieds fins s’abstenir.
Premières foulées : 10 km sur terrain sableux, cailloux, pas de dénivelé. Là encore pas de surprise, la chaussure si elle peut sembler lourde sur le bitume du début de notre parcours c’est normal, (en même temps elle n’est pas faite pour ça) se fait très vite oublier à mes pieds !
Sur un terrain plus escarpé avec des cailloux, des graviers et du sable, rien ne passe comme ressenti au travers de la semelle qui amortit tout, mais surtout on sent une telle accroche (c’est pour dire, lors de l’essayage sur mon parquet, ça accrochait déjà sous la semelle) qu’on a tout de suite très envie de la tester dans des « vraies » conditions de trail !
Premier trail : 22km 800D+. Il n’y a rien à dire, c’est impressionnant, tout y est, l’accroche sur tout type de sols, l’amorti, le confort, pas une seule ampoule ni même un petit frottement, la chaussure a un poids suffisamment léger pour se faire oublier sur les sessions roulantes ou il est possible de courir et en même temps un confort et un amorti non dénué d’un certain dynamisme qui permet donc au final de courir assez vite sur des chemins tracés.
Sur des zones plus techniques comme sur des pierres et des rochers on retrouve le système d’une semelle estampillée Pivot Posting mais qui semble demander moins d’effort pour changer de direction sur ces rochers et qui offre vraiment une protection sécurisante.
Globalement toute la chaussure est conçue pour protéger parfaitement le pied lors d’activités exigeantes et la tige à l’arrière permet de laisser libre l’arrière du pied pour limiter les frottements. Comme le modèle précédent, la Cascadia 14 est équipée d’une bande auto agrippant à l’arrière pour y fixer des guêtres si besoin. Ça tombe bien, il va en falloir des guêtres protectrices dans le sable marocain.
A l’usage et l’usure…
Cette fois-ci Brooks semble avoir réussi son pari même si ce sont seulement pour l’instant 120 km de test de la chaussure qui ont été effectués avec ce nouveau modèle, il semble bien que le mesh soit vraiment plus résistant et surtout plus résistant que celui de la version 10 qui avait déçu un grand nombre d’utilisateurs de la Cascadia. Mais aussi sa nouvelle accroche qui faisait cruellement défaut depuis la version 7 à cette chaussure, la faisant même traiter de savonnette par beaucoup de coureurs.
Coté look, il y en a au final pour tous les gouts, d’une couleur sobre à mon modèle bleu turquoise … Mais le vrai plus, pour mes pieds à ampoules c’est qu’elles sont tellement confortables, que je sens que je peux aller loin et longtemps avec elles et pourquoi pas lors de ce marathon des sables 2020 !
En conclusion
Ce qu’il faut retenir c’est son extrême stabilité dans toutes les situations que ce soit dans des descentes ou des singles plus techniques, le pied est toujours maintenu et ne se tord pas même sur des terrains boueux et humides, ce qui n’était pas le cas avec les précédentes versions. Ce modèle est cependant adapté pour tout type de traileurs et traileuses, de l’amatrice comme moi, à de vrais expérimentés en trail et d’ultra.
C’est un incontournable du trail ce modèle Cascadia et ce même après 13 versions, bravo Brooks pour avoir (enfin) pris en compte tous les retours utilisateurs ! Pour sûr que la version 15 n’est pas loin …!
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