La marque japonaise s’est alliée à l’application Runspect pour transformer ce casque en coach sportif. Angle de la tête, cadence, équilibre des foulées, rigidité des jambes… l’assistant vocal corrige votre posture en temps réel. Avec ailettes pivotantes en silicone pour une bonne tenue, 3 tailles d’embouts, 6h d’autonomie en mode coaching.

Ecouteurs ET65BV de JVC Sport, 129,99 €.



30 000 capsules Ooho contenant un gel énergisant ont été distribuées sur le dernier Marathon de Londres, le 28 avril. La membrane de cette bille est constituée d’algues brunes comestibles. Elle se croque ou se gobe et libère dans la bouche l’équivalent d’une gorgée d’eau, sans goût particulier. Si elle n’est pas ingurgitée, la société Skipping Rocks Lab qui la fabrique, assure qu’elle se biodégrade en six semaines.
On a aimé : l’idée écologique pour éviter les bouteilles en plastique, et le concept innovant. On a moins aimé : c’est juste une gorgée, il faudrait en prendre 4 ou 5 pour se désaltérer. La capsule gélatineuse est épaisse, difficile à avaler. On l’a recrachée.



Le GPS Drawing, vous connaissez? Profiter de son GPS Running pour s’amuser à faire un beau dessin et le partager avec votre communauté, ça vous inspire ? Dites « abracadabra » et suivez Strava.

Le GPS Drawing: c’est quoi, au juste ?

Cette tendance qui cartonne sur les réseaux sociaux s’appelle le GPS drawing ou « dessin de GPS ». Ainsi, l’idée, c’est de s’amuser, GPS en main, à suivre un itinéraire pré-dessiné.

Comment ça marche ?

Via Strava, le célèbre réseau social de sportifs, c’est pratique, gratuit, et l’on profite d’une cartographie exclusive. Ça marche aussi avec d’autres applis, comme Mapmyrun, mais il faudra dans ce cas préalablement tracer son itinéraire via Google Maps.

Des clics et des pas

GPS Drawing: un éléphant à Nantes
GPS Drawing: un éléphant à Nantes

Dessine-moi… Un mouton ? Tiens, et pourquoi pas ! Première étape côté ordinateur. D’abord, on se connecte à son compte sur le site www.strava.com. Ensuite, on clique en haut à droite sur le « + » puis sur « créer un itinéraire ». On sélectionne sa ville. Puis on zoome au maximum, puis on clique point par point pour dessiner la forme choisie, de rue en rue. Une fois le dessin achevé, on l’enregistre.
Sur le terrain le jour J: c’est enfin le moment de réaliser votre GPS Drawing. On se connecte à son appli Strava, on clique sur « enregistrer », puis sur l’icône en bas à gauche « utiliser l’itinéraire » pour retrouver votre trace enregistrée. C’est parti pour le suivi, point par point, smartphone en main, de votre dessin.

Nos conseils pour un GPS Drawing réussi

  1. Choisir une grande ville. Plus le réseau de rues sera dense, plus vous aurez d’options pour réaliser votre GPS Drawing.
  2. Commencer par une forme simple, même si vous êtes calée en dessin.
  3. S’armer de patience. Le « traçage » en ligne est fastidieux, il faut « prévoir » son coup, revenir en arrière fréquemment, s’adapter à la cartographie pour que l’itinéraire ressemble au dessin choisi.
  4. Prévoir une longue plage horaire pour le réaliser GPS en main. L’idée n’est pas de foncer, mais de s’appliquer… et de s’amuser.

>> On vous recommande la lecture de notre article « Prêt pour le Koh-Lanta Run challenge ?« 



1er juin – Oloron-Sainte-Marie (64)
Semi marathon Oloron
Pour son 30e anniversaire, ce semi se courra en nocturne le samedi, avec banda au départ et à l’arrivée. Ensuite, péritif avec tapas, repas (à réserver), remise des prix et tirage au sort d’une valeur de 4 500 € s’enchaîneront avant une soirée disco. Egalement un 10 km. Attention, nombre limité de dossards.


1er juin – Royan (17)
Marathon Royan Côte de Beauté
L’affiche s’étoffe d’un nouveau semi et de courses enfants. Pour le reste, le parcours du marathon, bien que modifié, restera magnifique, en bordure d’océan avec finish sur la grande plage, une arrivée commune à toutes les courses. Orchestres, meneurs, repas animé, l’organisation mettra le paquet.

9 juin – Les Sables d’Olonne (85)
Semi-marathon des Olonnes
Revigorant, ce semi au bord de l’océan, qui se court entre la promenade du centre-ville et le littoral, avec un finish de champion : un tour de piste sur stade de la Rudelière, devant les supporteurs. On peut aussi courir un 10 km.


9 juin – Paris (75)
Adidas 10 K Paris
Sur cette épreuve pilotée par ASO, on défend son quartier de cœur. Auteuil, Champs-Elysées, Batignolles, Pigalle, La Villette, République, Picpus, Italie, Denfert, Bir-Hakeim, Odéon, Bastille, Sentier ou Grand Paris ; à vous choisir « votre Paris » sur ce 10 km roulant, inédit, au cœur de Paris.

14-16 juin – Caen (14)
Courants de la Liberté
Impossible de rater ce festival de Caen ! Cette édition s’annonce historique, dans le cadre du 75e anniversaire du Débarquement et de la Bataille de Normandie. Au choix : un marathon au départ de Courseulles-sur-Mer, à courir en solo ou en relais à 4, un semi Pegasus, un 10 km, une course féminine phénomène, La Rochambelle – 14 000 concurrentes attendues ! – mais aussi des courses enfants et une course rollers.


15-16 juin – Molsheim (67)
Marathon du Vignoble d’Alsace
Un parcours atypique entre vignes et villages alsaciens, 12 relais gastro-viniques riches en spécialités locales, des animations à foison. Ce marathon, 15e du nom, reste bien le plus festif du mois de juin. On ajoute qu’on s’y régale de parfaits accords met-vin. Le mieux, c’est de le courir déguisé, l’esprit léger. On peut aussi opter pour le semi ou le 10km pour participer à la fête. Egalement, marches et course enfants.
Marathon-alsace.com

16 juin – Course des Héros
La Course des Héros
Cette course caritative a déjà permis de reverser près de 15 M € à plus de 250 associations depuis sa création. Au choix : 2 km marche, 6 km marche ou course et 10 km. 3 rendez-vous le 16 juin à Bordeaux au Bois du Burck à Mérignac ou à Lyon au Parc de Gerland puis le 24 juin à Paris, au domaine de Saint-Cloud.


15-16 juin – Coulon (79)
Maraisthon
10e édition pour ce Maraisthon du Marais Poitevin. Engagé dans une démarché éco-responsable, il se court autour de Coulon, en passant par Le Vanneau et son port, Sansais-La-Garette et Magné, avec sa piste sur pilotis et ses passerelles. Un parcours plat (30 m de dénivelé), ombragé, au fil de l’eau, à découvrir en solo ou en duo. Animations variées le samedi, avec course enfants, 11,5 km à travers les passerelles maraichines, pasta-party bio. Egalement un 10 km et des marches le dimanche.
Maraisthon.fr

30 juin – Dans 15 villes !
10 km de l’Hexagone
Sur ce 10 km, on courra simultanément, le 30 juin à 10h, dans 15 villes de France, tout cela au profit d’une association. Rendez-vous à Beaumont-lès-Valence (26), Cabourg (14), Mabège (31), Carcans-Maubuisson (33), Le Luc (83) Paladru (38), Narbonne (11), Fay-aux-loges (45), Les Abymes (Guadeloupe), Saint-Pierre (La Réunion) Pacé-Rennes (35), Paris (75), Savigny-les-Beaune (31), Wasquehal (59), Paris (75). Pour cette année, deux villes étrangères seront invitées Bassam, en Côte d’Ivoire et Dakar au Sénégal.

30 juin – Boulogne-sur-mer (62)
10 km et Semi de Boulogne
21e saison pour le 10 km, sur le thème de la fête. Avec le semi, plus de 2 000 concurrents sont attendus pour se défouler au cœur de Boulogne-sur-Mer. Groupe de musique, animations et jeux concours ponctueront cette journée sportive à votre entre amis ou en famille.
www.njuko.net



Neuf athlètes sponsorisés par Hoka One One se sont attaqués le 4 mai à Sacramento en Californie aux records de 100 km et 50 miles sur route dans le cadre du projet « Carbon X », nouveau modèle route de la marque française. Malgré la chaleur (30°C) et un parcours peu propice, l’ultrarunner américain Jim Walmsley a établi le record du monde du 50 mile (non-officiel) en 4h50’’08’’. Il a couru les 50 miles (80,47 km) à une allure moyenne de 6’04 min/mile (3’43 min/km), effaçant ainsi l’ancien record du sud-africain Bruce Fordyce (4h50’51’’), vieux de 35 ans.



La marque de fabrique de On, ce sont ces alvéoles évidées, les « clouds » (nuages) qui constituent la partie amortissant de la semelle. Ce nouveau modèle pèse 240 g en 44, ce qui est vraiment léger pour cette pointure. Ce poids réduit ne se fait pas au détriment du confort qui est très bon, avec une empeigne plutôt large. La finition est particulièrement soignée. Le début en endurance confirme la première impression : confort, stabilité avec un amorti doux mais pas mou, bref, du confort dynamique. On conserve des sensations au niveau du pied, en revanche les larges encoches sous la semelle piègent de nombreux cailloux ce qui occasionne un bruit à la pose de chaque pied. Rien de très gênant mais c’est parfois agaçant d’être accompagné d’un « clac » sonore à chaque foulée. Le dynamisme constaté lors des deux premières sorties se confirme sur une séance de piste : associé à leur légèreté, les Cloud Swift sont à l’aise sur des entraînements rythmés. Une sortie de près de deux heures confirme les bonnes qualités de confort de ces chaussures.
Voici un modèle au design particulier qui s’avère vraiment polyvalent : route et piste et même chemins bien revêtus. On notera également la bonne adhérence de la semelle sur le bitume détrempé.


Le verdict…
Souplesse : 16/20
Confort : 18/20
Stabilité : 17/20
Amorti : 18/20

Les + Bon compromis entre confort et dynamisme, polyvalence, finitions soignées.
Les – Pièges à cailloux sous la semelle.

Prix : 160 €
Poids : 240 g en 44
Drop : 7 mm

Qui a testé ? Frédéric, 53 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013). Pieds légèrement pronateurs, sans correction. Chausse habituellement des Adidas.
Conditions du test : 150 km sur route (70 %), chemins stabilisés (20 %) et piste (10 %), tous types de séances



Edition Lite, la petite nouvelle Fitbit Versa. Un modèle plutôt complète, à prix attractif.
Elle affiche 4 jours d’autonomie de batterie, est étanche jusqu’à 50 mètres, suit à la fréquence cardiaque en continu et 15 sports en temps réel au poignet, avec possibilité de paramétrer son propre objectif. Elle indique aussi pas effectués, calories dépensées, qualité du sommeil, affiche les notifications smartphone et apps. Point fort : sa facilité d’utilisation, avec un seul bouton. 4 coloris, des bracelets interchangeables, le tout à prix raisonnable. Fitbit Versa Edition Lite, à partir de 160 €.

Product render of Fitbit Versa Lite Edition, 3QTR view, in Marina Blue



En plus d’un nouveau nom, la chaussure Nike Zoom Vaporfly 4%, fétiche sur marathon, a été intégralement remaniée, des orteils jusqu’au talon, en vue d’y intégrer le retour d’expérience des plus grands champions mondiaux Nike running.

Le topo
La deuxième version de ce modèle est dotée d’une tige améliorée, notamment grâce au retourne Shalane Flanagan dont la course avait été ralentie par la pluie à Boston, d’une semelle intermédiaire remaniée, solution proposée par le Nike Sport Research Lab qui s’appuie sur l’expérience de plusieurs coureurs d’élite Nike) et d’un tout nouveau mode de traction, demande spécifique du coureur Eliud Kipchoge suite à une course dans des conditions particulièrement humides à Berlin).

Pourquoi NEXT% ?
Lorsque Nike a lancé le modèle Nike Zoom Vaporfly 4%, cette chaussure a permis en moyenne d’améliorer de 4 % l’économie de course par rapport à la précédente chaussure de marathon la plus rapide de Nike, la Nike Zoom Streak 6. Le passage à la NEXT% permet d’anticiper chaque nouvelle course avec la perspective de franchir la ligne d’arrivée encore plus rapidement. Comme l’a récemment déclaré Mo Farah : « En tant qu’athlète, tu es toujours en quête de ces quelques pourcents supplémentaires qui feront la différence. »
Combinées, ces améliorations techniques font de la Nike ZoomX Vaporfly NEXT% la chaussure la plus rapide jamais conçue par Nike.

Les nouveautés dans le détail:
– Le Vaporweave, une matière que l’on retrouve au niveau de l’empeigne est plus légère que le Flyknit de Nike, elle est respirable et, plus important encore, elle absorbe beaucoup moins d’eau ou de transpiration et reste donc aérée et sèche tout au long d’un marathon.
– Le léger décalage des lacets permet de soulager la pression le long des parties sensibles du pied. (C’est une des principales qualités qui a retenu l’attention de Mo Farah).
– La présence d’une fine couche à l’intérieur du talon permet de garantir un confort optimal au niveau du talon d’Achille au fur et à mesure que les kilomètres s’accumulent.
– La semelle intermédiaire a bénéficié d’un ajout de mousse Nike ZoomX, ce qui permet d’augmenter encore le rendement énergétique, comme ont pu le prouver les tests réalisés dans le Sport Research Lab de Nike.
– La mousse a été redistribuée de façon à réduire l’offset de 11 mm à 8 mm afin de fournir une sensation plus stable et d’aider à maximiser le rendement énergétique au moment essentiel de l’impulsion donnée par les orteils.
– Les designers ont combiné les modèles de traction personnalisés de Kirui, Kipchoge et Farah afin d’améliorer l’adhérence au niveau de l’avant-pied pour que la chaussure se comporte mieux par temps humide.
De profondes rainures sur la semelle extérieure permettent de faciliter les mouvements lors des virages.

Ce que l’on retrouve de l’ancien modèle :
La mousse est toujours pourvue d’une plaque de fibre de carbone courbée sur toute sa longueur qui permet d’augmenter la rigidité et de procurer une sensation de propulsion.La chaussure fait le même poids, même avec 15 % de mousse en plus.
Ce modèle sera disponible dès le 25 avril à Londres et au Japon.



Les 18, 19 et 20 septembre 2020, le Grand Trail de Serre-Ponçon (170 km et 10 000mD+) débarquera au calendrier. Ce sera le premier trail des Hautes-Alpes de plus de 160 km. L’épreuve tracée autour d’Embrun au cœur du Parc national des Ecrins pourra se courir en équipe de 2 à 3 coureurs. A l’affiche également, un 45 km (3000mD+) au départ de Savines-le-Lac ainsi qu’un 15 km, au départ d’Embrun.
Photo : ©Damien Rosso



Dans le monde entier, plus de 100 000 participants courront en simultané, la Wings for Life World Run le 5 mai à 13h. Cette course planétaire est 100 % solidaire de la recherche sur les lésions de la moelle épinière. Pourquoi pas vous ? Près de chez vous ? Le défi : cumuler le plus de kilomètres possibles avant de se faire rattraper par une voiture-balai fictive. L’arrivée sera matérialisée par une ligne virtuelle qui remontera peu à peu le flot de coureurs, 30 minutes après le départ. Pour participer, il faut d’abord télécharger l’application Wings for Life.



Un dessin épuré pour la tige en mesh façon tricot et un poids contenu avec 215 g en pointure 44, voici le modèle Zante Pursuit. Elle se destine a priori aux entraînements plutôt rapides, mais la première séance en endurance laisse apparaître un bon confort avec un amorti pas trop présent ne gommant pas les sensations. Modèle dynamique, on apprécie d’augmenter peu à peu l’allure… pour rejoindre la piste. Cette dernière est très humide, mais la semelle offre une bonne adhérence, ce qui, associé à la légèreté et à l’amorti pas du tout intrusif permet de conduire la séance d’entraînement comme on le veut. Le confort ressenti lors des premières foulées se confirme sur une sortie d’environ 1h30 alternant bitume et chemins. L’empeigne est assez étroite mais le mesh extensible et sans couture préserve des frottements. La paire est finalement assez polyvalente si l’on ne recherche pas un amorti trop présent. Les coureurs légers (moins de 65 kg) pourraient même les tester sur longue distance, en notant toutefois qu’elles ne possèdent pas de renfort de voûte plantaire. 

Utilisation : entraînement toutes distances, compétition jusqu’au semi-marathon pour coureur à foulée neutre, poids inférieur à 75 kg.

Prix : 120 € – Poids : 208 g en 43 / 173 g en 38 – Drop : 6 mm

L’avis du testeur

Amorti : 17/20  Confort : 17/20 Souplesse : 16/20 Stabilité : 15/20 Note moyenne : 16,25/20

Les + Bon compromis entre poids et confort, design sobre, dynamisme

Les – Empeigne un peu étroite

IL A TESTE POUR VOUS 

 Frédéric, 53 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013). Pieds légèrement pronateurs, sans correction. Chausse habituellement des Adidas.Conditions du test : 150 km sur route (70 %), chemins stabilisés (20 %) et piste (10 %), tous types de séances.



Priorité au style ?
Leur style étonne en les sortant de leur boîte : épaisse semelle Boost – 20% de mousse Boost en plus que la première génération – contrefort arrière remontant assez haut, œillets de laçage sur deux renforts en plastique entourant la tige, on pourrait presque les confondre avec un modèle destiné à jouer au basket. Le poids est relativement élevé : 340 g en pointure 44. Pour quel coureur sont elles destinées ? Aucune mauvaise surprise en endurance, si ce n’est ce contrefort arrière assez haut pouvant s’avérer gênant, mais heureusement en tissu souple donc ne frottant pas trop. Le confort est préservé grâce à la semelle Ultra Boost, mais le poids est bien présent. Un détour sur piste montre que ce n’est vraiment pas leur terrain de jeu, la séance rythmée sera donc écourtée. La semelle Continental est connue pour sa bonne adhérence, mais le design particulier et le coloris clair des ces Ultra Boost 19 fait hésiter à les utiliser sous la pluie, a fortiori sur des chemins boueux. La cible visée par Adidas est manifestement le coureur urbain pour qui le style est essentiel, qui ne court pas de longues séances, même si les porter durant 1h30 se fait sans difficulté particulière. On peut même envisager de varier les allures, l’aspect technique avec notamment la semelle Ultra Boost n’étant pas sacrifié. De l’endurance, quelques changements de rythme, une polyvalence de style plus que d’usage, voici le résumé des possibilités des Ultra Boost 19.

Prix : 180 €
Poids : 310 g en 42 2/3 et de 268 g en 38 2/3

Drop : 10 mm

Les + Look original.
Les – Tarif élevé, usage restreint.

Amorti : 15
Confort : 15
Souplesse : 14
Stabilité : 15
Note moyenne : 14,75 / 20

Utilisation : entraînements courtes et moyennes distances sur route pour coureur à foulée universelle de tous poids.
Notre testeur : Frédéric, 53 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013). Pieds légèrement pronateurs, sans correction. Chausse habituellement des Adidas. Conditions du test : 150 km sur route (70 %), chemins stabilisés (20 %) et piste (10 %), tous types de séances.



Une mise à jour nutritionnelle révèle que ce fruit est décidément bien dans sa peau. L’occasion de l’éplucher pour la regarder de près.

Banane
©lolostock-istock-banane


La nouvelle Table Ciqual, outil de référence sur la composition nutritionnelle des aliments, publiée en décembre 2016 par l’Agence Nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation a passé la banane au crible. On a découvert que ce fruit contient :


• Moins de calories environ 72,3 Kcal pour 100 g (vs 93,6 Kcal en 2013)
• plus d’eau : 80,2% de sa composition (vs 74% en 2013)
• moins de glucides : 15,2 g (vs 20,50 g en 2013)
• plus de vitamines B6 : 0,38 mg (vs 0,336 mg en 2013)
• plus de vitamines B9 : 29 mg (vs 22,9 mg en 2013)
• moins de potassium : 360 mg (vs 411 mg en 2013)
• Elle devient « source de » manganèse
• Elle n’est plus « source de » fibres, mais en contient.


Qu’est-ce que la banane contient ?


Vitamines & minéraux à gogo
Si sa teneur en potassium a été revue à la baisse, elle reste bien l’un des fruits les plus concentrés (15 % des AJR) en la matière. Même constat pour le magnésium, le phosphore mais aussi pour les vitamines B6 notamment (15 % des AJR). C’est tout bon pour contribuer à diminuer la fatigue et assurer une fonction musculaire normale. Cette densité nutritionnelle participe aussi à la bonne santé osseuse et au bon fonctionnement du système nerveux.


Précieux antioxydants
Source de carotène, de vitamines C et E, de sélénium, elle protège les cellules contre le vieillissement.
Pas si calorique !
Elle compte 72,3 Kcal pour 100 g (vs 93,6 Kcal en 2013) vs soit presque autant que le yaourt nature (71,8 Kcal). Pas si calorique que ça !

Bien digeste
Grâce aux fibres qu’elle contient (1,9%), à sa composition en eau plus conséquente –l’équivalent d’un verre d’eau pour une banane – et aux faibles quantités de lipides qu’elle possède (moins de 0,25 %) ; elle est digeste.

On la choisit verte ou bien mûre ?
La nature des glucides qu’elle contient varie en fonction de son degré de mûrissement. Plus elle est verte, plus sa teneur en amidon sera élevée (environ 20%). Cet amidon est dit « résistant » et se comporte comme des fibres. Il vaut donc mieux la choisir bien à point. Dans ce cas, elle contiendra 2 à 3% d’amidon, qui a réduit au profit du glucose et du fructose. Elle sera donc plus riche en glucides simples.



Paul Bernard, 85 ans, court tous les jours ou presque, depuis 40 ans. Il a notamment couru les 40 éditions des 20 km de Paris. Cet ancien réserviste de l’armée de l’air cumule les grands souvenirs de course mais vit bien à 100% dans le présent. « En 40 ans de course, j’ai cumulé 120 000 kilomètres. Ca fait trois fois le tour de la Terre ! Pas mal non ? » lâche d’entrée Paul Bernard. Gouailleur, hâlé et connecté – dernière montre Samsung au poignet – Paulo, comme on le surnomme, fait dix ans moins que sur le papier. 85 ans, l’arrière grand-père ! « On me donne souvent 70 ans. Les années passent et je reste plus jeune, ce n’est pas beau ça ?

4000 km par an

Son secret de jouvence ? Des bornes 365 jours par an, autour de Choisy-le-Roi ou de Villers-sur-Mer, où il réside en alternance. « Entre les entraînements et les compétitions, je tourne à 4 000 km par an. C’est moins qu’avant. A une époque où je courais tellement, parfois trois courses en un week-end, que j’en avais mal aux bras ! Je fais entre 10 et 20 km, soit entre 10 000 et 25 000 pas par jour. Je sors presque toujours avec des amis, tous plus jeunes que moi, de 60 ans en moyenne. Souvent je les pousse, c’est moi la locomotive. » raconte le retraité, volontaire de caractère.
Sa passion pour la course née à l’aube de ses 40 ans, presque par hasard. « J’ai fait carrière dans l’armée de l’air. Tous les ans on passait un test d’effort. Une fois, j’ai couru le kilomètre en à peine 4 minutes, ce qui a suscité l’intérêt de l’entraîneur. Il m’a proposé de faire de l’athlétisme un peu plus sérieusement. C’est comme ça que tout a commencé. » Un, deux, trois kilomètres et plus… Paulo s’entraîne tous les midis avec le club de l’Armée de l’air, au bois de Boulogne. « Je peux vous dire que j’en connais tous les cailloux ! Au bout d’un an j’ai pu faire une boucle de 8km, puis de 10 km puis de 15 km. En même temps, j’ai arrêté la cigarette. Je fumais deux paquets par jour. Ca me brulait la gorge, me comprimait les poumons. A l’époque, on ne se rendait pas compte du danger du tabac. J’ai perdu pas mal d’amis à cause de ça. Sans doute que si je m’étais pas mis à courir, j’en serai mort aussi… » lâche-t-il, songeur.

Premier Marathon de Paris, en 1976

Flashback à ses débuts, dans les années 70. Les « joggeurs » ne courent alors pas les rues. Bob sur la tête, short court, polo en coton et tennis aux pieds, ces « hommes pressés » sont même parfois moqués. Une autre époque. Celle des prémices du hors-stade. En 1976, Paul court son premier 42 km pour le premier Marathon de Paris. « Nous étions 300 au départ, et le parcours consistait en quatre tours du bois de Boulogne. J’avais terminé 72e en 3h40 » se souvient-t-il. 63 autres marathons ont suivi dont l’inimitable New York bien sûr, en 3h25’ en 1988. Meilleur chrono en 2h58’, à 50 ans. A son actif aussi, une quinzaine de 100 km, et près de 200 semis ! Il a couru le premier semi de Paris, qui totalisait alors 25 km du côté de Charléty et des dizaines de Paris-Versailles « Je pense que j’ai dû monter au moins 500 fois la côte des Gardes ! ».

« Un trophée plus grand que moi »

Sa course fétiche, c’est une autre classique d’octobre. Les 20 km de Paris. Le retraité a couru les 40 éditions et participe toujours à l’organisation avec l’ASCAIR. « Je suis bénévole à la remise des dossards et à la préparation des ravitaillements. Organiser c’est bien, mais participer c’est encore mieux. J’ai couru les 40 éditions, toujours avec le même plaisir, même si le chrono n’est plus ce qu’il était. Mon record est en 1h15, maintenant je mets 2h30 ». Le 40e anniversaire d’octobre dernier gardera une saveur particulière. « L’organisation m’a fait une belle surprise. Une fois la ligne franchie, alors que j’étais prêt à rentrer chez moi, le général en chef de l’armée de l’air m’a appelé au micro pour monter sur le podium. Il m’a remis un énorme trophée, presque plus grand que moi et d’au moins 40 kilos ! C’est la plus belle coupe de toutes », raconte-t-il ému. Elle trône en bonne place chez lui, à Choisy, dans sa salle de gym. Une pièce « musée » où s’affiche récompenses et souvenirs. 80 coupes décrochées sur des cross, plus de 300 médailles… Une sacrée carrière, qu’il écrit toujours au présent, à 85 printemps.

Portrait publié dans Running Attitude 198, par A.Milleville



Boire régulièrement en course, c’est le premier réflexe pour éviter la panne sèche. Comment bien s’hydrater et quelles boissons choisir ? On se jette à l’eau…

Le corps est composé d’environ 55 % d’eau. C’est un nutriment majeur – vital ! – dans notre organisme. Lors d’un effort intense, la perte d’eau et de sel peut être extrêmement importante et atteindre plus de deux litres par heure, générant de multiples maux (crampes, déshydratation, fatigue, tendinite) et dangereuse (calculs rénaux, coma..) et peut retentir sur la performance si les apports hydriques en cours d’effort sont insuffisants. Il est donc impératif de limiter les pertes en eau pour conserver le maximum de ses capacités sportives tout en assurant un refroidissement corporel efficace, en transpirant.

6 réflexes pour rester à flot 
1/ Buvez avant d’avoir soif, dès le début de l’effort, à raison de 2 grosses gorgées de liquide toutes les 10 à 15 minutes.
2/ Vent, altitude, froid, chaleur : ces facteurs accentuent la déshydratation.
3/ Faites le test : avoir des urines claires est un bon signe d’hydratation et d’élimination après l’effort.
4/ Transpirer n’est pas honteux : c’est au contraire le signe que votre thermorégulation fonctionne bien.
5 / Gare aux idées reçues : la bière n’est pas l’idéal pour récupérer, le soda n’est pas une bonne source d’énergie sucrée et non, l’alcool ne réchauffe pas le corps. Consommez-les ponctuellement pour le plaisir et à distance des efforts sportifs.
6/ Trop c’est trop : ingérer une trop grande quantité d’eau est dangereux car cela peut dans certains cas extrêmes provoquer une hyponatrémie – dilution du sodium corporel tellement importante que la contraction musculaire peut être perturbée. Les symptômes ? Nausées, vomissements, dégoût de l’eau, céphalées… à l’extrême, des troubles de la conscience et des crises convulsives pouvant engager le pronostic vital en cas d’hyperhydratation.

Suis-je déshydraté ?
Lorsque la déshydratation est enclenchée, la fréquence cardiaque augmente de manière significative entraînant une diminution de la tension artérielle ce qui va provoquer des troubles de la conscience et une impression de très grande fatigue. La température corporelle s’élève ce qui entraîne une baisse notable des performances avec une fatigue et une lourdeur des jambes. Un essoufflement, un état léthargique et des difficultés à s’exprimer peuvent apparaître et conduire jusqu’à un état comateux. Lorsqu’ils sont répétés, ces déficits hydrauliques se manifestent par des douleurs musculaires, ligamentaires ou encore tendineuses. Il peut alors apparaître des pathologies à l’effort comme des claquages, des déchirures musculaires ou encore des entorses.

Quelle eau choisir ?
Certaines eaux contiennent les minéraux ou oligoéléments (magnésium) pouvant provoquer des désordres digestifs voire des diarrhées légères. Dans l’idéal, l’eau choisie doit avoir un résidu à sec à 180° inférieur à 500 mg/litre. L’idée, c’est de varier. Celle du robinet est adaptée aussi à la pratique du sport ! La boire fraîche est un plus car il semblerait qu’à une température de 10-15°, la majorité de la boisson serait passée en 15 minutes au niveau intestinal. En-dessous, gare aux désagréments intestinaux.

Quelle boisson isotonique ?
En course, il est important de prévenir la déshydratation, mais aussi l’hypoglycémie par l’épuisement complet du glycogène musculaire et encore les pertes d’électrolytes (sel), vitamines et minéraux. L’idéal est donc de boire une boisson permettant de combler ces pertes avec notamment du sucre et du sel. C’est la fameuse boisson isotonique dont la densité serait équivalente à celle du sang afin d’en avoir une absorption maximale au niveau intestinal pendant l’effort. Elle doit être constituée d’une base de sucres à index glycémique élevé pour venir en complément des réserves musculaires tels que du saccharose (sucre blanc), par exemple. Pour un effort long, des maltodextrines (en complément du sucre) pour une boisson hautement glucidique et enfin des sels minéraux pour pallier les carences liées à la transpiration et la pratique du sport. Comment choisir ? À part ces trois éléments indispensables, le reste est affaire de goût. Bec sucré ? Adepte du salé sur les épreuves longue durée ? À vous de voir. Une règle d’or toutefois : testez votre boisson à l’entraînement avant de la choisir pour votre compétition afin d’éviter les mauvaises surprises.

BOISSON, GEL… NOS COUPS DE COEUR…

FENIOUX Hydrogel. Cette poudre pour boisson se modifie en gel dans l’estomac, encapsulant les glucides et l’eau pour plus d’efficacité et de confort. Orange sanguine, menthe ou fruits des bois. Le + Plus efficace avec meilleures tolérance, hydratation, assimilation.

ERGYSPORT Natural Boost. Source de glucides et vitamines, cette purée de fruits agréable en bouche et très digeste. Fraise ou poire.Le + L’énergie d’un gel, la consistance d’une compote.
OVERSTIM.S Hydrixir.
Le + Un léger goût citron-citron vert, sans acidité, colorant ni conservateur.
HIGH 5 Zero protect.
Pastille effervescente à diluer dans l’eau, elle réhydrate et renforce le système immunitaire. Sans calorie, elle contient 5 électrolytes de la vitamine C, D3, de l’acide folique et du magnésium. Parfums orange-échinacée ou curcuma-gingembre. Le + A boire chaude comme froide, pendant et après l’effort.



7 avril – Autriche – MARATHON DE VIENNE a>
Valse de Vienne
Festival complet, cet événement capital, le plus couru d’Autriche (environ 40 000 participants en tout dont 10 000 sur marathon), avec label d’or de la fédération internationale IAAF. On découvre la Vienne moderne comme l’historique ville impériale, en longeant les berges du Danube.
Autres distances : semi, 10 km.

28 avril – MARATHON DE HAMBOURG – Allemagne
Cousin germain
C’est le plus « gros » marathon de printemps chez nos voisins allemands, qui attend plus de 15 000 participants. Rapide (record en 2h05’30”) et agréable, il donne à voir toutes les facettes de la ville hanséatique. Depuis le centre des Congrès, on passe par son port, le plus grand du pays, près de l’un de ses lacs artificiels, sur les rives de l’Alster, par ses quartiers médiévaux et nouveaux. Un tour complet, mené tambours battants.
Photo ©Hochzwei

19 mai – Lettonie – MARATHON DE RIGA
Magique Baltique
Ce marathon letton fait un carton ! C’est désormais le seul d’Europe du Nord gratifié d’un label de d’or de la fédération internationale IAAF : un signe qui ne trompe pas. Quartier Art Nouveau, maisons en bois de Pardaugava et de l’île de Kipsala, rues pavées de la vieille ville médiévale, rives du fleuve Daugava ; le circuit, touristique et performant, donne à voir l’essentiel de cette jolie capitale baltique. Un ensemble architectural détonnant, classé au Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco.
Autres distances : semi, 10 km.

5 mai – République Tchèque – MARATHON DE PRAGUE
Festival tchèque
Romantique, cette ville aux cent clochers lovée dans les méandres de la Vltava. Son marathon, 25e du nom, compte parmi les plus beaux d’Europe. Au départ de la place de la vieille ville, 11 000 coureurs défileront à travers ses rues étroites, sur le pont Charles, au pied de son château… Un circuit agréable et rythmé – 30 groupes de musique – qui s’achèvera en fanfare devant la Rudolfinum Concert Hall, salle prestigieuse de la capitale tchèque.

Photographs from the 2018 Telenor Copenhagen Marathon


19 mai – Danemark – MARATHON DE COPENHAGUE
Danish delight
40e édition pour ce marathon gratifié d’un label de bronze de l’IAAF. En 42 km, un bel aperçu de cette capitale danoise et son art de vivre. Autour de d’Islands Brygge, le tracé file d’abord le long de l’eau, passe le jardin de Tivoli, la fameuse sirène sur son rocher, la résidence royale d’Amalienborg, les quartiers d’Østerbro, Norrebro Vesterbro, le tout ponctué de 40 « Power zones and entertainment ». Entraînant !
Photo : ©Photography_by_Matthew_James

1er juin – Suède MARATHON DE STOCKHOLM
Rêve scandinave
Ce marathon, le plus couru de Scandinavie, fait le tour des sept districts de Stockholm. On court d’île en île, autour du stade olympique, théâtre de 80 records du monde, où l’on franchit l’arrivée. Centre-ville, quartiers résidentiels ou branchés, ponts, parc, palais et monuments défilent dans une joyeuse ambiance. La belle suédoise promet de charmer…
©Richard Forsberg

9 juin – Belgique – BEER LOVERS’ MARATHON
Encore une petite mousse ?
Il ne manque pas de panache, ce petit « Médoc » version houblonnée. On court Liège déguisé, et l’on déguste à petites foulées. Une quinzaine de bières accompagnées de produits liégois, dans une ambiance sonore et délurée. Le parcours est varié, mais vallonné. Monuments du centre-ville, citadelle, parc, bords de l’Ourthe, terrils, on fait le tour de la cité Ardente, avec une montée bien piquante en début de course, la Montagne de Bueren et ses 357 marches. On vous le garantie, ce marathon-là vous laissera des souvenirs inédits !



Samedi 18 mai, le nouveau marathon du Clair de Lune fera le tour du lac d’Annecy, de nuit. Départ à 20h de Doussard, puis direction Talloire, Menthon-Saint-Bernard, Veyrier-du-Lac, Annecy-le-Vieux, Annecy, Sévrier, Saint-Jorioz et Duingt. Tracé essentiellement sur piste cyclable, le circuit s’annonce relevé avec 283 mètres de dénivelé positif, mais l’ambiance magique.

Plus d’infos sur www.courses.free.fr



Si les modèles précédents étaient plutôt discrets, cette 15e version ne passe pas inaperçue dans son coloris vert acide. D’un poids de 320 g en pointure 44, avec une empeigne relativement large, les Wave Inspire 15 s’avèrent assez confortables dès les premières foulées. Sur route ou chemins bien revêtus elles se plient avec docilité aux choix du coureur : endurance, variations d’allure, rythme plus soutenu, elles semblent assez polyvalentes. Le contrôle de pronation sera apprécié par ceux ayant besoin d’un soutien de voûte plantaire. Une séance plus dynamique sur piste confirme leur capacité à couvrir la gamme complète des entraînements de course à pied. Leur amorti est présent mais sans trop filtrer les sensations, ce qui laisse envisager la capacité à les emmener loin (marathon) et vite (courses de 10 km). Attention sur certains revêtements détrempés, l’adhérence de la semelle pourra être prise en défaut.
Prix : 145 €
Poids : 290 g en 42 / 245 g en 38
Drop : 12 mm

Utilisation : toutes distances sur route pour coureur à foulée neutre ou pronatrice modérée de tous poids.
Les + Bon compromis entre confort et dynamisme, contrôle de pronation.
Les – Adhérence sur piste d’athlétisme détrempée.

Amorti : 18
Confort : 18
Souplesse : 16
Stabilité : 18
Note moyenne : 17,5/20

Notre testeur : Frédéric Poirier, 53 ans, 1,77 m, 69 kg, 2h47’ sur marathon (2013). Pieds légèrement pronateurs, sans correction. Chausse habituellement des Adidas.
Conditions du test : 150 km sur route (70 %), chemins stabilisés (20 %) et piste (10 %), tous types de séances